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Déceler les malformations cardiaques congénitales

Les méthodes actuelles de détection d’une malformation cardiaque à la naissance comportent d’importantes lacunes.

Il semble en effet que les ultrasons et l’examen physique de routine ne suffisent pas à déceler toutes les malformations, et plusieurs bébés sortent de l’hôpital sans avoir reçu un diagnostic.
 
Or, on apprend dans The Lancet qu’une toute nouvelle technique changerait la vie de bien des enfants. Non invasif, un test d’analyse du taux d’oxygène dans le sang serait très efficace auprès du nouveau-né.
 
Un plus grand nombre de cas de malformation cardiaque congénitale pourrait être décelé, et des soins adaptés pourraient être apportés au bon moment, ce qui éviterait de nombreux décès en bas âge.
 
Des essais ont été faits auprès de 20 000 bébés au sein de 6 hôpitaux différents de 2008 à 2009. Les nouveaux nés passaient cette oxiométrie, puis ils étaient suivis jusqu’à leurs 12 mois.
 
On a constaté une amélioration incroyable de 92 % dans la détection d’une malformation. L’oxiométrie permet de déceler 75 % des cas critiques et 49 % des malformations cardiaques congénitales.
 
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Détection simple et rapide des maladies infectieuses

Des chercheurs américains ont créé un test sanguin portatif qui serait capable de détecter facilement une dizaine de maladies infectieuses comme le VIH, l’herpès et la syphilis.
 
Le petit dispositif nommé le mChip fonctionne avec une puce électronique et n’a besoin que d’un seul échantillon de sang. En ce moment, ce petit laboratoire portatif est testé sur une centaine de Rwandais.
 
Sa fiabilité est similaire aux tests médicaux avec un taux de détection avoisinant les 100 %.
 
« L’idée est de produire un grand éventail de tests accessible à n’importe quel type de patient dans le monde, plutôt que de les contraindre à se rendre dans une clinique pour un prélèvement de sang et à attendre les résultats des jours et des jours. », explique le concepteur, Samuel Sia, de l’Université Columbia.
 
Les résultats sont disponibles en 20 minutes, rapporte le Nature Medecine.
 
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Plus de stérilité chez le groupe sanguin O

Le site EMaxHealth rapporte que le groupe sanguin pourrait être lié à la stérilité.
 
Apparemment, le groupe O, le plus répandu dans le monde, comporterait également le plus haut taux de stérilité chez les femmes.
 
Une équipe de l’Université Yale aurait trouvé un lien entre les femmes du groupe O et un déclin prématuré de la fonction ovarienne, en raison d’une composition moléculaire de leur groupe sanguin qui prédisposerait à la stérilité. Ceci est vrai pour les femmes déjà plus susceptibles de connaître un vieillissement précoce de leur système de reproduction.
 
Déjà, dès la fin de la trentaine, les femmes connaissent une chute de leur réserve ovarienne, devenant donc de moins en moins fertiles.
 
Ces résultats ne doivent pas alarmer les femmes, car l’étude a été effectuée seulement chez celles qui envisageaient des traitements de fertilité, donc cela pourrait ne pas s’appliquer à toute la population.
 
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Se laver les mains réduit les polluants dans le sang

Une étude américaine révèle que non seulement se laver les mains réduit la propagation de maladies comme le rhume, mais cela permet de réduire les polluants dans notre sang.
 
Selon l’Environmental Health Perspectives, ces polluants sont les PBDE (polybromodiphényléther), des composants qui aident à prévenir les incendies. Ils ont longtemps été utilisés dans les textiles et les plastiques, mais on a réduit leur utilisation depuis.
 
Des études effectuées sur des animaux avaient démontré qu’une exposition aux PBDE affectait le système de reproduction et le cerveau. Ces polluants volatiles sont présents dans l’environnement et se retrouvent notamment dans la poussière.
 
Pour cette nouvelle recherche, on a examiné les bureaux afin de noter les PBDE qu’on y retrouve. Tous les bureaux en avaient, de même que les mains et le sang de tous les employés.
 
Par contre, ceux qui se lavaient les mains au moins quatre fois par jour avaient un niveau de PBDE dans le sang trois fois moins élevé que les autres.

Voilà donc une autre bonne raison de se laver les mains régulièrement.

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Les fraises bonnes pour le sang

Pendant deux semaines, douze bénévoles ont consommé un demi-kilo de fraises par jour afin de voir si elles pouvaient améliorer la capacité antioxydante du sang, rapporte la revue Food Chemistry.
 
Selon des chercheurs italiens et espagnols, les fraises stimulent la réponse des globules rouges à un stress oxydatif. Il s’agit d’un déséquilibre qui est relié à différentes maladies, comme le diabète par exemple.
 
Pendant et après l’étude, chaque participant a fourni un échantillon de sang et les chercheurs ont effectivement observé une meilleure capacité antioxydante du plasma sanguin et une meilleure résistance des globules rouges au stress oxydatif.

Maintenant, les scientifiques doivent déterminer quelle serait la quantité de fraises nécessaire pour obtenir ces bienfaits, mais aussi quelle variété de ces petits fruits serait la meilleure, car chacune possède des propriétés qui lui sont propres.

