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Faites-vous suffisamment d’exercice?

La recherche a été publiée dans la revue spécialisée PLoS ONE, rapporte Science World Report. Elle a été menée par les spécialistes de l’École de Kinésiologie et sciences santé de l’Université York au Canada.

Bien que les gens sous-estiment la quantité d’exercice nécessaire, ils surestiment également le niveau d’intensité d’une activité.

Pour cette étude, 129 adultes âgés de 18 à 64 ans ont été recrutés. Ces gens étaient considérés comme sédentaires. Lorsqu’on leur a demandé ce qu’ils considéraient comme une intensité faible, moyenne ou élevée relativement à certains exercices, la majorité avait tort. Ils croyaient souvent qu’une activité modérée était de niveau intense.

Le niveau d’intensité d’un exercice se mesure selon le pourcentage du rythme cardiaque maximal d’une personne. Par exemple, le niveau modéré utilise de 64 à 76 % du rythme maximal, alors que le niveau le plus élevé ne doit pas dépasser de 77 à 83 %.

Comme l’indiquent les chercheurs, si les gens ne savent pas déterminer leur besoin réel d’exercice et le niveau d’intensité requis, ils n’en retireront pas les meilleurs avantages pour leur santé.

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Maman en format enregistré pour bébé prématuré

C’est le constat qu’ont fait des chercheurs d’une étude à petite échelle effectuée sur 14 bébés prématurés (nés entre 26 et 32 semaines de gestation) à l’unité néonatale des soins intensifs au Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Il est connu que puisque les bébés prématurés ne sont pas pleinement développés après leur naissance, il est fréquent que ces derniers soient atteints de cancer du poumon et de problèmes cardiaques, tels que l’apnée et la bradycardie, peut-on lire dans le Journal of Maternal-Fetal and Neonatal Medicine.

Pour contrer ces réalités et éviter que les petits soient plus malades, des chercheurs ont cru bon de faire jouer quatre fois par jour l’enregistrement de la voix et des battements de cœur de leur mère aux poupons qui devaient vivre dans un incubateur, et ce, durant toute la période du séjour en unité de soins intensifs.

Selon les spécialistes, cette méthode a permis « d’éduquer » le bébé sur sa façon de respirer, de le rassurer et de lui donner du réconfort, tout en l’empêchant de ressentir du stress notamment en raison des bruits ambiants de l’hôpital.

L’étude devra maintenant être réalisée à plus grande échelle, mais grâce à ce système audio spécialisé développé à Boston, les chercheurs croient détenir des conclusions prometteuses qui peuvent aider les nourrissons prématurés à court terme.

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Une nouvelle technique pour rétablir le rythme cardiaque

La revue Nature nous apprend qu’il existe une nouvelle technique par impulsions de faible intensité qui pourrait bientôt remplacer le défibrillateur pour régler les cas d’arythmie cardiaque chronique.
 
Cette méthode, nommée LEAP (Low-Energy-Anti-fibrillation Pacing), consiste en une série de cinq impulsions de faible intensité transmises au cœur qui, finalement, se remet à battre à un rythme régulier.
 
La méthode a été testée avec succès sur des chiens qui souffraient de fibrillation auriculaire, une forme d’arythmie qui touche 3 % de la population humaine de plus de 45 ans.
 
Éventuellement, cette technique pourrait également être efficace contre l’arythmie ventriculaire qui, elle, est mortelle.
 
Les cardiologues et physiciens placent donc de grands espoirs en cette méthode beaucoup moins douloureuse et dommageable que le défibrillateur pour le tissu cardiaque.
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Crise cardiaque à neuf ans

Il semble que les enfants peuvent souffrir d’une crise cardiaque à partir de l’âge de neuf ans. C’est ce que nous apprennent les résultats d’une étude suédoise menée par l’Hôpital universitaire Skane.

Après avoir suivi 123 garçons et 100 filles âgés de 9 à 10 ans, les chercheurs ont statué que les enfants peuvent être à risque dès cet âge, et ce, même s’ils ne souffrent pas d’obésité. Leurs résultats sont parus dans l’Acta Paediatrica Journal.
 
Il semble en fait que les enfants qui font très peu ou pas d’activité physique et qui passent plutôt leurs journées devant le téléviseur courent le risque d’une crise cardiaque dès cet âge.
 
C’est qu’en manquant d’exercice, la consommation d’oxygène requise par le corps n’est pas atteinte, ce qui a diverses conséquences sur les fonctions des organes, dont le rythme cardiaque.

Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs ont mesuré l’indice de masse corporelle des participants, en plus d’avoir évalué leur rythme cardiaque par électrocardiogramme. L’activité physique des enfants a été relevée par accéléromètre. On leur a aussi fait subir des tests sanguins.