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Le mauvais cholestérol serait-il un mythe?

Pour le professeur Philippe Even, le mauvais cholestérol pourrait bien relever du mythe et favoriserait plus la santé financière des industries pharmaceutiques que celle des citoyens.

On peut comprendre l’ampleur de la polémique qui se pointe à l’horizon avec ces propos, rapportés notamment par Top Santé.

Le professeur Even écrit dans son livre La vérité sur le cholestérol que certaines compagnies et certains individus auraient même été jusqu’à falsifier des rapports et mentir de façon éhontée afin de promouvoir la vente de médicaments et de traitements pour le cholestérol.

Du nombre, ces fameuses statines, qui prennent de plus en plus de place sur le marché et qui seraient si non inutiles, à tout le moins surprescrites.

De plus, il considère que les effets secondaires de ces traitements dépassent largement leurs effets bénéfiques, et que le public se fait avoir au final.

Il croit que plusieurs industries et compagnies pharmaceutiques font preuve de comportements irresponsables, et s’insurge contre de tels procédés.

Héros ou opportuniste, le professeur Even? Le temps nous le dira.

Le professeur Even est directeur de l’Institut Necker et biochimiste de formation.

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Une protéine qui augmente les risques de haute pression

Des chercheurs viennent de découvrir l’impact et l’importance insoupçonnés d’une protéine sur les risques de développer des problèmes de haute pression, rapporte les National Institutes of Health.

Cette protéine lrp1 était déjà bien connue des spécialistes, notamment pour son rôle dans la régulation du fer contenu dans l’organisme. Il appert maintenant qu’elle joue également un rôle important dans la prévention de la haute pression, plus précisément chez une forme qui affecterait les poumons.

Ce sont des tests effectués sur des souris qui ont permis d’en arriver à cette conclusion, et les chercheurs disent avoir bon espoir de pouvoir traduire ces recherches en percée médicale.

« Ces informations pourraient mener à des progrès concernant le traitement de la polycythémie et de l’hypertension pulmonaire qui surviennent sans cause apparente. Il est donc possible que ces désordres soient le résultat d’une dysfonction de la protéine lrp1 », déclare Tracey A. Rouault, auteure de l’étude.

Ces recherches ont également permis de mieux comprendre comment le corps dirige le fer dans l’organisme pour notamment prévenir l’anémie (déficience des globules rouges dans le sang).

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Le sexe au service du système immunitaire

Faire l’amour est une action qui possède plusieurs propriétés thérapeutiques, mais saviez-vous qu’elle permet également de renforcer le système immunitaire?

C’est du moins ce que l’on apprend par l’entremise de Top Santé, qui rapporte les conclusions d’un chercheur suisse qui croit pouvoir prouver cette théorie.

Manfred Schedlovski s’est concentré sur les taux de globules blancs, ou de cellules T, dans l’organisme avant, pendant et après l’acte sexuel. Ces globules sont primordiaux dans la réponse du système face aux virus et maladies virales de toutes sortes, notamment la grippe.

Le spécialiste constate que les taux de cellules T augmentent dès qu’il y a rapport sexuel, allant même jusqu’à se dupliquer pour un effet qui dépasse la durée des ébats amoureux.

« Le sexe augmente la quantité de ces cellules T, ce qui favorise la récupération de l’organisme, mais appuie son système immunitaire », déclare avec certitude le professeur Peter Schleicher.

Plusieurs études corroborent ces conclusions et parlent aussi de prévention des maladies cardiaques. La « posologie » minimale pour bénéficier de ces effets serait d’au moins deux relations par semaine.

Exit le jus d’orange pour contrer la grippe, bienvenue au sexe!

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Les caroténoïdes au service de l’humeur

Santé Log s’attarde aux effets possibles sur l’humeur de certains légumes qui contiennent des caroténoïdes. En effet, on avance que ces légumes pourraient bien avoir un impact sur votre humeur, et ainsi influencer vos réactions.

C’est du moins ce que concluent des chercheurs de la prestigieuse université Harvard, qui publient leurs conclusions sur le sujet dans le magazine scientifique Psychometric Medicine.

On y apprend notamment l’impact possible de ces aliments sur l’optimisme, ou le fait de voir les choses du bon œil. Pour prouver ces dires, les chercheurs donnent des statistiques qui démontrent que les gens qui se disent optimistes présentent des taux de caroténoïdes dans le sang plus élevés que les autres.

Pour étoffer le dossier, les experts de Harvard ont pris le temps d’étudier les cas de près de 1000 hommes et femmes qui se sont prêtés au jeu. Après avoir soustrait plusieurs autres facteurs et isolé celui-ci, les chercheurs sont convaincus : les gens plus joviaux et optimistes présentent des niveaux de caroténoïdes haussés de 3 à 13 %, selon les individus.

Outre ces nouvelles révélations, on rappelle qu’il est de notoriété publique que la consommation quotidienne de fruits et légumes est bénéfique pour la santé.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Une protéine dans le sang liée à l’état dépressif

On apprend par l’entremise de www.nlm.nih.gov que des chercheurs viennent d’identifier une protéine spécifique qui pourrait indiquer l’état dépressif, voire mener à la maladie.

Les chercheurs danois qui publient cette étude croient avoir remarqué que les taux de la protéine C réactive dans le sang sont clairement plus élevés chez les gens qui souffrent de dépression que chez les autres.

Il est d’autant plus intéressant d’apprendre cet état de fait que la hausse de C réactive est aussi un symptôme lié aux inflammations ou à certaines infections.

Une grande question demeure : ces taux de protéine C réactive dans le sang sont-ils simplement des indicateurs ou sont-ils aussi en cause dans le développement des troubles dépressifs?