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Améliorer la circulation sanguine avec des aimants

Des chercheurs croient que les aimants pourraient un jour aider à prévenir les crises cardiaques en fluidifiant le sang, au même titre que l’aspirine.
 
Souvent, on prescrit un médicament de type aspirine aux personnes à risque afin de permettre au sang de mieux circuler.
 
Une équipe de l’Université Temple du Michigan mentionne qu’en utilisant un dispositif qui utilise le champ magnétique à combustibles fins, on pourrait également fluidifier le sang et améliorer sa circulation. Cette technique serait sans effet secondaire, contrairement aux médicaments.
 
Comme les globules rouges contiennent du fer, le professeur Rongja Tao a démontré qu’il était en mesure de réduire la viscosité du sang de 20 à 30 % avec un champ magnétique pendant environ une minute. Ceci freine le frottement contre les parois, permettant ainsi une meilleure circulation du sang.
 
Des études supplémentaires sont nécessaires, mais on espère pouvoir mettre au point cette technique d’ici peu, indique le Physical Review E.
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Une analyse sanguine pour détecter le cancer du côlon

La Saskatchewan vient d’être la première province canadienne à permettre le recours à l’analyse sanguine pour poser un diagnostic de cancer du côlon.
 
Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus répandu et le plus meurtrier. Par contre, lorsqu’il est décelé à un stade précoce, il se traite bien dans 90 % des cas.
 
5 000 patients ont participé aux essais cliniques qui ont donné des résultats plus que prometteurs. Dans 87 % des cas, on a pu détecter un cancer du côlon à un stade précoce grâce à l’analyse de sang.
 
Ces tests ont été menés par Phenomenome Discoveries. Dans l’échantillon sanguin du patient, on mesure le niveau de métabolites, ceux-ci étant déficients chez les personnes atteintes de cancer colorectal.
 
Espérons que cette nouvelle façon de poser un diagnostic s’étende au reste du pays, ce qui permettra de mieux traiter les patients, et ce, dans les plus brefs délais, favorisant ainsi la guérison.
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Attention aux gels buccaux antidouleurs

C’est avec surprise que nous lisons sur WDTN.com que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis met les parents en garde contre l’Orajel et l’Anbesol, de même que tous les produits semblables.

Ces gels buccaux antidouleurs sont pourtant très populaires. Ils sont utilisés pour soulager les bébés qui ont des douleurs aux gencives. Ce type de douleur est très fréquent chez les tout-petits, car il accompagne la pousse des dents.
 
Or, selon la FDA, l’un des ingrédients de ce genre de produits, la benzocaïne, peut entraîner de graves répercussions sur la santé. En effet, cette substance a été liée à une maladie rare ayant pour effet d’empêcher le sang de transporter l’oxygène vers les cellules.

Cet avertissement n’est donc pas à prendre à la légère, car la maladie en question peut causer la mort. La FDA demande donc aux parents d’éviter de tels produits avant que leur bébé n’ait atteint l’âge de deux ans.

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Plus de risques de caillot sanguin avec certaines pilules contraceptives

Une étude révèle que les femmes qui prennent les pilules contraceptives de nouvelle génération contenant de la drospirénone, comme Yasmin, auraient deux fois plus de risques d’avoir un caillot de sang que les femmes qui utilisent les contraceptifs plus anciens.
 
Selon le British Medical Journal, cette recherche de l’École de médecine de l’Université de Boston est contestée par plusieurs experts. Ils affirment qu’il serait faux de croire que certains contraceptifs sont plus sécuritaires que d’autres.
 
Selon eux, toutes les marques de pilules contraceptives augmentent légèrement le risque de formation d’un caillot sanguin pouvant conduire à une thrombose veineuse à la jambe, au bras ou provoquer un blocage de la circulation du sang vers les poumons.
 
De nombreux facteurs peuvent favoriser les caillots de sang, y compris les antécédents familiaux, le surpoids et le tabagisme. Par contre, on s’entend pour dire qu’il s’agit tout de même d’un événement rare associé à la pilule. Un caillot de sang a plus de chances d’être provoqué par une grossesse, soit 60 cas pour 100 000 grossesses.
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La transplantation d’utérus donne des résultats

Comme nous pouvons le lire sur Daily Mail, il semble que la transplantation de l’utérus pourrait devenir possible chez l’humain.

Pour l’instant, ce type d’intervention a été réalisé sur des animaux et les résultats sont jusqu’ici probants. Des expérimentations ont été faites sur des rats, des chèvres et des truies, entre autres.
 
Dès l’an prochain, cette transplantation pourrait être pratiquée chez l’humain. De plus, elle pourrait être réalisée dans 1 hôpital sur 10 dans le monde éventuellement.
 
En 2000, un premier essai avait été fait sur une femme, mais un rejet était survenu après 4 mois. Le problème majeur réside dans la compatibilité avec le sang.
 
Cela représente beaucoup d’espoir pour les femmes encore en âge d’avoir des enfants qui ont dû se faire retirer leur utérus pour des raisons de santé.

Après une ou deux grossesses, la femme pourrait ensuite se faire enlever l’utérus transplanté.