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Katy Perry s’est transformée en sage-femme l’espace d’une naissance

Sur son compte Twitter, la chanteuse Katy Perry a publié : « Finalement, je pourrai ajouter “a aidé à mettre un bébé au monde dans un salon” dans mon curriculum vitae! C’est une journée miraculeuse… »

Ce n’est pas encore clair en ce qui a trait à la personne qu’elle a aidée, mais il y a des spéculations selon lesquelles il s’agirait de sa sœur aînée, Angela Hudson, qui avait annoncé une grossesse en 2013.

Une semaine d’émotions en cascade pour Katy Perry, dont la rupture avec John Mayer, son partenaire des 18 derniers mois, a été annoncée le 26 février. La séparation serait « à l’amiable ».

La principale raison, selon différentes sources, est l’horaire de tournée que Perry prépare en ce moment. Elle sera absente un long moment, et le couple ne souhaitait pas traverser cette épreuve. « Elle était très stressée à propos de la tournée, et ils se disputaient déjà à ce propos. »

Katy Perry affichait une bague de fiançailles depuis peu, et on apprenait le 25 février que le couple avait planifié un mariage en juin, dans la ville natale de la star.

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Katy Perry s’est transformée en sage-femme l’espace d’une naissance

Sur son compte Twitter, la chanteuse Katy Perry a publié : « Finalement, je pourrai ajouter “a aidé à mettre un bébé au monde dans un salon” dans mon curriculum vitae! C’est une journée miraculeuse… »

Ce n’est pas encore clair en ce qui a trait à la personne qu’elle a aidée, mais il y a des spéculations selon lesquelles il s’agirait de sa sœur aînée, Angela Hudson, qui avait annoncé une grossesse en 2013.

Une semaine d’émotions en cascade pour Katy Perry, dont la rupture avec John Mayer, son partenaire des 18 derniers mois, a été annoncée hier (26 février). La séparation serait « à l’amiable ».

La principale raison, selon différentes sources, est l’horaire de tournée que Perry prépare en ce moment. Elle sera absente un long moment, et le couple ne souhaitait pas traverser cette épreuve. « Elle était très stressée à propos de la tournée, et ils se disputaient déjà à ce propos. »

Katy Perry affichait une bague de fiançailles depuis peu, et on apprenait le 25 février que le couple avait planifié un mariage en juin, dans la ville natale de la star.

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Connaissez-vous le phénomène d’accouchement sans assistance médicale?

Un phénomène qui gagne en popularité, selon SheKnows. Cependant, il faut à priori que la femme enceinte ait une confiance absolue en elle.

Ces femmes qui choisissent cette méthode sont accompagnées d’un partenaire ou d’une autre personne de confiance, et c’est tout. Au diable les risques, celles-ci considèrent que les environnements hospitaliers sont impersonnels et qu’ils vous mettent souvent sous pression pour des interventions dont vous n’avez pas besoin.

Les mères qui témoignent, comme Tiffany, ont des arguments qui sont difficilement réfutables, mais qui ne tiennent pas toujours en compte la responsabilité de ce choix s’il arrive une complication. « Ils oublient souvent que nous n’existerions pas si nous n’avions pas été en mesure de donner naissance par nous-mêmes. »

Toutes ces femmes ont plusieurs choses en commun. Elles ont adoré l’expérience et recommenceraient sans hésiter, même si la préparation est longue et doit être bien planifiée. Aussi, le plan B en cas de complication est toujours la présence d’une sage-femme, et non l’hôpital.

Même en présence d’une sage-femme, certaines refusent d’être touchées, mais toutes exigent une indépendance complète et une intervention uniquement sur demande. Un peu extrême ou un simple retour aux sources?

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Accoucher à la maison est moins risqué

Selon une récente étude publiée sur le site Medical Xpress, les femmes présentant un accouchement à faible risque qui décident de donner naissance à la maison courent un moins grand danger de complications graves que celles planifiant de faire de même à l’hôpital.

Les résultats sont basés sur les femmes qui en étaient au moins à leur deuxième accouchement, et les compétences des sages-femmes pourraient faire varier les données. Certains autres facteurs ont aussi été pris en considération, comme l’âge de la mère, le statut socio-économique, l’ethnie et la période de gestation.

