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Les agrumes combattent la mauvaise haleine

Si vous n’avez pas de brosse à dents sous la main ni même de gomme ou de menthe, il y a tout de même un truc ou deux pour diminuer, voire éviter la mauvaise haleine.

Tout d’abord, vous devez boire beaucoup d’eau, informe Améliore ta santé, puisqu’à la base, c’est la production de salive qui maintient votre bouche plus fraîche. Dès que vous avez la bouche plus sèche, vous risquez de dégager une haleine moins agréable.

Les bactéries et diverses infections se développent lorsque vous manquez de salive. Ayez donc dans votre sac à lunch ou sac à main des agrumes déjà préparés en quartiers.

Pamplemousse, orange, mandarine ou clémentine, les agrumes stimulent efficacement la production de salive et diminuent donc la mauvaise haleine. Même une eau citronnée vous viendra en aide.

Si votre régime alimentaire ne comprend pas suffisamment de glucides, il se peut que votre haleine en souffre également.

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Le premier biomarqueur relié à la dépression chez les garçons adolescents

Medical News Today rapporte que selon la National Institute of Mental Health, 11,2 % des adolescents américains âgés de 13 à 18 ans ont déjà souffert d’une dépression sévère. Les chercheurs du Royaume-Uni viennent d’établir un biomarqueur qui pourrait aider à déceler et prévenir la dépression chez les garçons.

Les spécialistes ont mesuré le niveau de cortisol, une hormone de stress, présente dans les échantillons de salive d’adolescents qui devaient par la suite répondre à un questionnaire évaluant les symptômes de dépression. En se basant sur le niveau de cortisol et les symptômes, ceux-ci ont été séparés en 4 groupes.

Après un suivi échelonné entre 12 et 36 mois, les chercheurs ont réussi à établir quel groupe était le plus à risque de développer des troubles psychiatriques. Ils ont découvert qu’un niveau élevé de cortisol chez les garçons était le messager de la dépression.

Le professeur Goodyer a expliqué que cette percée permettra de réduire le nombre de personnes souffrant de la dépression en s’assurant de la traiter de façon préventive.

Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Savoir reconnaître la mononucléose

L’automne apporte son lot de jolis paysages, de feuilles colorées, de soirées fraîches et de… baisse d’énergie. Les gens qui sont frappés par une forme de dépression saisonnière ou une autre sont nombreux, mais certains pourraient bien être aux prises avec un autre type de mal : la mononucléose.

Comment reconnaître une mono d’une simple fatigue saisonnière? Voici quelques informations, rapportées par e-sante.fr.

D’abord, il faut comprendre que la mononucléose est un virus, qui se transmet et s’attrape un peu comme la grippe. Elle n’est pas considérée comme une maladie grave, mais elle affectera certainement le quotidien des gens qui l’attraperont.

Si elle frappe surtout les plus jeunes (adolescents), les adultes sont tout aussi à risque de contracter cette maladie transmise majoritairement par la salive.

Impossible de ne pas la remarquer non plus, puisque la fatigue intense qu’elle procure est indiscutable. Une personne peut se voir dans l’incapacité totale de fonctionner normalement.

S’ajoutent aux symptômes de fatigue intense : maux de gorge, forte fièvre, frissons et courbatures (douleurs musculaires). Bref, le corps ressent un malaise général, ce qui la rend facile à détecter.

Il est important de consulter si vous reconnaissez ces symptômes, car vous n’êtes peut-être pas seulement atteint d’un mal automnal.

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Bientôt une nouvelle façon de détecter le diabète

En ce moment, les personnes diabétiques doivent parfois faire jusqu’à 10 prélèvements sanguins, mais cela pourrait bientôt être du passé.
 
En effet, des chercheurs mentionnent dans l’Advanced Functional Materials avoir créé des biocapteurs capables de détecter des quantités, même infimes, de glucose dans la salive, les larmes ou l’urine.
 
Ces tests permettraient donc de réduire la fréquence des prélèvements quotidiens pour le contrôle du diabète.
 
De plus, il s’agirait de tests fabriqués à faible coût.
 
Cette découverte pourrait aussi servir pour la détection d’autres conditions médicales. Il suffirait de modifier l’enzyme afin de permettre de détecter une autre pathologie.
 
Jusqu’à présent, les chercheurs avaient tenté de créer des tests cutanés ou par le lobe de l’oreille ou l’haleine, mais rien ne s’était avéré assez fiable.
 
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Les bébés peu stressés développent moins d’allergies

Une nouvelle étude de l’Institut de Karolinska, en Suède, démontre que durant les deux premières années de leur vie, les nourrissons ayant de faibles concentrations de cortisol — l’hormone liée au stress — dans leur salive développent moins d’allergies que les autres nourrissons.

Depuis quelques décennies, le taux d’allergies chez les enfants ne cesse d’augmenter. En Suède, 30 à 40 % des enfants ont une quelconque forme d’allergie.

Le mode de vie et l’environnement dans lesquels on vit seraient des éléments qui influencent le développement de ces réactions liées au stress, et donc à un taux élevé de cortisol.

Les spécialistes espèrent que ces nouvelles connaissances seront utiles pour prévenir ce type de maladies. Les enfants seront dorénavant suivis dès la naissance et pendant toute leur enfance.

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La maladie expliquée par la salive

On pourrait maintenant expliquer pourquoi les enfants ont des défenses immunitaires plus faibles que les adultes. Des chercheurs suédois, après avoir réalisé la cartographie de la salive d’enfants, auraient peut-être trouvé la question quant à l’incapacité de ces derniers à lutter contre des infections.

