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Ryan O’Reilly : des joueurs du CH ont demandé à Kent Hughes de le signer

Les Canadiens n’ont pas été très agressifs lors de l’ouverture du marché des joueurs autonomes. Certains joueurs de l’équipe auraient toutefois aimé que Kent Hughes fasse une certaine acquisition le 1er juillet : Ryan O’Reilly.

L’information a été rapportée par Jeff Marek de Sportsnet sur son balado 32 Thoughts.

« Je sais qu’il y a des joueurs du CH qui essayaient de convaincre Kent Hughes d’amener Ryan O’Reilly au sein de l’équipe. » – Jeff Marek

C’est assez surprenant comme information. En fait, les Canadiens n’ont pas vraiment besoin de centres présentement. Il y a déjà Nick Suzuki, Kirby Dach, Sean Monahan, Christian Dvorak, Alex Newhook et Jake Evans.

Kent Hughes aurait donc été forcé de conclure une transaction. Hughes doit certainement essayer de se débarrasser de Dvorak, mais ça semble être très difficile à faire.

En fait, Marek dit que la signature n’a pas abouti parce que le CH n’aurait pas assez de place sous le plafond salarial. Toujours selon lui, Kent Hughes aurait dû échanger Brendan Gallagher ou Josh Anderson pour avoir l’espace nécessaire sous le plafond.

Selon le site CapFriendly.com, les Canadiens sont présentement au-dessus du plafond salarial si on ne place pas le contrat de Carey Price sur la liste des blessés à long terme. Ça ne laisse pas beaucoup d’espace pour une nouvelle signature.

Il faut surtout se rappeler qu’Alex Newhook n’est toujours pas sous contrat. C’est la même chose pour Jesse Ylönen.

O’Reilly a finalement signé une entente de quatre ans avec les Predators de Nashville qui lui rapportera en moyenne 4,5 millions $ annuellement.

Les Maple Leafs ont fait son acquisition en février des Blues de Saint-Louis. Il a récolté 30 points, dont 16 buts, en 53 matchs en 2022-23 et 9 points en 11 rencontres pendant les séries éliminatoires de Toronto, aidant l’équipe à remporter sa première série depuis 2004.

En rafale

– Pas facile, mon Vernon.

– On encourage nos Canadiens.

– Une nouvelle signature dans la LNH.

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Sean Monahan : Plus demandé que jamais?

On a appris dernièrement que deux des meilleurs centres disponibles ne l’étaient plus.

Tout d’abord, Ryan O’Reilly a changé d’adresse pour rejoindre les Maple Leafs de Toronto.

De plus, un peu plus tôt en ce dimanche, Jonathan Toews a émis un communiqué confirmant qu’il devait prendre un pas de recul pour se concentrer sur sa santé.

Ceci réduit considérablement les centres de qualité en vue de la date limite des transactions.

Ça augmente aussi la valeur de Sean Monahan, s’il peut revenir en santé pour le 3 mars prochain.

Kent Hughes pourrait utiliser le manque de centres disponibles pour faire grimper la valeur de son joueur.

Marc-Olivier Beaudoin a aussi apporté un fait intéressant concernant la production de Monahan et celle du nouveau centre des Maple Leafs.

Évidemment, l’impact défensif de O’Reilly est plus grand que celui de Monahan et Beaudoin est au courant de ça.

Le fait reste que le centre du CH pourrait attirer certains directeurs généraux de la ligue qui se cherchent un peu plus de profondeur à cette position.

C’est d’ailleurs ce qu’Yvon Pedneault a lancé sur les ondes de TVA Sports, lui qui croit que les Hurricanes de la Caroline et que l’Avalanche du Colorado tentaient d’obtenir Jonathan Toews.

Un autre centre qui serait dans la mire de ces deux équipes, serait Ivan Barbashev des Blues de St-Louis. Après avoir vu son coéquipier changer d’adresse vendredi soir, il pourrait lui aussi faire ses valises d’ici le 3 mars.

Vous pouvez voir la capsule d’Yvon Pedneault, juste ici.

Même si Jeff Marek s’attendait à voir le CH être très tranquille d’ici à la date limite des échanges, avec cette nouvelle annonce concernant Toews, on pourrait finalement voir le CH magasiner pour son joueur de centre qui semble être très convoité.

