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Ce nouveau studio de yoga lance son programme virtuel du printemps!

Mouvement Imparfait est un nouveau studio de yoga nomade et virtuel qui cumule déjà les centaines d’abonnements sur Instagram, et on comprend pourquoi! Grâce à leur design attirant et aux enseignantes réputées, on a envie de s’inscrire après un seul coup d’oeil. Jessica Leblanc et Françoise Lapointe, les deux fondatrices du projet, voulaient créer un espace où le plaisir de bouger pour être bien (donc en se sortant de la tête qu’il faut bouger pour performer ou pour transformer son corps) était primordial. Grâce à un programme qui honorera le mouvement conscient, l’inclusion et la bienveillance, vous pourrez vous joindre à elles et à leurs collaborat.eurs.rices pour atteindre un esprit sain dans un corps sain.

La deuxième session du studio se nomme Un Nouveau Printemps et se tiendra du 21 mars au 25 avril 2021. Pendant ces six semaines, de nombreuses découvertes et des heures de plaisir sont au rendez-vous. La session sera alignée avec la saison, afin de respecter l’idée que la nature nous influence. Lors de leur première session qui a eu lieu cet hiver, la programmation proposait des classes plus lentes et plus douces pour pousser une certaine introspection et apporter un grand calme. Celle du printemps, quant à elle, prévoit un peu plus d’action et de chaleur, tout en restant accessible même pour les débutants. C’est grâce à diverses disciplines comme le yoga, la danse, la méditation, l’écriture spontanée et la course à pied que vous vous réveillerez mentalement et physiquement, comme la nature le fait à l’arrivée du printemps.

Crédit:@mouvement_imparfait via Instagram

Vous pouvez choisir entre plusieurs abonnements flexibles: le Petit Imparfait et l’Imparfait deluxe. Tous deux permettent de vivre les cours en direct ou en rediffusion les sept jours suivants. De plus, vous pouvez vous inscrire à la carte aux cours: Bain de forêt avec Mélissa Mollen Dupuis (tous les fonds générés par cette vente iront à la Fondation David Suzuki), Le Pouvoir du souffle, Vivre un printemps inspiré avec la médecine chinoise, Yoga pour sages imparfait(e)s, L’art du mouvement prudent et Le Yoga décrypté.

Crédit:@mouvement_imparfait via Instagram

Vous l’aurez donc compris, les programmes du studio Mouvement Imparfait sont absolument fabuleux et vous feront un bien fou. Les deux premières sessions se passent en mode virtuel vu la situation actuelle, mais les cours en présentiel débuteront dès que ce sera possible dans différents lieux à Montréal en mode nomade. On ne sait pas pour vous, mais de notre côté on a déjà hâte de pouvoir rencontrer ces magnifiques personnes qui ont comme mission d’améliorer notre santé physique et mentale.

Psssttt… Pour ceux et celles qui n’auraient pas les moyens financiers pour participer à Un Nouveau Printemps, un programme d’accessibilité a été mis sur place pour permettre à certaines personnes dans le besoin d’obtenir des bourses. Les pratiques et les soins du corps ne devraient pas être réservés qu’à une minorité de personnes nanties, d’après les fondatrices. On leur lève notre chapeau!

Mouvement Imparfait

Cliquez ici pour obtenir plus d’infos et pour vous inscrire

Voici les deux abonnements disponibles:

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Big Brother: Varda Étienne s’ouvre sur la santé mentale et la téléréalité

Dimanche soir, on perdait notre attachante et fabuleuse diva de Big Brother Célébrités. Entièrement par elle-même, Varda Étienne a choisi de quitter l’aventure. Vivant avec la bipolarité, l’autrice et animatrice qui a toujours était très ouverte à propos de ses problèmes de santé mentale a senti qu’elle sombrait et a voulu rentrer chez elle afin de s’aider à aller mieux.

Il faut dire que Varda a eu la permission de consulter son psychiatre durant son séjour dans la maison. « Les deux dernières semaines, je n’étais pas au top de ma forme. Lorsque j’ai senti vraiment que ça n’allait plus, qu’il fallait que je quitte, j’ai parlé à mon psychiatre le jour même », a-t-elle confié aux quelques médias qu’elle a rencontrés, lundi. Suivant ce constat, elle a ensuite annoncé au confessionnal sa volonté de quitter en s’adressant à la production.

