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Les femmes crieraient trop en accouchant

Une fois sur quatre, les cris d’une femme qui accouche peuvent dépasser cent quinze décibels.

Or, un bruit de 115 décibels est au-dessus de la limite permise d’exposition professionnelle ont fait remarqué des sages-femmes d’un hôpital de Skövde, en Suède.

On peut lire dans le Dagens Sjuksköterska, un quotidien de ce pays destiné aux infirmières, que certaines de ces professionnelles suédoises se plaignent des cris des futures mamans.

La requête n’a pas été prise trop au sérieux jusqu’ici. Cette plainte quant aux conditions de travail de personnes aidant à donner la vie est des plus surprenantes.

Il semble pourtant qu’elle est fréquente et répétée. Pourtant, il serait difficile de demander à une femme de retenir ses cris pendant son accouchement.

Certains recommandent donc aux sages-femmes de se mettre des bouchons dans les oreilles afin de régler en partie ce problème.

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Un accouchement à la maison

La Dre Patricia Janssen et son équipe, de l’Université de la Colombie-Britannique, affirment que les futures mères peuvent envisager sans crainte de donner naissance à domicile, sous la supervision d’une sage-femme, plutôt que dans un hôpital.

Les chercheurs ont observé que ce type de naissance entraînait moins de césariennes et de complications et que le risque de mortalité du bébé était similaire, sinon moindre, à celui observé en milieu hospitalier.

« Nous ne négligeons pas l’importance du libre choix parmi les femmes qui optent pour la naissance à domicile. Ce libre choix peut être un élément important de la gestion du risque dans les naissances à domicile et, dans ce contexte, il s’agit d’une facette souhaitable de la méthodologie de l’étude. Selon les renseignements que nous avons obtenus, la disponibilité de sages-femmes autorisées peut facilement motiver le choix du lieu de l’accouchement », ont fait savoir les auteurs de cette recherche publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne.

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Inauguration d’une maison de naissances

La Maison de naissances de la Capitale-Nationale, située à Limoilou, a ouvert ses portes hier (23 octobre) en présence du ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc.

L’endroit compte cinq chambres, ce qui en fait la plus grande des neuf maisons de naissances du Québec.

Cinq sages-femmes et six aides natales offriront le suivi de grossesse aux futures mamans, qui pourront accoucher au centre dès cette semaine.

« Tel qu’introduit par la Politique de périnatalité, notre gouvernement entend offrir aux femmes le choix d’être accompagnées par une sage-femme pendant la grossesse, l’accouchement et la période postnatale. À Québec, elles pourront désormais accoucher avec une sage-femme à la maison, à l’Hôpital Saint-François-d’Assise ainsi que dans cette nouvelle maison de naissances », a souligné le ministre Bolduc.

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Une maison des naissances à Québec

Philippe Couillard, le ministre de la Santé et des Services sociaux, a annoncé l’ouverture d’une nouvelle maison des naissances, qui commencera ses activités en septembre prochain dans le quartier Limoilou, à Québec.

Ce projet signifie par ailleurs l’embauche de 7 sages-femmes, qui feront le suivi des grossesses de leurs patientes.

L’établissement, qui sera à proximité de l’Hôpital Saint-François d’Assise, comptera 3 étages et 5 chambres pour accueillir les femmes enceintes.

« L’ouverture d’une maison des naissances à Limoilou fait partie de notre stratégie pour mieux répondre aux besoins des femmes de la Capitale-Nationale en matière de périnatalité, dans le respect du caractère naturel de la grossesse et de l’accouchement», a souligné le ministre Couillard.

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Un projet de loi pour les sages-femmes

Avec son projet de loi sur les sages-femmes, le ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Michael Murphy, entend rapatrier cette fonction dans le giron du système de santé public.

M. Murphy s’explique : « Puisqu’au Nouveau-Brunswick ce métier n’a pas été réglementé ou financé par les pouvoirs publics, très peu de sages-femmes exercent dans notre province. Notre gouvernement est convaincu que les sages-femmes peuvent jouer et joueront effectivement un rôle important au sein de notre système de soins de santé. »

Si ce projet de loi est accepté, les sages-femmes pourront faire des suivis de grossesses, assister les futures mères lors de leur accouchement et faire un suivi post-partum. De plus, elles seront autorisées à prescrire et administrer certains médicaments et réaliser certaines procédures.

« L’intégration de la profession de sage-femme dans notre équipe de soins de santé signifie que les femmes néo-brunswickoises profiteront d’un accès amélioré à des soins obstétricaux et de gynécologie », a conclu M. Murphy.