Ce sera à surveiller.

En rafale

– Tim Stützle compte maintenant 13 points à ses cinq derniers matchs.

– À regarder!

– Un très beau tir pour son premier but en carrière.

– Grâce à son neuvième tour du chapeau dimanche soir, Kane est en bonne compagnie dans l’histoire des Hawks.

– C’est ce qu’on appelle un tir des ligues majeures.

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Jonathan Toews ne sera pas échangé d’ici la date limite des transactions

Après avoir vu Ryan O’Reilly changer d’adresse vendredi soir, ça a donné le ton aux rumeurs de transactions. La date limite s’approche à grands pas et le prix attendu pour un centre polyvalent de location vient d’être dévoilé avec O’Reilly qui porte maintenant les couleurs des Maple Leafs de Toronto.

Jonathan Toews a vu son nom circuler à plusieurs reprises concernant un échange potentiel. Avec la saison de misère des Hawks, il n’aurait pas été surprenant de voir Chicago échanger son capitaine d’ici le 3 mars.

Ça c’était avant de voir le communiqué émis par le capitaine des Hawks disant qu’il était toujours incommodé par les symptômes de la COVID longue et par le syndrome de réponse immunitaire chronique. Cela met donc fin à toutes les rumeurs d’échanges, lui qui doit prendre un pas en arrière pour se concentrer sur sa santé.

Pour débuter son communiqué, Toews prend d’abord la peine de remercier tous ceux qui se souciaient de son absence. Les dernières semaines semblent avoir été difficile pour le numéro 19 des Blackhawks.

« Ça a été tout un défi de jouer malgré ces symptômes. Dans les dernières semaines, j’ai réalisé que je n’avais pas d’autres choix que de prendre un pas de recul et de me concentrer sur ma santé. » – Jonathan Toews

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Il a terminé son communiqué en remerciant ses coéquipiers et toute l’organisation des Blackhawks de Chicago pour leur patience et leur support.

Même s’il aurait pu aider plusieurs équipes à se rendre jusqu’aux grands honneurs, les directeurs généraux semblaient déjà inquiets de l’état de santé de Toews, ce qui les rendait réticents.

Acquérir un centre polyvalent avec beaucoup d’expérience et trois bagues aux doigts pouvait certainement en faire saliver quelques-uns, mais avec cette annonce, Toews ne changera assurément pas d’adresse cette saison.

De plus, avec son salaire de 10,5 millions de dollars, il aurait été compliqué de trouver preneur, à moins qu’un intermédiaire ait été utilisé pour retenir plus que 50% de son salaire, comme le Wild l’a fait dans l’échange d’Oreilly.

Si Toews ne reviendra pas au jeu à temps pour la date limite des transactions, cela ne laisse plus beaucoup d’options sur la table pour des centres disponibles.

Sean Monahan en serait possiblement l’un d’eux, tout ça, à condition qu’il revienne en santé avant la date limite, évidemment.

D’ailleurs, Martin St-Louis a affirmé hier que Monahan avait atteint un plateau de guérison.

On dirait que d’ici le 3 mars, le Canadien de Montréal pourrait être très silencieux.

En rafale

– Célébration plutôt monotone pour un premier but en carrière. Il a d’ailleurs mentionné qu’il aurait été plus content si le pointage était de 2-2 plutôt.

– Dommage pour les poolers qui ont Makar dans leur équipe.

– Le ballottage est très bien vu à Montréal et Kovacevic semble s’y plaire ici..

– Les Moosehads d’Halifax ont finalement gagné 11-3.

– Ça en fait des représentants d’équipes!

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Blues : Ryan O’Reilly s’entraîne de façon très particulière

Qui n’est pas tombé en amour avec Ryan O’Reilly pendant la danse du printemps?

Pour ceux qui le connaissaient plus ou moins, comme mon père, vous avez eu la chance de découvrir un joueur presque parfait, à l’image de Patrice Bergeron.

O’Reilly n’est pas un joueur « flashy », mais il fait bien les petites choses… sans être physique.

Il excelle au cercle des mises en jeu, il offre un échec avant (plus que) soutenu et son intelligence « hockey » lui permet de réaliser les petites choses que certains ne sont pas en mesure de réaliser.