Mettons quelques points au clair, sa mise en danger n’a pas du tout influencé son désir de partir. « Même si j’étais sauvée, ça n’aurait rien changé pour moi. J’allais quitter de toute façon », avoue-t-elle en ajoutant qu’elle aurait trouvé un peu égoïste de rester au détriment de quelqu’un d’autre alors qu’elle savait que l’aventure était terminée pour elle. Le départ de Jean-François Guevremont la semaine dernière a eu un impact sur son appréciation de l’expérience, mais n’a pas non plus été sa motivation à y mettre fin.

Son conflit avec Marie-Chantal Toupin n’est pas plus ce qui est venu mettre une note négative sur sa participation au point de lui donner envie de laisser Big Brother derrière elle : « Lorsqu’il y a eu l’histoire avec Marie-Chantal Toupin, moi, j’ai été très en paix et très sereine avec la façon dont j’ai traité le dossier, parce que des Marie-Chantal Toupin, il en existe plein dans ce bas monde. Je trouve qu’au contraire, ça a donné lieu à des échanges, des discussions intéressantes, des enjeux de société qui méritent d’être débattus. […] On est une microsociété à Big Brother, et on avait l’impression de vivre les mêmes injustices que dans la société. »

En fait, ce qui a motivé Varda à s’en aller du manoir de Big Brother, c’est sa santé, rien de plus, rien de moins. Déjà en acceptant de participer à la téléréalité, l’animatrice savait qu’elle se lançait dans un grand défi personnel. « Très honnêtement, ça a été beaucoup moins pire que ce à quoi je m’attendais », lance avec une fierté méritée celle qui ne pensait pas réussir à passer plus que deux semaines dans l’aventure. « Le mois de janvier, qui est le mois le plus difficile pour moi depuis mon diagnostic il y a 35 ans, j’ai été capable de passer au travers comme une championne. Y’est là le grand prix de Varda à Big Brother! C’est pas le 100 000$. […] Quand j’ai vu le 1er février, je pleurais ma vie parce que je me disais : « I made it! » […] Quand je suis sortie, j’étais pas en train de faire le bacon à terre. C’est que je sentais que mon état allait peut-être en arriver là, donc j’ai voulu me préserver. »

Crédit:Bell Média

Outre ce beau sentiment de fierté, une légère culpabilité envahit tout de même Varda Étienne, qui sait que des décisions seront prises en fonction de son départ et qu’il est possible que ça nuise à son alliance. « Moi aussi, je perds en quittant, rappelle-t-elle toutefois. J’ai toujours dit qu’il n’y aura jamais assez de zéros sur un chèque pour que ma santé mentale passe après ».

C’est surtout envers la production, plus qu’envers ses anciens colocataires, que l’autrice de Maudite folle! ressent une certaine culpabilité : « J’avais peur de décevoir la production [avec mon départ]. Ça, ça me faisait de la peine, beaucoup. C’est la première édition, on m’a choisie, c’est un cadeau. Est-ce que je méritais ça? Je le sais pas trop, mais j’ai dit oui! Et quand j’ai décidé de faire mes valises pour rentrer dans la maison de Big Brother, c’était pour y rester le plus longtemps possible et pour donner le meilleur show possible. […] J’ai l’impression de ne pas avoir livré la marchandise au complet. Ça, ça me déçoit. »

« En 25 ans de télé, je n’ai jamais, jamais été aussi bien traitée par une production, précise Varda Etienne. On est traités vraiment comme des célébrités internationales, des petits bébés lala. Ils répondent à tous nos besoins à la minute qu’on leur demande, ils sont attentifs. Ça a été une opportunité inespérée pour moi. Et je suis extrêmement reconnaissante. »

La télévision québécoise n’a pas toujours su laisser la place à une femme noire avec des problèmes de santé mentale, mais Big Brother a montré que cette place est méritée et nécessaire. Parler de problème de santé mentale est toujours important, mais en plus, Varda Étienne a ce don pour le faire en s’adressant à sa communauté, qui n’a pas nécessairement autant de modèles en la matière.