Ainsi, une équipe de chercheurs néerlandais a décidé de vérifier si les femmes à faible risque en début de travail avec accouchement à domicile avaient un taux plus élevé d’effets rares, mais graves que lors des accouchements planifiés à l’hôpital. Les effets sont surtout les ruptures utérines, l’éclampsie ou une hémorragie majeure obstétrique nécessitant une grande transfusion sanguine.

D’autres complications indésirables comprenaient des hémorragies post-partum (perte considérable de sang après l’accouchement) et l’extraction manuelle du placenta. 146 752 femmes ont été suivies, dont 63 % ont donné naissance à la maison, contre 37 % en centre hospitalier.

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La grossesse : moment de quiétude

Cette conclusion faite suite à une enquête effectuée par la Fondation PremUp avec l’institut Opinion Way sur la perception de la grossesse. Le seul bémol récurant serait en fait le manque d’accompagnement de la part du système de santé.

60 % des femmes interrogées se sont dites déçues du manque de suivi de la part des médecins et des sages-femmes. Celles ayant reçu des conseils disent n’avoir été informées que des sujets communs tels que les comportements à risque (consommation d’alcool, cigarette, nourriture).

Moins de 4 futures mamans sur 10 ont été mises au fait des grossesses pathologiques.  Il s’agit de grossesses au cours desquelles survient un événement qui comporte un risque, soit pour la mère ou pour l’enfant, ou encore pour les deux.

Ce qui pourrait néanmoins expliquer la quiétude ressentie par la majorité d’entre elles pourrait être causé par un déni face à la grossesse pathologique. Certaines femmes refusent même des soins à privilégier pour des raisons financières.

Plus d’un tiers des femmes ne considèrent pas la grossesse comme une période à risque et sentent qu’elles peuvent à peu près tout faire comme avant.

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L’accouchement à domicile devrait-il être encouragé?

« Le choix devrait revenir aux mères », révèle une étude britannique, parue le 19 avril dans le British Medical Journal, qui appuie les conclusions d’une méta-analyse de la Cochrane Review.

Au Royaume-Uni, l’accouchement à domicile en compagnie d’une sage-femme est davantage monnaie courante qu’en France ou au Québec. Bien que le tout soit légal chez les Français, il manque de professionnelles de la naissance à domicile, et peu de femmes semblent vouloir adopter la méthode.

Les données de plus de 65 000 femmes anglaises ont été analysées par l’étude, qui tentait de faire un rapport entre les coûts, la sécurité, les risques (mortalité périnatale, complications chez la mère), les méthodes d’accouchement (sage-femme ou obstétricien) et les lieux (maison, hôpital, maison de naissance).

Il s’est avéré que l’accouchement à domicile (1300 € en moyenne) était environ 6000 € moins cher qu’à l’hôpital (1988 €) et environ 4000 € moins dispendieux que dans une maison de naissance avec une sage-femme (1767 €).

En examinant une foule d’éléments et de relations de cause à effet, les chercheurs ont conclu que pour les femmes qui sont enceintes de leur premier enfant, l’accouchement à la maison demeure l’option la moins coûteuse, mais le risque de complications est plus élevé.

Pour celles qui accouchent de leur deuxième enfant et au-delà et qui ont une grossesse sans complication, l’accouchement à la maison est un excellent choix sur les points de la rentabilité et de la sécurité.

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Accouchement : les femmes font-elles vraiment ce qu’elles veulent?

Une étude néerlandaise parue dans le Journal of Psychosomatic Obstetrics & Gynecology révèle des critères étonnants qui font en sorte qu’une femme peut ou non accoucher dans la position qu’elle souhaite.
 
Selon les données qui ont été recueillies auprès de 1154 femmes aux Pays-Bas, toutes celles qui ont voulu donner la vie en étant couchées sur le dos (59 %) ont pu le faire. Toutefois, la demande de celles qui voulaient le faire debout ou en position accroupie (20 %) n’a pas été acceptée dans tous les cas, et les autres futures mères (21,5 %) n’avaient pas de préférence pour la position adoptée le jour J.
 
Ce qui influencerait le choix de la sage-femme ou du médecin à accepter la position désirée? La durée du travail de la deuxième étape de l’accouchement, le niveau de l’éducation de la femme et si elle donne naissance à la maison ou en milieu hospitalier.
 