Lors de la rencontre d’hier, où les Blues ont pris les devants 3-2, ROR a couronné celle-ci avec deux points (un but, une passe), tout en affichant un taux de 68% dans le cercle des mises en jeu. Bref… vous comprenez le phénomène! Eh bien, pour réussir pleinement dans un style de jeu aussi intense, le joueur de centre des Blues de Saint-Louis s’entraîne hors glace de façon différente et particulière. Pour bien comprendre la teneur de mes propos, prenez la peine de visionner cette vidéo jusqu’au bout.

Mais que fait-il au juste? Il travaille tous les muscles stabilisateurs (pour augmenter son équilibre sur patin). Il entraîne son corps comme un tout/ensemble et non pas séparément, seulement en puissance pure et précise. C’est intelligent et cette façon de maintenir à un haut niveau ne date pas d’hier puisque ce sont des entraînements dirigés par son paternel.

Les joueurs talentueux sont excitants, ça séduit les amateurs rapidement, mais moi, ce sont des joueurs comme Ryan O’Reilly qui me propulsent sur le c*l par leur éthique de travail. Que ce soit lors d’un entraînement, lors de la saison estivale, lors d’un match régulier et les plus cruciaux, O’Reilly compétitionne à un niveau très élevé. Bref, comme l’a dit le défunt Babe Ruth :

«C’est difficile de vaincre quelqu’un qui n’abandonne jamais.»

Retenez ça!

En rafale

– Patrice Bergeron est toute une tête d’affiche à Boston.

– Intéressant billet au sujet de la masse salariale des équipes.

– Une saison de plus pour les deux attaquants du Rocket de Laval.

– Ça, c’est très gênant!

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Marc Bergevin trouvait exorbitant le prix demandé pour Ryan O’Reilly

D’entrée de jeu, j’adore le style de jeu que préconise Ryan O’Reilly et si j’étais un dirigeant de la LNH, il serait un candidat de choix pour camper un rôle important au sein de mon équipe. Bref, O’Reilly danse actuellement pour obtenir le trophée le plus convoité de la Ligue nationale, soit la Coupe Stanley. Il compétitionne et porte le flambeau de son équipe bien haut. Puis avant de revêtir l’uniforme des Blues, il enfilait celui des Sabres de Buffalo… avant qu’il quitte officiellement la ville des ailes piquantes, le Canadien a tenté d’obtenir ses services.

Mais… en bon vieux Marc Bergevin, voici la réponse qu’il a déposée lorsqu’il a appris le prix à débourser (on parle ici de la lune, de deux jambes et deux bras) pour obtenir un joueur de cette trempe : « Veux-tu mon poste aussi? »

On reconnaît très bien le style de Marc Bergevin dans cette réponse franche et directe. Selon le vétéran journaliste Marc de Foy, Jason Botterill aurait exigé ceci à son homologue montréalais : trois choix de premier tour, ce qui incluait le 3e choix (au total) du Canadien en 2018… celui qui est devenu Jesperi Kotkaniemi. Ah pis, le DG des Sabres a même ajouté un 2e choix dans le retour pour ROR. Du lourd. Une lune, effectivement.

Au final, Botterill s’est tourné vers Saint-Louis, où il a envoyé O’Reilly par courrier recommandé en retour de Vladimir Sobotka, Patrik Berglund et Tage Thompson en plus d’un choix de premier tour (2019) et de 2e tour (2021). Berglund n’a pas aimé son séjour à Buffalo et il a fini par se retirer… Thompson a du potentiel, mais ça tarde à lever… et Sobotka, ben, c’est un vétéran correct. Souhaitons que les choix deviennent quelque chose parce que jusqu’ici, les Blues ont largement le dessus.

ROR a conclu la saison régulière avec 77 points, dont 28 buts, en 82 rencontres… En séries, il a 18 points au compteur en 23 duels, n’est-ce pas un élément primaire pour une formation? La meilleure pièce de la transaction, c’est le centre de 28 ans nommé Ryan O’Reilly.

En rafale

– Jeff Skinner doit demeurer à Buffalo pour le futur de cette concession.

– La Centrale de recrutement a bien fait de reviser son classement à son sujet.

– On a décidé d’ignorer Jérémy Lauzon…

– Certains joueurs s’entraînent à Brossard dans le cadre des activités de la F1.