Bien sûr, s’il était prouvé que les humeurs peuvent varier en fonction de ces taux, les chercheurs pourraient éventuellement en arriver à certaines nouvelles formes de traitement.

Pour l’instant, le Dr Borge Gronne, du Copenhagen University Hospital, se limite à confirmer que les gens avec des taux élevés de C réactive sont deux à trois fois plus sujets à la dépression que les autres.

Il précise par contre qu’ils ignorent lequel déclenche quoi, c’est-à-dire quelle action vient en premier.

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La haute pression chez les jeunes : des diagnostics déficients

L’American Heart Association lance un cri d’alerte concernant les problèmes de haute pression chez les jeunes et met en garde les praticiens contre certaines lacunes de diagnostics observées.

Il semble que les médecins ne soient pas très enclins à surveiller d’éventuels problèmes de haute pression chez les plus jeunes, un phénomène pourtant bien réel.

www.newsroom.heart.org rapporte que dans plusieurs cas, les patients ne reçoivent un tel diagnostic que longtemps, parfois jusqu’à quatre ans, après l’apparition réelle du problème.

Les jeunes fumeurs, entre autres, sont sujets à faire de la haute pression.

Fait étonnant, les femmes médecins obtiennent une meilleure note, alors qu’elles font régulièrement des diagnostics de haute pression chez leurs patients plus jeunes.

C’est d’ailleurs une femme, Heather Johnson, qui est à la tête de l’étude. Elle déclare : « Les jeunes adultes de 18 à 24 ans qui passent dans les cliniques se font pourtant tester au niveau de la pression sanguine. Cependant, il n’y a aucune documentation, et les diagnostics réels sont rares. Nous voulons savoir pourquoi ».

On suggère aux jeunes patients de prendre le temps de poser des questions à cet effet lors de leurs visites chez le médecin de famille.

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Découvrez les triglycérides

Que sont les triglycérides? www.e-sante.com nous suggère de l’apprendre rapidement, car ils jouent un rôle clé sur notre santé.

Pourtant peu connus du « grand public », les triglycérides sont des acides gras qui peuvent devenir risqués pour la santé, à l’image du cholestérol. Fabriqués en partie dans le sang à la suite des consommations trop importantes de sucre et d’alcool, ils jouent à la base un rôle de « réserve énergétique ».

Lorsque le corps en produit trop, cela a pour effet d’épaissir le sang, entre autres. De plus, les triglycérides se stockent dans les tissus adipeux. Ces conséquences peuvent être observées les lendemains de veille, lors de ce phénomène communément appelé « gueule de bois ».

Au final, ils peuvent augmenter les risques de problèmes cardiovasculaires, spécialement lorsqu’une personne présente également un taux excessif de mauvais cholestérol (LDL) dans le sang.

D’autres problèmes peuvent aussi survenir, dont l’inflammation du pancréas.

Bien entendu, encore une fois, les spécialistes suggèrent de surveiller notre alimentation, en coupant les excès de sucre, de gras et d’alcool. L’exercice est aussi une bonne façon de contrer et de réguler les taux de cholestérol et de triglycérides dans le sang.

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Une forme héréditaire d’Alzheimer détectable rapidement

Santelog.com rapporte que des chercheurs croient pouvoir détecter la maladie d’Alzheimer, dans sa forme héréditaire, chez un patient dès l’âge de 18 ans!

Certains signaux seraient identifiables au cerveau, ceux-là mêmes qui sont à blâmer pour les pertes de mémoire éventuelles, et même la démence.

Ceci permettrait de détecter la maladie très tôt chez un patient, voire quelques décennies avant que les symptômes fassent leur apparition.

C’est en comparant les données relevées lors de tests sanguins et de numérisations du cerveau, entre de jeunes patients porteurs de la maladie et d’autres qui n’en étaient pas atteints, que les chercheurs sont arrivés à ces conclusions.

On a répertorié, chez les jeunes patients atteints, des niveaux plus élevés de l’amyloïde B1-42 dans le sang et dans le cerveau (liquide céphalo-rachidien) que chez les autres. Aussi, des zones différentes du cerveau des patients se sont activées lors de tests de mémoire.

D’autres observations ont été faites, ce qui confirmerait que des différences de structure sont observables chez des patients aussi jeunes que 18 ans. Ceci pourrait aider à prévenir la progression de la maladie, avec une détection précoce.

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Les jeunes conviés à surveiller leur taux de cholestérol eux aussi

Les jeunes adultes et les adolescents devraient déjà commencer à surveiller leur taux de cholestérol dans le sang, propose une étude rapportée par www.nim.nih.gov.

Plutôt que d’attendre à plus tard, lorsque les problèmes surviennent, les chercheurs suggèrent aux plus jeunes de faire du dépistage à cet effet, ce qui n’est pas sans soulever la controverse parmi la communauté scientifique et le public.

Les conclusions, publiées dans le Journal of the American College of Cardiology, tendent à conclure que les mutations naturelles encourues lors du vieillissement normal du corps prendraient une tangente de bonne santé cardiaque lorsque le mauvais cholestérol dans le sang demeure bas toute sa vie.

On affirme que les risques de problèmes cardiovasculaires sont réduits de trois fois par rapport à ceux qu’encourent les gens sous médication pour contrôler le cholestérol.

Mieux vaut prévenir que guérir, donc, est une maxime qui ne s’est jamais aussi bien appliquée que pour cette situation.

Les maladies cardiaques demeurent la principale cause de mortalité à travers le monde et sont responsables du tiers des décès aux États-Unis seulement.