En résumé, les auteurs de l’étude expliquent que si la femme désire accoucher dans une position autre que couchée sur le dos, ceci ne semble être accordé que si le travail dure trop longtemps et que cela oblige à tester des positions différentes.
 
De plus, les femmes qui accouchent à domicile semblent plus libres de réaliser ce qu’elles désirent. Si elles veulent donner la vie en milieu hospitalier de façon accroupie ou debout, les futures mères doivent convaincre le médecin avec de bons arguments et s’être documentées à l’avance pour fournir des propos justifiables. Cela expliquerait pourquoi le niveau d’éducation entre en ligne de compte dans les critères plutôt étonnants de cette étude.
 
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Accoucher à la maison, une tendance qui prend de l’ampleur

On apprend sur Magicmaman qu’un nombre grandissant de futures mères choisissent de donner naissance à leur enfant à la maison. Seulement aux États-Unis, ce nombre d’accouchements a augmenté de 20 % entre 2004 et 2008, mais la tendance s’étend bien au-delà et gagne en popularité.

Une sage-femme de Las Vegas, qui ne manque pas de travail, confie : « Ce type d’accouchement concerne de plus en plus les personnes bien éduquées et bien informées ».

En fait, les raisons de cette démarche sont diverses : fuir l’environnement médical, éviter une césarienne à la suite d’une première expérience ou, dans les cas des Américaines, éviter des frais médicaux par manque de moyens financiers.

C’est le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui a effectué la recherche aux États-Unis. Les représentants du Collège américain des gynécologues-obstétriciens, quant à eux, déplorent la popularité grandissante de cette méthode d’accouchement. Selon eux, le danger est réel s’il y a complication ou urgence et les sages-femmes manquent de formation.

Pratiquement seul dans son camp, le Dr Joel Evans, gynécologue-obstétricien et directeur du Centre pour la santé des femmes à Stamford au Connecticut, soutient l’accouchement à domicile. Il explique : « Les femmes cherchent maintenant une alternative qui leur permet d’être traitées individuellement et non pas de suivre des protocoles qui augmentent le stress et l’anxiété lors de l’accouchement ».

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Comment accoucherez-vous?

Les femmes réfléchissent toutes à la façon dont elles mettront leur enfant au monde. Plusieurs optent pour un plan de naissance et choisissent une accompagnatrice.

Si le travail des sages-femmes est désormais mieux reconnu et que de nombreuses futures mamans se tournent vers les maisons de naissance, plusieurs préfèrent accoucher chez elles.
 
En fait, durant les dernières années, les accouchements à la maison sont en perpétuelle augmentation. Par exemple, aux États-Unis, ils ont connu une hausse de 20 % de 2004 à 2008.
 
C’est ce que nous apprend une étude publiée dernièrement dans Issues in Perinatal Care. Après une baisse continuelle durant les années 90, les accouchements à la maison semblent effectuer un retour en force.

Ils demeurent toutefois l’exception. Par exemple, aux États-Unis, ils ont représenté seulement 0,67 % des naissances en 2008. Il s’agit malgré tout du plus haut taux de toute la décennie précédente.

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Les sages-femmes se soulèvent

Nous avons appris récemment que plus de femmes préfèrent encore aujourd’hui accoucher à l’hôpital. Très peu d’entre elles sont suivies par une sage-femme et donnent naissance à leur enfant à la maison.

Or, nous apprenons maintenant que des sages-femmes de l’Angleterre accusent les médecins d’en être la cause, car ceux-ci laissent croire qu’une naissance à la maison est plus risquée.

Selon Mail Online, la professeure Cathy Warwick, la tête dirigeante du Royal College of Midwives (collège des sages-femmes), souligne qu’une femme ne présentant pas de complications peut autant accoucher à la maison qu’à l’hôpital.

Cette année, seulement 2,7 % des femmes ont accouché à la maison, un chiffre que madame Warwick trouve bien décevant.

Pourtant, elle indique les sages-femmes sont compétentes et adéquatement formées pour donner la vie à la maison en toute sécurité.

Soulignons que l’accouchement avec une sage-femme est beaucoup plus commun de ce côté de l’océan, où plusieurs maisons de naissance existent.