« Jean-François n’a pas hésité une demi-seconde à prendre ma défense, pas parce que je suis Varda, mais parce que je suis Varda, une femme noire qui a des troubles de santé mentale. On a tout de suite mis l’étiquette de la « angry black woman » », commente l’éliminée de la semaine, qui rappelle ainsi que sa présence à l’émission a aussi été une occasion pour constater comment les stéréotypes sont véhiculés et assimilés.

Reste à voir si le « boys club » ressortira plus fort du départ de Varda. « Si on regarde les épisodes, ça peut laisser croire qu’effectivement, ça peut se terminer en « boys club », analyse notre diva adorée. Par contre, ne pas sous-estimer Lysandre Nadeau. Lysandre Nadeau est une femme qui est brillante, qui connaît parfaitement le jeu. »

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Ton petit look

Comment prendre soin de soi pendant la pandémie

Encore un article sur le confinement? Oui! Je crois qu’il est important de partager notre quotidien, de voir comment les autres vivent cette situation, et de trouver nos propres outils qui nous aident à nous sentir mieux. Ensemble, bien qu’à distance, nous réussirons à passer au travers.

C’est l’hiver, comme si le froid, les tempêtes et le manque de soleil n’affectaient pas déjà notre moral, il y a un confinement. Il semble plus ardu de prendre soin de soi et de notre santé mentale depuis que nous sommes pris entre nos 4 murs, et je me demande chaque jour comment me changer les idées.

Je peux évidemment vous conseiller mille et un trucs pour prendre soin de vous, mais la vérité c’est que vous les connaissez sûrement déjà. Il est tout à fait impossible de réinventer la roue, mais voici quelques activités qui me font du bien au quotidien:

  • Marcher (durant les heures permises)
  • Jouer à des jeux vidéo en ligne avec des amis
  • Bouger dans le salon, ou dans la cuisine
  • Appeler les gens qu’on aime
  • Profiter d’un spa maison
  • Essayer les Perler Beads
  • Faire le ménage de l’appartement
  • Écrire un livre, ou un article

Une multitude d’activités s’offre à nous, mais l’important c’est d’être honnête envers soi-même en choisissant seulement les activités qui NOUS font du bien! Il est aussi primordial de prendre le temps de vivre nos émotions, même lorsqu’on n’arrive pas vraiment à les exprimer pour le moment, parce que ça fait vraiment toute la différence. Voici donc mon processus en 2 étapes (presque simples) pour essayer de prendre soin de soi.

Faire des activités qui NOUS font du bien

Hier, je suis allée faire du ski-doo en fin de journée, et honnêtement, je pense que c’est l’activité qui m’a fait le plus de bien depuis très longtemps. Je ne dis pas ça nécessairement pour que vous alliez faire du ski-doo. En plus, si vous habitez en ville, ce n’est peut-être pas l’activité la plus simple à faire.

Ce que je veux dire, c’est que c’est important de trouver une activité qui vous fait vibrer. Qu’aimez-vous faire? Qu’est-ce qui vous allume? Qu’est-ce qui fait en sorte qu’à la fin de la journée, vous vous sentez bien dans votre corps?

Ne pas avoir peur de vivre nos émotions

Ce qui me fait aussi du bien, c’est de faire un braindump. Je prends tout ce qui me tourne dans la tête, et je l’écris sur papier. Tout, tout, tout! Pourquoi? Il y a beaucoup de pensées qui nous sont inutiles et qui nous bloquent au quotidien. Même de petites choses. En les mettant sur papier, on en prend conscience, et on fait de la place pour du nouveau.

À partir de là, on peut essayer de laisser entrer plus d’émotions positives en faisant l’étape #1, soit des activités qui NOUS font du bien, mais aussi en pensant à des choses qui nous motivent. Si vous aimez coudre, par exemple, eh bien, vous aurez plus de place pour penser à ce que vous pourriez coudre, et donc vous concentrer sur des activités que vous aimez, des choses que vous aimez.

La vérité, c’est qu’il n’y a pas de recette secrète. La seule recette qui peut fonctionner, c’est nous qui pouvons la créer. N’ayez donc pas peur d’essayer des choses, de faire de la place pour du nouveau, et de mettre à votre agenda des activités qui vous rendent heureux.se.s.

