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Les noix : des alliées dans la guerre contre le diabète

Les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent compter sur les noix comme alliée pour aider à maitriser les effets de cette terrible maladie.

En effet, selon extenso.org, la consommation de noix permet de diminuer le taux de LDL dans le sang, soit le mauvais cholestérol. On reconnait aussi une hausse probable du taux de bon cholestérol.

Les noix sont déjà recommandées aux patients aux prises avec des problèmes cardiovasculaires.

Partant de là, des spécialistes ont voulu vérifier les effets bénéfiques des noix sur des patients atteints de diabète, entre autres afin de tenter de maitriser les niveaux de sucre dans le sang.

L’étude, provenant de l’Université de Toronto, en Ontario, analyse les dossiers de 24 patients, dont 10 diabétiques et 14 en pleine santé. On a alors comparé les effets de la consommation de noix sur l’organisme à court terme.

Agissant sur le système gastrique, les matières grasses des noix ont en effet semblé agir sur les taux de sucre des sujets. Cependant, le principe a mieux fonctionné chez les sujets dits « normaux ».

Plusieurs autres facteurs viennent faire varier les données et résultats, mais il semble que la théorie de base s’avère exacte.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Le manque d’oméga-3 lié à la dépression chez les femmes âgées

Plusieurs études récentes suggéraient un lien entre les symptômes de dépression et le manque d’oméga-3 dans l’organisme.

Cette fois, des chercheurs italiens ont décidé de pousser cette question plus loin, en ciblant le phénomène chez les femmes plus âgées.

46 femmes âgées de 66 à 95 ans avec un diagnostic de dépression ont donc fait partie des patientes dans cette étude. On a par la suite séparé le groupe en deux, l’un recevant un complément alimentaire d’oméga-3, et l’autre, un placebo.

Les résultats, rapportés par Lanutrition.fr, sont plutôt clairs. Les chercheurs concluent qu’un taux plus élevé d’EPA dans le sang permet d’amoindrir les symptômes de la dépression. Des changements d’humeur positifs ont également été notés chez ces personnes d’âge mûr.

Il faut cependant prendre note que les spécialistes italiens croient qu’il faut également regarder du côté des taux d’acides gras oméga-6, qui joueraient un rôle important dans le processus.

En clair, plus le taux d’oméga-3 est élevé, combiné à un taux d’oméga-6 faible, plus les symptômes liés à la dépression sont faibles.

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Bonne nouvelle pour les bébés prématurés

En effet, santelog.com rapporte que les cliniciens croyaient depuis toujours que le sang frais apporterait de meilleurs résultats, en terme de guérison d’une lésion d’organe vital, de mortalité ou de risque d’infection. Si, de prime abord, la nouvelle peut sembler négative, il faut le percevoir autrement.

Si le sang frais avait amélioré le traitement des enfants prématurés, les coûts auraient été astronomiques, puisqu’il aurait fallu déployer d’énormes ressources pour alimenter les banques de sang.

C’est la Dre Dana Devine, vice-présidente de la Société canadienne du sang, qui explique la conséquence qu’une telle nouvelle aurait pu apporter. « Au fil des années, les études ont suggéré des dommages possibles à partir de sang plus ancien, entraînant des pressions pour modifier la gestion de l’approvisionnement en sang dans le but de pouvoir fournir des produits de transfusion plus frais. »

L’étude a été dirigée par le Dr Dean Fergusson, directeur du programme d’épidémiologie clinique de l’Hôpital d’Ottawa. Il explique que « jusqu’à maintenant, la littérature donnait plutôt la préférence à de nouveaux globules rouges ». Pourtant, la recherche, qui s’est étalée de 2006 à 2011 auprès de 377 bébés prématurés et gravement malades, prouve tout le contraire.

Ainsi, de façon aléatoire, les bébés recevaient des transfusions de sang frais ou, selon la méthode actuelle, des transfusions de sang datant de 2 semaines à 42 jours.

Les médecins qui ont procédé à cette recherche sont d’ailleurs très reconnaissants aux familles qui ont eu confiance et qui ont accepté de participer au programme.

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La transplantation de cellules souches pourrait augmenter le risque de maladies cardiaques

Les gens qui subissent une transplantation de cellules souches, par une greffe de moelle osseuse ou de sang de cordon ombilical, auraient plus de chance de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une étude.

Celle-ci est rapportée par nlm.nih.gov et affirme que plusieurs maladies cardiaques pourraient être influencées par de tels traitements. On parle entre autres de diabète, de haute pression et d’un taux de cholestérol élevé.

Les chercheurs de l’American Society of Hematology ont noté que les patients qui subissent des traitements de chimiothérapie ou de radiation juste avant une transplantation de cellules souches voient augmenter leurs chances d’avoir des problèmes cardiaques.

« Bien que nous nous en doutions, il était difficile de conclure avec précision jusqu’à présent. En fait, comme il était difficile de faire des suivis à très long terme sur ces patients, nous ne pouvions confirmer nos doutes. Des échantillons trop petits étaient également des obstacles », explique le Dr Saro Armenian, directeur de la Pediatric Survivorship Clinic au Childhood Cancer Survivorship Program de la ville de Duarte, en Californie.

