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Une rencontre au sommet pour la dysfonction sexuelle chez la femme

Hier (27 octobre), la FDA (Food and Drug Administration) a dû répondre de son inaction à propos de la dysfonction sexuelle féminine (DSF), une affection qui touche 1 femme sur 10.

Michelle King Robson, fondatrice de EmpowHER, a souffert de DSF par le passé. Elle était sur place et a ouvertement parlé des symptômes et de l’urgence d’approuver un traitement.

« Cela ruine la vie des femmes », a-t-elle indiqué en introduction. « Les hommes et les familles en sont également victimes lorsque des relations et des mariages sont détruits. »

King Robson a rappelé au conseil qu’elle avait fait les mêmes démarches devant eux en 2010. Désormais, de nombreuses associations féminines ont grossi les rangs pour faire pression afin d’obtenir « l’équité des genres dans le traitement de la santé sexuelle ».

« L’approbation de diverses options de traitement pour la dysfonction sexuelle féminine est déjà en retard depuis longtemps », accuse-t-elle la FDA. « Nous avons le droit au même traitement que les hommes pour améliorer notre santé sexuelle. »

Les chiffres sont là et démontrent à quel point les hommes ont toutes les faveurs. Il existe 26 différents médicaments pour la dysfonction érectile masculine, et aucun pour la femme.

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Le vélo dommageable pour les femmes?

Récemment, une étude disait que les hommes qui faisaient régulièrement du vélo pouvaient voir leur santé sexuelle en être affectée.
 
Selon le New York Times, de nouveaux résultats démontrent que ces dommages concernent aussi les femmes.
 
En fait, plus le guidon est bas et plus cela pose problème. Plus une femme doit se pencher pour l’atteindre, plus elle exerce une pression dans des zones sensibles de la région pelvienne. Cela peut entraîner des engourdissements et, éventuellement, une dysfonction sexuelle.
 
Les chercheurs ont suivi 48 femmes qui faisaient du vélo régulièrement, à raison de 16 km ou plus par semaine, pour en arriver à ces résultats.
 
Bien que des recherches plus approfondies soient nécessaires, on mentionne que d’utiliser des selles sans « nez » serait l’option la moins dommageable, tant pour les hommes que pour les femmes, car cela diminuerait la pression sur la zone pelvienne.