Qu’aimez-vous faire pour prendre soin de vous durant ce confinement?

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Un documentaire sur la santé mentale d’artistes d’ici sera diffusé ce jeudi pour la Journée Bell Cause pour la cause

Le 28 janvier est le retour de la Journée Bell Cause pour la cause. Cette initiative de Bell nous permet d’aider directement à accroître le montant des dons de Bell à des programmes en santé mentale. L’an passé, c’est un nouveau record d’envoi de 154 387 425 messages de soutien envers la santé mentale qui a pu être remis en 7 719 371, 25$ de dons par Bell à plusieurs programmes.

Cette année, vous pouvez encore y participer sans frais, puisque Bell versera 5 cents à des programmes canadiens de santé mentale pour chaque:

  • Message texte, appel local ou interurbain
  • Tweet admissible accompagné du mot-clic #BellCause
  • Vidéo TikTok admissible accompagnée du mot-clic #BellCause
  • Visionnement de la vidéo de la Journée Bell Cause pour la cause sur Facebook, Instagram, Pinterest, Snapchat, TikTok, Twitter et YouTube
  • Utilisation du cadre Bell Cause pour la cause sur Facebook ou du filtre Bell Cause pour la cause sur Snapchat

De plus, les chaînes francophones de Bell Média se sont unies pour la Journée Bell Cause pour la cause grâce au documentaire La Santé Mentale: Une note à la fois. On pourra y voir la participation du poète et slameur David Goudreault et les touchants témoignages de Steve Veilleux (KAÏN), de Safia Nolin et de Laurence Jalbert. Le documentaire de 60 minutes sera présenté le jeudi 28 janvier à 19h à Canal Vie, Canal D et VRAK en plus d’être disponible sur Crave et sur Noovo.ca.

« Ça arrive à tout le monde de ne pas se sentir bien. À nous tous, comme à celles et ceux qu’on aime entendre chanter. Malgré nos applaudissements et tout l’amour qu’on leur donne, il y a des artistes qui souffrent en silence. Qui ne trouvent plus de lumière quand les projecteurs s’éteignent. Safia Nolin, Laurence Jalbert et Steve Veilleux du groupe Kaïn ont choisi de nous raconter leur histoire, leurs périodes noires. Avec David Goudreault, qui combat lui-même son anxiété et ses dépendances, on trouve des solutions aux enjeux de santé mentale, dans le milieu de la chanson comme dans nos maisons » peut-on entendre dans la bande-annonce ci-bas.

En plus de ces belles nouvelles, Crave présentera plusieurs titres Québécois en lien avec la santé mentale jusqu’au 31 janvier. Vous pourrez visionner:

  • LA DÉTRESSE AU BOUT DU RANG
  • SANTÉ MENTALE : PLUS FORTS ENSEMBLE
  • CLASH (SAISONS 1, 2 & 3)
  • CHSLD, MON AMOUR
  • PINEL : AU CŒUR DE LA MALADIE MENTALE
  • RIRE SANS TABOUS (SAISON 1)
  • LE POIDS DE L’OR
  • EUPHORIA V.F.
  • SUR MA PEAU
  • EN ANALYSE
  • Et plusieurs autres!

Ensuite, ce sera au tour de RDS d’avoir une programmation spéciale le 28 janvier avec plusieurs reportages et entrevues en lien avec la santé mentale.

