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Toutes les mesures que vous devez savoir pour Noël et le jour de l’An

Dans un point de presse, on a enfin pu avoir des nouvelles quant au temps des Fêtes. Ceux qui se demandaient s’ils pourraient voir leurs familles et amis seront comblés.

Au Québec, les rassemblements d’un maximum de dix personnes seront permis pour Noël les 24, 25, 26 et 27 décembre. Par contre, la Santé publique demande quand même d’agir avec précaution et d’essayer d’éviter tout contact avec d’autres humains une semaine avant et une semaine après les « rassemblements » pour tenter d’avoir le moins de cas possible. Legault demande aussi de respecter le deux mètres et de se laver régulièrement les mains pendant la soirée.

«Je propose un contrat moral. On propose une espèce de confinement volontaire pour minimiser les risques de propager le virus chez vos proches. […] Je demande d’abord la collaboration de tous les employeurs. Tous ceux qui peuvent faire du télétravail, faites-le, une semaine avant et une semaine après. Et toutes les entreprises qui sont capables de réduire leurs activités, je vous demande de le faire», a dit le Premier ministre aujourd’hui.

Par contre, le jour de l’an sera annulé cette année. Aucun rassemblement ne sera permis, tout le monde devra rester chez soi. Faites attention de bien suivre les règlements pour ne pas recevoir d’amendes. Les partys de bureau ne sont pas non plus permis.

D’ailleurs, ces règles s’appliquent à toutes les régions, peu importe la couleur de leur zone.

On a aussi appris que les salles de restaurants, les bars et les gyms en zone rouge devront rester fermés jusqu’au 11 janvier 2021 au moins.

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La violence conjugale, une préoccupation de la santé publique

Selon les plus récentes données, indique Science World Report, 1 homme sur 5 a porté un ou plusieurs gestes violents envers sa partenaire de vie.

L’IPV ou Intimate partner violence, est reconnue comme étant une menace, une tentative ou l’acte en lui-même d’un geste de violence physique ou sexuelle sur un partenaire actuel ou passé.

Annuellement, aux États-Unis, 320 000 patients consultent un médecin pour violence conjugale, et 1200 décès sont rapportés.

Comme le rapporte le Dr Vijay Singh de l’école médicale de l’Université du Michigan, certains signes physiques comme des troubles de digestion et de l’insomnie chez les hommes sont souvent reliés à des comportements agressifs envers le partenaire.

Leur conclusion se base sur un échantillonnage de 530 hommes d’une moyenne de 42 ans. Ceux-ci ont rapporté des gestes tels que pousser la partenaire, la mordre, la battre, l’étrangler, la brûler, l’ébouillanter ou la menacer avec un couteau ou une arme.

Dr Singh espère trouver d’autres facteurs qui sauront déceler les agresseurs afin de prévenir la violence au sein du couple.

La recherche a été publiée dans le Journal of the American Board of Family Medicine.