Catégories
Uncategorized

La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

Catégories
Uncategorized

Boire de l’eau pour manger des légumes

Selon une étude l’Université de l’Oregon aux États-Unis, les enfants qui boivent plus d’eau font des choix alimentaires plus sains, ont une meilleure ouverture d’esprit et un appétit plus grand envers les légumes.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont observé les boissons et les légumes consommés par 75 enfants âgés de trois à cinq ans.

Il s’est avéré que les enfants qui buvaient de l’eau au lieu d’une boisson gazeuse durant le repas mangeaient plus de légumes crus comme des carottes ou des poivrons.

La professeure Bettina Cornwell, coauteure de l’étude, explique cette tendance par le fait que très tôt, les enfants apprennent à associer les boissons gazeuses riches en calories à des aliments gras et salés comme les frites.

Pour mener à une vie saine, contrer l’obésité infantile et le diabète chez les jeunes adultes, la spécialiste croit que les parents, tout comme les restaurateurs, devraient proposer davantage l’eau avec les repas pour enfants et même faire payer un supplément aux familles lorsque les petits veulent des boissons sucrées, rapporte le Daily Mail qui s’est basé sur l’étude parue dans la revue scientifique Appetite.

Catégories
Uncategorized

Les enfants hyperactifs doivent avoir une saine alimentation

Une étude américaine publiée dans la revue Pédiatrics révèle que les parents des enfants qui souffrent d’hyperactivité et de trouble du déficit de l’attention devraient être plus vigilants quant au type d’aliments que mangent leurs bambins.

Dans leur rapport, les chercheurs de la Faculté de médecine de Chicago expliquent : « Porter une attention plus soutenue à l’éducation des parents et des enfants pour qu’ils suivent un régime alimentaire sain, laissant de côté les aliments qui semblent prédisposer au TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité), est peut-être le remède pratique alternatif ou complémentaire le plus prometteur pour traiter le TDAH ».

Malgré cette conclusion, les spécialistes semblent douter de certains régimes alimentaires populaires qui suggèrent de ne consommer que des produits exempts de colorants alimentaires rouge et orange, ou encore qui remettent en cause les régimes sans allergènes, comme les germes de blé, les œufs, le chocolat et le fromage.

Catégories
Uncategorized

Le bon cholestérol ne serait pas toujours sain

Alors que depuis des années, on pointe du doigt un taux élevé de mauvais cholestérol (LDL) qui serait lié à un risque accru de maladies cardiaques, voilà qu’une nouvelle étude d’une équipe de l’Université de Pennsylvanie, publiée dans le New England Journal of Medicine, affirme que le bon cholestérol (HDL) n’est pas aussi sain qu’on le croit.
 
On a constaté qu’une protéine présente dans certains bons cholestérols pouvait aider à éviter les dépôts dans les artères plus efficacement que chez d’autres HDL. Bien que les recherches se poursuivent, cela expliquerait pourquoi certaines personnes qui ont un haut taux de bon cholestérol seraient exposées à un risque accru de maladies cardiaques, alors que d’autres personnes avec un faible taux n’auraient aucun risque.
 
Il est donc important de consulter son médecin afin de mesurer son taux de cholestérol régulièrement.
 
Pour garder son cholestérol le plus équilibré possible, on recommande notamment de manger des noix, des avocats, d’utiliser de l’huile de tournesol et d’olive, de consommer des céréales complètes et d’éviter les glucides raffinés comme le pain blanc.