  • ON JASE (12 h) : Martin Lemay et Yanick Lévesque échangeront avec le Dr Sylvain Guimond sur les différents liens à établir entre la pratique des sports et les différents enjeux de santé mentale.
  • SPORTS 30 (dans tous les bulletins du 28 janvier) : Entrevue de Jean-Luc Legendre avec la boxeuse Leïla Beaudoin sur le suicide de son ex-conjoint.
  • LE 5 À 7 (17 h) : Les effets de la pandémie sur la santé mentale des sportifs privés de leur activité favorite avec le Dr Sylvain Guimond.
  • Hockey 360 (18 h 30) : Marc Labrecque discutera avec Nick Suzuki des Canadiens. Celui-ci appuie le mouvement McFadden, un OSBL qui soutient les initiatives pour développer une bonne santé mentale chez les athlètes de tous les niveaux.
  • L’ANTICHAMBRE : Luc Bellemare s’entretiendra avec Samuel Girard, le champion de patinage de vitesse courte piste, qui a pris sa retraite en pleine gloire à 22 ans pour faire le choix bienveillant de se choisir.
  • RDS.ca :
    • Nicolas Landry rencontrera Patrick Bordeleau, l’ancien de l’Avalanche du Colorado, qui a vécu une dépression et connu des démêlés avec la justice.
    • Balado EN FORME : Entrevue intégrale avec Étienne Boulay sur les étapes de sa chute vers une tentative de suicide jusqu’à retrouver le goût de vivre et de sensibiliser les gens sur les enjeux de santé mentale.
  • RDS JEUX VIDÉOS : Entrevue avec Elsa Brais-Dussault, psychologue clinique et Alexane Couturier, étudiante au doctorat en études sémiotiques (UQAM) et assistante de recherche – Chaire de recherche du Canada sur les communautés de joueurs et les données massives sur les effets bénéfiques sur la santé mentale des jeux vidéo en confinement.
  • Ballecourbe.ca : Michel Laprise s’entretiendra avec l’haltérophile Krystel Ngarlem afin d’en apprendre davantage sur comment la pandémie l’a forcée à composer avec l’absence d’entraînement et le report des Jeux Olympiques dans ce sport touché par des scandales de dopage.

On espère détrôner le record de 7 719 371, 25$ de dons cette année! Surtout, on prend le temps d’écouter nos proches en cette journée bien spéciale.

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«L’Amour est dans le pré»: Deven se confie sur sa dépression

Un autre ancien couple de téléréalité était à À table avec mon ex en début de semaine. Dans l’épisode de lundi et celui de mercredi, on a pu retrouver Deven et Jessica de la septième saison de L’Amour est dans le pré. Ensemble, ils sont revenus sur les raisons de leur rupture survenue peu après la fin des tournages, il y a près de deux ans, mais l’agriculteur s’est également ouvert sur la dépression qui l’a affligé plus tard et durant laquelle il a bien failli commettre l’irréparable…

Comme on l’avait vu à l’émission, le couple n’a pas survécu à son retour de voyage. Dans le Sud, les tourtereaux avaient eu plusieurs petites confrontations (sur le volume de la musique, entre autres) qui avaient donné à Deven le sentiment que la relation commençait sur de mauvaises bases et qu’il valait mieux y mettre un terme. Jessica a avoué, tant à À table avec mon ex qu’à L’Amour est dans le pré, avoir trouvé cette rupture plutôt difficile. D’abord, elle reste sous l’impression qu’elle s’est fait laisser au téléphone, même si son ex considère plutôt qu’ils se sont officiellement séparés au chic Madrid 2.0 (et que c’était un moment plutôt agréable, wink, wink!). Ensuite, il y a le fait que Deven s’était affiché en couple dès la fin de l’épisode de retrouvailles. S’il est à nouveau célibataire, ça ne change pas que Jessica l’avait pris un peu comme une claque dans la face.

Crédit:Capture d’écran Noovo

N’empêche que les anciens amoureux ont vécu un beau tête-à-tête ensemble à l’émission, assez pour que Deven décide de se confier sur une épreuve particulièrement difficile de sa vie. Comme on le sait, la détresse psychologique peut être grande pour les agriculteurs, entre le dur labeur et l’isolement social. « J’ai frappé un mur », a-t-il lancé après avoir assuré qu’il va heureusement mieux aujourd’hui. Sa dépression n’avait rien à voir avec sa participation à l’émission, mais était plutôt en lien avec des soucis financiers, lui qui venait de s’acheter une maison.