C’est que la salive, étant produite par les petites et les grandes glandes salivaires, contiendrait plusieurs éléments importants. Elles produisent une sécrétion qui lubrifie les muqueuses, mais qui contient aussi des substances antimicrobiennes.

Lesdites substances antimicrobiennes font partie des défenses du système immunitaire, nous protégeant ainsi des infections, lit-on sur Medical News Today.

Dans leur étude, les chercheurs ont analysé la salive de 200 sujets, qui comprenaient des enfants d’âge préscolaire, des adolescents et de jeunes adultes. Pour la première fois, on a tenté d’évaluer l’apparition de certaines composantes de défense immunitaire durant la croissance.

Entre autres, on a remarqué que les jeunes enfants présentaient une plus petite quantité d’immunoglobuline que les adultes. D’autres composantes se sont avérées très semblables, toutefois.

La différence entre les défenses immunitaires des enfants et des adultes s’expliqueraient simplement par le fait que le développement des premiers n’est pas complété. En se basant sur ces résultats préliminaires, on remarque déjà que le développement de ces défenses se produit entre 10 et 12 ans, bien que certaines soient déjà présentes durant la petite enfance.

Crédit pphoto : Stuart Miles / FreeDigitalPhotos.net

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Les chiens hypoallergènes n’existeraient pas?

En raison d’allergies, certaines personnes qui aiment les chiens optent pour des races dites hypoallergènes comme les bichons, les caniches ou le chien d’eau portugais, mais une étude dévoile que ces chiens produiraient autant d’allergènes que les autres.
 
Des chercheurs du Henry Ford Hospital au Michigan ont analysé des échantillons de poussière de chambres d’enfants de 173 maisons avec un chien. 60 races étaient impliquées, dont 11 considérées comme hypoallergènes.
 
Aucune preuve n’a pu dire que ces chiens produisaient effectivement moins de squames, de salive et perdaient moins leurs poils.
 
« Nous n’avons trouvé aucune base scientifique démontrant que les chiens hypoallergènes étaient moins allergènes. L’exposition à un chien tôt dans la vie est la meilleure protection contre le développement d’une allergie au chien » , explique la Dre Christine Johnson à l’American Journal of Rhinology and Allergy.
 
Par contre, les chercheurs reconnaissent les limites de leur étude, notamment que le temps passé par le chien dans la chambre n’a pas été mesuré. Ils suggèrent tout de même de ne pas se fier au titre « hypoallergène » de certaines races de chiens.
 

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Un simple test pour sauver bébé

On apprend dans le New England Journal of Medicine qu’un test de salive pourrait détecter le cytomégalovirus (CMV). On pourrait donc faire éviter le pire à plusieurs bébés naissants.

Le CMV constitue l’infection fœtale la plus répandue dans les pays industrialisés. On accorde à ce virus plus d’infections qui sont très difficiles à détecter. S’il atteint la femme enceinte, il peut entraîner plusieurs problèmes de santé au fœtus.
 
En le détectant plus tôt et plus facilement, on pourrait aussi intervenir plus rapidement, pour ainsi minimiser la perte d’audition ou les dégâts causés quant au développement du langage chez le nouveau-né atteint du cytomégalovirus.

À l’heure actuelle, la plupart des enfants qui sont touchés par ce virus ne reçoivent pas de diagnostic, car il présente peu ou pas de symptômes. De plus, les tests portant sur le CMV ne font pas partie de la routine préventive médicale.

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L’épuisement professionnel détecté par la salive et le sang

Des chercheurs montréalais sont parvenus à déceler l’épuisement professionnel par de simples échantillons de salive et de sang.
 
Selon la revue Psychoneuroendocrinology, 30 personnes ont participé à cette recherche. On leur a prélevé de la salive à différents moments de la journée pour mesurer le taux de cortisol, l’hormone liée au stress. On a également vérifié leurs niveaux d’insuline, de sucre, de cholestérol, d’inflammation et de tension artérielle. De plus, chaque personne devait répondre à un questionnaire pour évaluer son niveau de stress ainsi que les symptômes de dépression et d’épuisement professionnel.
 
Chez les personnes avec un épuisement professionnel, le niveau de cortisol était plus bas que la normale et il y avait certains dérèglements métaboliques. Pour les personnes avec des signes de dépression, le niveau de cortisol était trop élevé et les dérèglements n’étaient pas les mêmes.
 
Cette découverte permettrait des traitements mieux ciblés, car les personnes souffrant d’épuisement professionnel sont souvent traitées avec des antidépresseurs qui abaissent le niveau de cortisol, ce qui ne fait qu’aggraver le problème finalement.
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Détecter l’épuisement professionnel par de simples tests sanguins ou salivaires

Une étude du Centre de recherche sur le stress humain de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine démontre que le burnout laisse des traces biologiques qui sont facilement détectables. Ainsi, de simples tests pourraient déterminer si l’épuisement professionnel guette un patient.
 
30 travailleurs ont répondu à un questionnaire pour évaluer leur niveau de stress, en plus de fournir un échantillon sanguin pour mesurer quinze facteurs liés au stress chronique, comme le cholestérol et l’insuline. Avec le test de salive, on a également pu mesurer le taux de cortisol, l’hormone du stress.
 
Ces tests permettraient donc aux médecins de déceler rapidement les personnes sujettes à souffrir d’épuisement professionnel et ainsi leur assurer un suivi adéquat.
 
Mentionnons que le burnout et la dépression sont souvent considérés comme une même pathologie, mais ce n’est pourtant pas le cas. Le niveau de cortisol est anormalement bas lors d’un épuisement professionnel, ce qui n’est pas le cas durant une dépression.