Les chances de diabète et de problèmes de cholestérol seraient respectivement 1,5 et 1,4 fois plus probables que d’ordinaire.

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L’eau et ses bienfaits

La plupart d’entre nous savent qu’il est important de boire beaucoup d’eau, et qu’elle est importante à notre bon fonctionnement. Mais savons-nous vraiment pourquoi et quelles quantités sont recommandées?

D’abord, rappelons que le corps humain est composé de 60 à 70 % d’eau. Il est l’élément le plus important, bien sûr, tout de suite après l’oxygène que nous respirons.

Mais que fait l’eau, concrètement, pour favoriser une bonne santé? Selon passeportsante.com, elle permet d’abord de maintenir le bon volume de sang et de fournir la salive. Elle sert également de lubrifiant pour les articulations et les yeux, et aide à maintenir la température du corps.

Ce qui est moins connu, c’est son effet direct sur bon nombre de processus du corps humain, à commencer par le transport des nutriments ingérés. Elle permet aussi les réactions nécessaires au bon fonctionnement des cellules, et elle permet carrément que le cerveau fonctionne correctement.

Comme le corps en est composé massivement, il en a besoin pour que la peau garde une belle hydratation, ainsi que pour éliminer les déchets (digestion).

Selon les études, la quantité requise peut varier, mais on sait qu’une personne moyenne va dépenser deux litres d’eau corporelle par jour. Il s’agit donc d’un bon point de départ (2 L) si vous désirez comptabiliser votre consommation personnelle.

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Les mûres aident à contrôler le taux de sucre dans le sang

En fait, des composantes contenues dans cette boisson aideraient à inhiber une enzyme impliquée dans l’absorption des hydrates de carbone, qui sont issus de la transformation des aliments riches en glucose.

Les chercheurs ont découvert que ces composantes se trouvaient dans le vin de bleuets et de mûres. Ils souhaitent créer une boisson qui les contient, mais qui ne serait pas alcoolisée.

Cette boisson garderait le taux de sucre bas chez les diabétiques de type 2, en plus de conserver les vertus anti-inflammatoires du vin.

Ce sont les anthocyanines qui réduisent l’inflammation. Du même coup, ils préviennent le développement de plusieurs maladies chroniques comme le cancer, les maladies métaboliques et les problèmes cardiovasculaires.

« Des études préliminaires ont montré que les anthocyanines peuvent avoir des effets positifs sur les capacités cognitives et la santé générale du cerveau en le protégeant des effets du vieillissement, comme l’Alzheimer et la perte de mémoire », indique la professeure Elvira de Mejia.

Rappelons que les hommes qui mangent des baies pourraient réduire de 40 % leurs risques de contracter la maladie de Parkinson.

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Génome foetal séquencé à partir d’échantillons de sang de la mère

Une nouvelle étude publiée dans la revue Nature révèle comment les chercheurs ont, pour la première fois, mis au point un moyen de séquencer le génome d’un bébé à naître en utilisant seulement un échantillon de sang de la mère.

« Nous nous sommes appliqués à identifier les conditions qui peuvent être traitées avant la naissance ou immédiatement après », a expliqué notamment le principal auteur de l’étude, le Dr Stephen Quake.

L’étude suit ce qui a été rapporté le mois dernier par l’Université de Washington. Le séquençage du génome du fœtus qui utilise seulement un échantillon de sang de la mère offre un avantage significatif lorsque le père biologique est inconnu ou n’est pas disposé à fournir un échantillon. Près d’un bébé sur dix né aux États-Unis est de père inconnu.

La capacité d’analyser médicalement l’utérus n’est pas nouvelle. Depuis des décennies, les femmes peuvent opter notamment pour une amniocentèse, pour voir si leur foetus a des anomalies génétiques. Ce test récupère des échantillons du liquide amniotique, à l’aide d’une aiguille insérée dans l’utérus. Cette méthode comporte cependant des risques.

Les chercheurs estiment que les tests génétiques du fœtus deviendront de plus en plus populaires lorsque leur coût va diminuer.

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Diagnostic anténatal : le sang de la mère suffit

Le monde de la génétique vient de faire un grand pas en avant grâce à des scientifiques de l’Université Stanford. Ces derniers ont mis au point un test anténatal révolutionnaire.

À partir d’un simple échantillon de sang maternel, leur technique permet le séquençage du génome foetal. Leurs travaux ont été présentés dans la revue Nature.

Grâce à ce test, l’ADN du père n’est même plus nécessaire. Il s’agit d’une avancée non négligeable en génétique qui représente un avantage majeur lorsque la paternité véritable de l’enfant ne peut être connue.

Déjà, des chercheurs de l’Université de Washington avaient fait progresser la science avec un autre test capable, à partir d’échantillons de sang et salive, de déchiffrer le génome d’un bébé avant sa naissance.

Cette étude confirme qu’un jour, on pourra détecter des anomalies génétiques du foetus par simple analyse du sang de la mère. Une alternative possible à l’amniocentèse et autres tests qui comportent certains risques.