Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Washington, dont l’étude est parue dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, ont mis au point un test qui permet d’évaluer la force du système immunitaire du bébé et de voir quels nourrissons sont plus susceptibles de souffrir de virus et d’infections respiratoires avant leur premier anniversaire.
L’équipe a utilisé des échantillons de sang du cordon ombilical de 82 bébés pour découvrir un lien entre le système immunitaire inné et les risques de développer le rhume ou d’autres infections respiratoires.
L’isolation d’un type de globule blanc dans le sang a permis de mesurer la quantité de protéines indicatrices d’infections virales connues sous le nom d’interféron-gamma (IFN-gamma).
Il s’est avéré que les bébés nés de parents qui ont produit des niveaux plus élevés d’IFN-gamma étaient moins malades au cours de leur première année de vie.
En plus de courir un risque plus grand de souffrir de rhume et d’infections respiratoires, les bébés nés de parents qui avaient produit une plus faible quantité d’IFN-gamma étaient plus susceptibles d’avoir des infections aux sinus, aux oreilles, des pneumonies et d’être hospitalisés pour des troubles respiratoires.
La mesure des niveaux d’IFN-gamma étant complexe, les spécialistes espèrent un jour être aptes à développer un médicament qui permettra aux parents en carence de ce type de protéines d’obtenir ce qu’il faut pour stimuler le système immunitaire de leur bébé.
Les poupons dont la mère aurait eu un surplus de poids durant la grossesse seraient plus enclins à devenir obèses et à être moins en santé que les autres enfants, et ce, tout au long de leur vie, selon une analyse publiée dans le journal Circulation.
En fait, le surpoids de la mère peut également affecter la pression sanguine qu’aura son enfant, ainsi que le niveau de cholestérol et de sucre dans le sang de ce dernier. Ces dérèglements peuvent mener au diabète et aux accidents vasculaires cérébraux, entre autres.
Ces résultats inquiètent les experts britanniques, puisque 15 % des femmes enceintes en Angleterre ont un grave surplus de poids.
« Nous savons que ce qui se passe tôt dans la vie du foetus a des conséquences de longue durée sur la santé des adultes », explique Hagit Hochner, chercheur principal de cette étude et docteur à l’Université hébraïque de Jérusalem.
De plus, l’exposition du foetus à de hauts taux de sucre et de gras peut mener à des changements dans le contrôle de l’appétit et de l’accumulation de gras dans le corps de l’enfant à naître.
Rappelons également que les femmes enceintes souffrant d’obésité et de diabète sont plus à risque de mettre au monde un enfant atteint d’autisme ou d’un autre trouble neurologique.
La crème glacée contre la migraine
Les maux de tête dus à l’ingestion soudaine d’une bouchée d’un aliment froid arrivent au même moment où l’artère qui alimente le cerveau en sang s’ouvre.
Dailymail rapporte que les chercheurs de la Harvard Mediacl School ont trouvé qu’en fait, cet écoulement de sang agit comme mécanisme de défense dont le but est de garder le cerveau au chaud.
Ce flot de sang qui se déverse très vite dans le cerveau augmente la pression dans le crâne.
Cependant, pour empêcher la pression d’atteindre un niveau dangereux, l’artère bloque cet écoulement de sang et réduit ainsi la pression.
Le chercheur Jorge Serrador de Harvard croit qu’en imitant ce processus et en gelant le cerveau volontairement, les experts pourraient faire d’importantes avancées dans le développement de traitements contre la migraine et autres maux de tête.
Rappelons que les produits laitiers comme le yogourt et le lait peuvent aussi être efficaces, car un manque de calcium peut entraîner des migraines.
La crème glacée contre la migraine
Les maux de tête dus à l’ingestion soudaine d’une bouchée d’un aliment froid arrivent au même moment où l’artère qui alimente le cerveau en sang s’ouvre.
Dailymail rapporte que les chercheurs de la Harvard Mediacl School ont trouvé qu’en fait, cet écoulement de sang agit comme mécanisme de défense dont le but est de garder le cerveau au chaud.
Ce flot de sang qui se déverse très vite dans le cerveau augmente la pression dans le crâne.
Cependant, pour empêcher la pression d’atteindre un niveau dangereux, l’artère bloque cet écoulement de sang et réduit ainsi la pression.
Le chercheur Jorge Serrador de Harvard croit qu’en imitant ce processus et en gelant le cerveau volontairement, les experts pourraient faire d’importantes avancées dans le développement de traitements contre la migraine et autres maux de tête.
Rappelons que les produits laitiers comme le yogourt et le lait peuvent aussi être efficaces, car un manque de calcium peut entraîner des migraines.
Les résultats de cette nouvelle étude, publiée en ligne au mois de mars dernier dans The Journal Spine, peuvent aider les chirurgiens à préparer, organiser et se prémunir contre cette complication fréquente.
La perte de sang pendant la chirurgie peut notamment augmenter la longueur du séjour hospitalier et conduire à des complications.
L’enquête est basée sur une analyse de 617 cas d’enfants, âgés de 10 à 18 ans, qui ont subi une chirurgie pour corriger une déformation de la colonne. Toutes les opérations ont été effectuées à l’Université Johns Hopkins entre 2001 et 2011.
L’examen des différents cas a montré globalement que les enfants atteints de maladies neuromusculaires et génétiques étaient plus susceptibles de souffrir de pertes de sang importantes que ceux avec une scoliose idiopathique, mais moins susceptibles que les enfants atteints de paralysie cérébrale, ont conclu les chercheurs.
Ils ont également expliqué que le risque élevé de perte de sang chez les enfants atteints de maladies neuromusculaires et génétiques est probablement dû à un mauvais tonus veineux, qui modifie notamment la capacité de coagulation du sang.