– Wow. Hahaha!

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Yes Ik I got a problem but I think I did better job doing Jesse then @jessepollock22 (Jesse) how did I do

Une publication partagée par Chicken??(Katie) (@chicken_aka_katie_spammmm) le 22 Mai 2019 à 6 :15 PDT

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Ryan O’Reilly : Bergevin a un avantage

Je viens de parcourir un excellent billet dressé par Pierre LeBrun au sujet du Canadien et du plan qu’il devrait avoir à partir de maintenant. L’un de ses paragraphes indique que la ville de Montréal n’est pas une destination où les joueurs sont tentés d’aller (ce n’était pas le cas jadis). Donc ceux qui rêvent à Paul Stastny, puisque John Tavares ne débarquera clairement pas dans la Métropole, ne doivent pas oublier que le Canadien est loin d’être seul dans le portrait.

Le sentiment de LeBrun au sujet de Ryan O’Reilly demeure très logique : le plan des Sabres de Buffalo est de transiger celui-ci avant le 1er juillet pour ne pas avoir à payer son boni de 7.5 millions de dollars. Le retour exigé semble être un choix de premier tour, un espoir et un choix de second tour. Assez cher, mais O’Reilly vaut la peine… selon moi!

Si O’Reilly est toujours un membre des Sabres le 2 juillet, des équipes plus « pauvres » remplies de bons espoirs, comme les Hurricanes de la Caroline, se pointeront certes le bout du nez et ça n’aidera en rien le Canadien de Montréal. L’avantage du Canadien se retrouve MAINTENANT parce que cette franchise a les moyens de payer ce fameux 7.5 millions de dollars.

Toujours selon LeBrun, si Bergevin n’obtient pas O’Reilly, il devra se montrer patient et attendre à la fin de l’été lorsque des joueurs pourraient devenir disponibles à cause de problèmes de cap hit chez certaines équipes. Ça, c’est le plan « C » ou même « D »… À moins que Marc Bergevin opte pour une offre hostile, lui qui a passé proche en déposer une à Brandon Saad. Mais bon, c’est un fait rare.

Au final, Pierre LeBrun semble dire que Bergevin sera patient et que l’équipe pourrait être sensiblement la même le 2 ou 3 juillet… ce qui serait catastrophique aux yeux des amateurs. Au moins, Tomas Plekanec se prépare à être de retour avec l’équipe, héhé.

En rafale

– Ce genre de petite transaction prépare parfois quelque chose d’autre. Un échange strictement monétaire.

– Avec le départ de Conor Sheary, les Penguins se sont créé un peu de place afin d’accueillir d’autres joueurs.

– Un agent qui nie une rumeur, je dois dire que j’aime cela.

– On est prêt à donner le flambeau aux jeunes du côté de Detroit?

– Je n’ai pas le même type de « bonus » que monsieur Carey Price…

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Le CH peut-il se permettre Ryan O’Reilly?

Ryan O’Reilly se promène d’une spéculation à l’autre depuis plusieurs mois, et encore plus depuis cette fameuse déclaration, où il stipule que sa passion pour la game est moindre depuis qu’il évolue du côté de Buffalo. Une citation très lourde, surtout venant d’un gars aussi dédié que peut l’être le centre de 27 ans. Mais qu’elle est la valeur d’un pivot aussi « complet » que peut l’être O’Reilly?

Au préalable, j’expliquais que ce joueur-là peut coucher sur la patinoire, qu’il peut évoluer autant en avantage qu’en désavantage numérique et que son apport offensif était également à un niveau élevé. Le genre de package qui cadrerait parfaitement au sein de la ligne de centre du Canadien de Montréal, qui doit composer avec un ailier gauche comme centre et un centre numéro trois comme centre numéro un ou deux. Il est question ici de Jonathan Drouin et Phillip Danault, que j’adore.

Si O’Reilly a coûté JT Compher, Mikhail Grigorenko, Nikita Zadorov et un choix de deuxième tour aux Sabres, combien coûtera-t-il à la prochaine équipe qui voudra en faire son acquisition? C’est vrai que Jamie McGinn était également inclus par l’Avalanche du Colorado. Puis, je me souviens qu’à cette époque, Roy croyait faire de Grigo ce qu’il a fait avec lui chez les Remparts… Bref!