« Quand tu fais une dépression, tu t’éloignes de tes chums, a-t-il expliqué avec sincérité. J’ai repoussé mes amis parce que j’avais besoin d’être seul. Je me suis épaulé sur mon ex. Elle m’a aidé, mais ce n’était pas la bonne épaule, en fait. »

Dans le deuxième épisode, Deven a abordé avec énormément de courage sa tentative de s’enlever la vie, un témoignage puissant et émouvant qui rappelle que le suicide n’est jamais une option. « J’ai failli passer à l’acte », a-t-il confié au bord des larmes en expliquant que c’est un appel de son ami Simon qui a tout changé. « J’avais choisi ma chanson. Je savais où je mourrais. J’étais détaché, j’étais près. Juste avant que je fonce — parce que oui, j’étais en camion —, il m’a appelé. Il m’a sauvé la vie, ce gars-là. »

Le message de Deven ne s’arrête pas là, puisqu’il a aussi abordé la lumière au bout du tunnel : « Quand tu vois la mort, après tu vois la vie d’un autre sens. Vis-la ta vie, vis-la à fond, à 100%. » « J’ai frappé le mur, mais depuis que je l’ai frappé, il y a plein de belles choses qui arrivent. »

On ne peut que remercier l’agriculteur pour son témoignage qui, espérons-le, saura interpeller ceux et celles qui ont besoin de se faire rappeler que la vie mérite d’être vécue.

Si vous êtes en détresse, contactez la ligne de prévention du suicide 1 866 APPELLE.

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Divertissement

Lady Gaga : «Je sais que j’ai des problèmes mentaux»

La chanteuse était l’invitée de la radio Beats 1 sur Apple Music.

La vedette de 34 ans dit avoir des problèmes de santé mentale, résultat d’un viol qu’elle a subi à l’adolescence.

«Je ne peux pas toujours contrôler les choses dans mon cerveau. Je dois donc prendre de la médication pour contrôler cela», indique Lady Gaga.

Stefani Germanotta, de son vrai nom, appelle ces problèmes des «tourments psychologiques».

«Je sais que j’ai des problèmes mentaux et que cela peut me rendre non fonctionnel comme humain», ajoute-t-elle.

Lady Gaga dit avoir été violée à 19 ans. C’est peu de temps après qu’elle fut amenée aux urgences pour une «pause psychotique».

«C’est l’une des pires choses qui me soient arrivées. Je ne comprenais pas ce qui se passait, car tout mon corps devenait engourdi. J’étais totalement dissociée. Je criais et mon psychiatre m’a calmé. Il m’a donné de la médication à prendre si ça se reproduisait».

Par chance, bien soignée, Lady Gaga a pu reprendre le contrôle de sa condition.

La gagnante de 11 Grammy Awards soutient que sans ses médicaments, elle ne serait plus fonctionnelle.

«De nombreuses personnes ont peur de prendre des médicaments pour leur cerveau. Je veux vraiment effacer les stigmates autour de cela», conclut la chanteuse.

Photo : Cover Images

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Divertissement

Lady Gaga : «Je sais que j’ai des problèmes mentaux»

La chanteuse était l’invitée de la radio Beats 1 sur Apple Music.

La vedette de 34 ans dit avoir des problèmes de santé mentale, résultat d’un viol qu’elle a subi à l’adolescence.

«Je ne peux pas toujours contrôler les choses dans mon cerveau. Je dois donc prendre de la médication pour contrôler cela», indique Lady Gaga.

Stefani Germanotta, de son vrai nom, appelle ces problèmes des «tourments psychologiques».

«Je sais que j’ai des problèmes mentaux et que cela peut me rendre non fonctionnel comme humain», ajoute-t-elle.

Lady Gaga dit avoir été violée à 19 ans. C’est peu de temps après qu’elle fut amenée aux urgences pour une «pause psychotique».

«C’est l’une des pires choses qui me soient arrivées. Je ne comprenais pas ce qui se passait, car tout mon corps devenait engourdi. J’étais totalement dissociée. Je criais et mon psychiatre m’a calmé. Il m’a donné de la médication à prendre si ça se reproduisait».

Par chance, bien soignée, Lady Gaga a pu reprendre le contrôle de sa condition.

La gagnante de 11 Grammy Awards soutient que sans ses médicaments, elle ne serait plus fonctionnelle.

«De nombreuses personnes ont peur de prendre des médicaments pour leur cerveau. Je veux vraiment effacer les stigmates autour de cela», conclut la chanteuse.

