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Diagnostic de problèmes mentaux : zones grises

Des groupes de recherche américains ont mis en évidence que le diagnostic de problèmes émotionnels ou de troubles de comportement chez un enfant pouvait être subjectivement influencé.

Or, les chercheurs mentionnent que nous devons apprendre à fonctionner avec ces zones grises, comme nous pouvons le lire sur Medical News Today. Malgré tout, selon eux, plusieurs enfants ne reçoivent pas les soins qui leur sont nécessaires, à cause de perceptions.
 
Il semble que les valeurs culturelles, tant de la part du spécialiste que des parents, seraient au cœur de ce problème. Ainsi, l’administration de médicaments ou la thérapie serait préférée d’une situation à l’autre, même dans le cas où elles seraient toutes deux nécessaires.

La ligne est mince entre une perception et une autre. C’est pourquoi les chercheurs rappellent la difficulté de surmonter ces zones grises. Des balises plus claires devraient être établies, d’autant plus que l’environnement des enfants vivant avec des problèmes de comportement devrait leur être mieux adapté.

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La santé mentale des enfants obèses inquiète

Les enfants qui souffrent d’obésité connaissent souvent d’autres problèmes à l’adolescence ou à l’âge adulte, tels le diabète et la dépression. On a aussi pu faire un lien dans les dernières années entre l’obésité et le manque de sommeil.

Or, une récente étude a porté sur ce sujet. Menée par l’Université du Maryland, elle est parue dernièrement dans Journal of Sleep Research.

Ayant porté sur 13 568 adolescents âgés de 12 à 18 ans, elle a tout d’abord démontré que ceux qui dormaient 6 heures ou moins par nuit n’étaient pas plus souvent obèses que ceux qui avaient des nuits normales.

Pourtant, selon Christine Calamaro qui a dirigé cette étude, le lien semblait évident, car le manque de sommeil cause un débalancement endocrinien. Cela fait grimper nos taux hormonaux, dont celui de cortisone en raison de la fatigue et du stress, ce qui cause la faim.

Ainsi, en mangeant plus et en choisissant plus d’aliments riches en hydrates de carbone, notre taux de glucose augmente et ainsi de suite. C’est un cercle vicieux.

Toutefois, cette recherche a fait un lien entre la durée du sommeil et l’apparition de la dépression, car les adolescents dépressifs ont deux fois plus de risques de devenir obèses, de même que ceux regardant la télévision de façon excessive avaient plus tendance (37 %) à développer l’obésité.

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Les jeux vidéo sont bons pour les filles

Les jeux vidéo ont été pointés du doigt pour induire des problèmes de santé. Or, une nouvelle étude contredit en partie les idées précédentes.

En effet, selon des chercheurs de l’École de la famille de l’Université de Brigham, il serait bénéfique pour les jeunes filles de jouer aux jeux vidéo, à la condition toutefois qu’elles jouent avec un parent.

Leur étude, parue dans le Journal of Adolescent Health, stipule que les filles jouant à ces jeux en compagnie d’un parent ont un meilleur comportement, se sentent plus près de leur famille et ont une meilleure santé mentale.

Ces données sur les jeunes filles de 11 à 16 ans nous apprennent aussi une autre vérité : les filles jouent autant que les garçons aux jeux vidéo. Pourtant, l’effet ne semble pas être le même chez les uns et chez les autres.

Chez les garçons, dans le cadre de la présente étude, on n’a remarqué aucune relation entre leur comportement et le fait qu’ils jouent à ce type de jeu avec un parent ou non.

On constate par ailleurs, après avoir suivi 287 familles, qu’il s’agit d’une activité père-fille dans la très grande majorité des cas.

Donc, la différence des répercussions pourrait s’expliquer par l’effet positif du temps passé par un parent avec ses enfants, sans que ce soit nécessairement en lien avec les jeux vidéo seulement.

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Notre quartier influence notre santé mentale

Habiter dans un quartier plus défavorisé n’est pas bénéfique pour la santé, selon une recherche dévoilée lors du colloque organisé par l’Institut universitaire en santé mentale Douglas.
 
Selon les observations des chercheurs, le quartier où l’on habite influence l’apparition des problèmes de santé mentale ou les accentue.
 