Aujourd’hui, si une formation désire déposer une offre respectable et honnête sur le bureau de Jason Botterill, le DG de la formation, ça devra comprendre ceci (selon les rapports de Darren Dreger) : un excellent jeune joueur (ou un top espoir), un choix élevé au repêchage et un autre élément comme un espoir ou un joueur établi.

On parle d’une valeur TRÈS TRÈS élevée. Pourquoi? Parce que la direction n’a pas envie de marchander l’un de ses meilleurs joueurs et son plus grand leader. Les rumeurs et les spéculations sont nées à cause de ces fameux propos tenus par O’Reilly à la suite d’une autre saison merdique des Sabres de Buffalo.

Au final, est-ce que Marc Bergevin serait suffisamment audacieux pour déposer une offre sur le coin de la table de Botterill? Il devra avant tout trouver les pièces qu’il pourrait inclure, c’est là que ça peut devenir complexe.

En rafale

– On ne peut pas dire le contraire.

– J’adore cette analyse de Mathieu Caron.

– Un honneur mérité.

– Ce joueur n’appartient plus au Canadien.

– Ferrari s’est excusée. J’espère!

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Ryan O’Reilly a perdu l’amour pour la « game »

Et si le Canadien ajoutait Ryan O’Reilly à son organigramme? Il serait certes un candidat intéressant, surtout qu’il est le type de joueur qu’affectionne particulièrement Claude Julien. Pourquoi je sors du champ gauche en déposant ce nom ici? Parce que l’attaquant des Sabres en a marre. John Volg, qui est sur le beat des Sabres, n’a jamais reçu des commentaires aussi percutants d’un joueur en 16 ans de carrière.

Lorsque les Sabres ont acquis ce leader de l’Avalanche, l’une des raisons était son désir de vaincre et son amour pour le jeu. Cependant, cet amour, elle s’est évaporée un tantinet en jouant pour cette formation moribonde. Le je déteste perdre est plutôt devenu un c’est « OK » de perdre.

C’est décevant, c’est triste, je sens que j’ai perdu l’amour du jeu tout au long de l’année, il faut que je revienne parce que ça me dévore. C’est dur! – O’Reilly

O’Reilly a conclu un pacte de 52.5 millions de dollars en juillet 2015, avec cette équipe, et le but était réellement de changer le vent de côté. Passer du Nord au Sud… Au final, le joueur de centre a fini par perdre la joie, l’amour pour son sport. En perdant de cette façon, ça devient très empoisonnant, même pour un joueur aussi passionné que Ryan O’Reilly.

Il déteste perdre, mais il veut revenir en amour… Est-ce que ça passe vraiment par Buffalo? S’il veut changer d’environnement et renouer avec sa flamme, il devra peut-être exiger une transaction. Toutefois, sa présence avec le Canada aux prochains Championnats mondiaux l’emballe beaucoup. Il est très excité par cet événement, qui pourrait peut-être lui permettre de retrouver le sourire.

Au final, le but de Ryan O’Reilly est de demeurer dans cette ville parce qu’il se sent chez lui. Malgré une saison de 61 points, O’Reilly sent qu’il n’a pas été assez fort mentalement et c’est cet aspect qu’il doit peaufiner pendant la saison estivale.

Wow. Ce gars-là ne s’est pas mis la tête dans le sable. Il a dit les vraies choses, sans aucun filtre. Il ne s’est pas gêné pour souligner que la concession des Sabres de Buffalo avait une culture de perdant. J’adore!

En rafale

– Carey Price n’a rien dit de nouveau, lui, lors de cette journée de vidage de cassiers. Il a encore mentionné que cette pause arrivait juste à point.

– Cette défensive a coulé le Canadien. Si Marc Bergevin ne l’avait pas qualifiée de « meilleure » que l’an passé, ça paraîtrait moins pire.

– François Gagnon ne croit pas que John Tavares s’amènera avec le Canadien, alors que son discours est un brin différent au sujet de Paul Stastny.

– Sa santé lui permettrait…

– Donc, on oublie le côté « expérience »? Pourtant, on parlait d’amener un pilote d’expérience derrière le banc.

– Ce n’est plus pareil du côté de la Caroline…