Photo : Cover Images

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Lady Gaga : «Je sais que j’ai des problèmes mentaux»

La chanteuse était l’invitée de la radio Beats 1 sur Apple Music.

La vedette de 34 ans dit avoir des problèmes de santé mentale, résultat d’un viol qu’elle a subi à l’adolescence.

«Je ne peux pas toujours contrôler les choses dans mon cerveau. Je dois donc prendre de la médication pour contrôler cela», indique Lady Gaga.

Stefani Germanotta, de son vrai nom, appelle ces problèmes des «tourments psychologiques».

«Je sais que j’ai des problèmes mentaux et que cela peut me rendre non fonctionnel comme humain», ajoute-t-elle.

Lady Gaga dit avoir été violée à 19 ans. C’est peu de temps après qu’elle fut amenée aux urgences pour une «pause psychotique».

«C’est l’une des pires choses qui me soient arrivées. Je ne comprenais pas ce qui se passait, car tout mon corps devenait engourdi. J’étais totalement dissociée. Je criais et mon psychiatre m’a calmé. Il m’a donné de la médication à prendre si ça se reproduisait».

Par chance, bien soignée, Lady Gaga a pu reprendre le contrôle de sa condition.

La gagnante de 11 Grammy Awards soutient que sans ses médicaments, elle ne serait plus fonctionnelle.

«De nombreuses personnes ont peur de prendre des médicaments pour leur cerveau. Je veux vraiment effacer les stigmates autour de cela», conclut la chanteuse.

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Lady Gaga : «Je sais que j’ai des problèmes mentaux»

La chanteuse était l’invitée de la radio Beats 1 sur Apple Music.

La vedette de 34 ans dit avoir des problèmes de santé mentale, résultat d’un viol qu’elle a subi à l’adolescence.

«Je ne peux pas toujours contrôler les choses dans mon cerveau. Je dois donc prendre de la médication pour contrôler cela», indique Lady Gaga.

Stefani Germanotta, de son vrai nom, appelle ces problèmes des «tourments psychologiques».

«Je sais que j’ai des problèmes mentaux et que cela peut me rendre non fonctionnel comme humain», ajoute-t-elle.

Lady Gaga dit avoir été violée à 19 ans. C’est peu de temps après qu’elle fut amenée aux urgences pour une «pause psychotique».

«C’est l’une des pires choses qui me soient arrivées. Je ne comprenais pas ce qui se passait, car tout mon corps devenait engourdi. J’étais totalement dissociée. Je criais et mon psychiatre m’a calmé. Il m’a donné de la médication à prendre si ça se reproduisait».

Par chance, bien soignée, Lady Gaga a pu reprendre le contrôle de sa condition.

La gagnante de 11 Grammy Awards soutient que sans ses médicaments, elle ne serait plus fonctionnelle.

«De nombreuses personnes ont peur de prendre des médicaments pour leur cerveau. Je veux vraiment effacer les stigmates autour de cela», conclut la chanteuse.

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Divertissement

De fausses signatures pour Kanye West

Décidément, les temps sont durs pour Kanye West. Après ses problèmes personnels qui font la une des journaux, voilà qu’un avocat conteste la véracité des signatures déposées en appui à sa candidature au New Jersey.

L’avocat Scott Salmon soutient que 600 des 1327 signatures déposées en faveur de la candidature du rappeur dans la course à la présidence des États-Unis sont irrecevables, selon ce que rapporte le New York Post.

Si ces 600 signatures sont déclarées illégales, le candidat indépendant Kanye West se retrouverait sous la barre des 800 nécessaires pour que son nom apparaisse sur les bulletins de vote de cet État du nord-est des États-Unis.

Selon l’avocat du camp démocrate, un certain nombre de signatures apparemment fautives auraient été écrites de la même main. D’autres n’auraient pas d’adresse complète.

À la mi-juillet, Kanye West a confirmé qu’il se présentait à la course à la succession de Donald Trump pour le poste de président des États-Unis.

À la suite de son premier rassemblement public, le rappeur en pleurs est apparu confus et a tenu des propos troublants. Depuis cet événement, Kanye West s’est réfugié dans son ranch du Wyoming ou il aurait été soigné pour son trouble de bipolarité.

Photo : Cover Images