La salubrité, la sécurité, l’interaction sociale, l’aménagement et la proximité des services sont autant de facteurs qui influencent nos conditions de vie.
 
« Si les personnes vivent dans des quartiers où il y a beaucoup de pauvreté, de violence et de bruit, cela peut engendrer un stress chronique et mener à la dépression. Même si l’on sait que l’activité physique est importante pour diminuer le stress, le fait qu’il n’y ait pas de trottoirs pour marcher, pas de parcs ou d’endroits pour rester physiquement actif aura des effets négatifs sur la santé physique ainsi que sur la santé mentale », explique Norbert Schmitz, chercheur à l’Institut Douglas.
 
Le sujet demeure encore bien complexe pour expliquer les liens entre la santé mentale et notre milieu de vie, voilà pourquoi les chercheurs poursuivent différentes recherches à ce propos à travers le monde.
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Une longue relation amoureuse est synonyme de bonne santé mentale

Par le passé, des études ont mentionné que les gens mariés avaient une meilleure qualité de vie et une longévité plus grande également. Voilà que le British Journal of Psychiatry rapporte une étude qui affirme qu’une longue relation amoureuse, même sans mariage, est la clé pour une bonne santé mentale.
 
Les hommes et les femmes qui sont en couple depuis plus de cinq ans ont moins tendance à être déprimés ou avoir des pensées suicidaires, de même qu’ils sont moins dépendants aux drogues et à l’alcool, selon ce qu’ont découvert des chercheurs néo-zélandais après avoir étudié 1 000 personnes.
 
À 30 ans, 16 % de ceux qui n’étaient pas dans une relation amoureuse présentaient des signes de dépression, alors qu’ils étaient 23 % chez ceux en relation depuis moins de deux ans. Pour ceux qui étaient en couple depuis une durée de deux à quatre ans, 10 % étaient dépressifs, alors qu’ils n’étaient que 9 % chez ceux en couple depuis plus de cinq ans.
 
Même chose pour l’abus d’alcool qui était moindre chez ceux en relation depuis plus longtemps.
 
« Notre étude suggère qu’une relation amoureuse est une protection pour la santé mentale et l’effet protecteur augmente au fur et à mesure que la durée de la relation augmente. C’est peut-être parce que le soutien affectif et la stabilité financière ont tendance à augmenter au cours d’une relation », indique la Dre Sheree Gibb.
 
Peu importe si elles sont mariées ou non, les personnes en couples depuis plusieurs années sont donc plus heureuses.
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La fumée secondaire en lien avec les troubles du comportement

Des chercheurs britanniques ont fait paraître une étude sur le tabagisme passif et les enfantsdans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine.

Il en est ressorti que les enfants courent plus de risques de souffrir d’hyperactivité, de troubles du comportement et de détresse psychologique. L’exposition à la fumée secondaire pourrait donc causer autant de problèmes psychologiques que physiques.

Les chercheurs en question se sont basés sur l’état de santé mentale de 901 enfants âgés de 4 à 8 ans.

On a analysé si leur salive contenait de la cotinine, une substance contenue dans le tabac. Elle est reconnue comme étant un excellent indicateur du tabagisme passif.

On leur demandait aussi dans quelle mesure ils étaient exposés à la fumée de cigarette. Ils remplissaient finalement un questionnaire ayant pour but d’évaluer leurs problèmes sociaux, émotifs ou comportementaux.

Les résultats à ce test pour les enfants considérés comme fumeurs passifs (361) étaient 44 % plus élevés que ceux qui n’étaient pas exposés à la fumée (101).

Il est donc recommandé de ne pas fumer en présence des enfants ni dans la maison.

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Les enfants de parents militaires plus sujets aux problèmes de santé mentale

Cette étude, intitulée Wartime Military Deployment and Increased Pediatric Mental and Behavioral Health Complaints, a porté sur plus de 640 000 enfants. Elle est parue dans l’édition de décembre de Pediatrics.

Elle révèle que les enfants plus âgés, ceux avec un père militaire et ceux ayant des parents mariés tous deux enrôlés, présentaient un plus haut taux de visites médicales se rattachant à la santé mentale et au comportement.

L’enrôlement du ou des parents est en fait lié à une augmentation de 11 % de ce type de visites médicales chez les enfants.

Les auteurs de cette étude donnent une piste de solution. Ils proposent un soutien plus grand pour ces enfants.

C’est que les enfants qui vivent avec cette réalité sont souvent confiés à de la famille éloignée ou des tuteurs. Ainsi, ces personnes ne connaissent pas parfaitement le comportement habituel de l’enfant, leur nuisant donc dans la détection de problèmes naissants.

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Les attentats du 11 septembre 2001 affectent la santé mentale des enfants

Des chercheurs de l’Université de New York ont interrogé les mères de 116 enfants qui étaient âgés de cinq ans et moins lors des événements du 11 septembre 2001 et qui vivaient à proximité des lieux.
 
Il semblerait que les mères ayant eu un syndrome post-traumatique ou une dépression après les attentats ont influencé la santé mentale de leurs enfants également. En fait, ces enfants sont plus susceptibles de présenter des problèmes de comportement.
 
« Avec les jeunes enfants, vous avez deux sources possibles de traumatismes, ce qu’ils ont vécu directement ou la façon dont ils réagissent à ce que leur mère a vécu. Nous avons appris que pour l’expérience du 11 septembre, les mères qui ont eu une dépression ou un choc post-traumatique avaient grandement influencé le comportement de leurs enfants », explique le directeur du programme de traumatologie de l’Université de New York, Claude Chemtob.
 
Sur les mères interrogées, ont note que 57 % de leurs enfants ont des comportements émotionnels très réactifs : ils sont collants et facilement bouleversés. De plus, 36 % sont anxieux et déprimés, 29 % ont des problèmes de sommeil, 43 % sont agressifs et 21 % sont des enfants retirés ou inattentifs.
 
Certains experts affirment toutefois que cette étude présentée par le journal Child Development n’apporte pas de preuves concrètes que les attentats contre le World Trade Center sont réellement à l’origine de ces problèmes.
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Les espaces verts sont bénéfiques à la santé mentale

Si vous optez pour les espaces verts afin de vous adonner à vos exercices physiques, votre santé mentale s’en portera mieux. C’est ce que révèle une nouvelle étude qui a analysé 10 essais cliniques totalisant 1 252 participants.
 
On mentionne que pour maintenir ou améliorer son humeur et son estime de soi, rien n’est mieux que de pratiquer ses activités physiques dans un espace vert. Les effets bénéfiques sont considérables pour tout le monde, peu importe l’âge, la scolarité, le sexe, la santé ou même le niveau de richesse ou de pauvreté.
 
Les espaces verts seraient mieux que le gymnase et la ville pour améliorer sa santé mentale. L’amélioration de l’estime de soi est grandement bonifiée, surtout chez les jeunes et les personnes ayant des troubles de santé mentale.
 

Ainsi, on recommande que dans l’aménagement et le transport urbain, on tienne compte de donner un plus grand accès à des espaces verts à la population. Une marche, même légère et de courte durée, dans un parc est plus bénéfique que dans les rues.

 
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Les plantes pour une bonne santé mentale

Health News mentionne que la phytothérapie est de plus en plus utilisée et reconnue. Il s’agit de se servir des plantes pour les objectifs médicinaux. Elles sont souvent consommées sous forme de suppléments alimentaires.
 
Il est fréquent que l’hiver, avec l’excès de boulot et le manque de soleil, des signes de dépression se fassent sentir. Il existe pourtant des plantes qui peuvent vous donner un regain d’énergie.
 
Par exemple, le millepertuis est reconnu pour soulager les dépressions légères et modérées. La bergamote permet de régler l’horloge biologique interne du corps.
 
Une plante comme la valériane est même reconnue par l’Organisation mondiale de la santé pour ses propriétés calmantes qui réduisent l’anxiété. La mélisse agit contre les estomacs noués, diminue les douleurs digestives et a des vertus relaxantes.
 
L’éleuthérocoque, surnommé le ginseng de Sibérie, est un bon antistress et sa racine aide le corps à résister au surmenage.
 
Le ginseng est reconnu pour ses nombreux bienfaits sur le corps, dont son action contre le stress et sa capacité à retarder l’épuisement. Finalement, le rhodiola augmente aussi les capacités du corps à résister au stress.
 
Ne sont nommés ici que quelques exemples de plantes que suggère le site internet Health News.