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La Saskatchewan et le Manitoba sous la note de passage en santé

Radio-Canada rapporte des statistiques publiées par le Conference Board of Canada qui font état du bilan de santé des citoyens des différentes provinces canadiennes.

Publié sous forme de bulletin, le rapport accorde des notes désastreuses aux provinces du Manitoba et de la Saskatchewan, qui récoltent toutes deux la note D.

« Par exemple, nous avons observé la forte consommation d’alcool, un facteur pour lequel la Saskatchewan a obtenu un C, et le surpoids et l’obésité, pour lesquels la province a aussi eu un C. Mais les D obtenus par la province ont surtout été donnés pour le tabagisme et la consommation de fruits et légumes », résume l’auteure principale, Gabriela Prada.

L’Alberta et la Colombie-Britannique trônent au sommet de ce palmarès, les deux provinces obtenant la meilleure note, soit un A.

La recherche s’est basée sur près de 100 facteurs ou indicateurs de santé reconnus par les spécialistes. L’article rapporté ne faisait pas mention de la performance du Québec, mais on ne peut que l’imaginer…

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Une longévité accrue grâce au calcium est observée chez la femme

Les femmes peuvent-elles vivre plus longtemps en consommant quotidiennement du calcium? C’est la question posée dans une nouvelle étude québécoise, réalisée à l’Université McGill auprès de près de 10 000 participants.

Après avoir suivi pendant 12 ans 9033 sujets canadiens, tous issus de villes différentes, les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium peut avoir un réel impact sur la longévité, mais seulement chez la femme.

Les suppléments alimentaires sont très controversés depuis quelque temps, alors qu’on se rend compte qu’ils profitent souvent plus aux comptes de banque des compagnies pharmaceutiques qu’aux consommateurs en général.

Cependant, l’étude proposée ici, et rapportée par Radio-Canada, semble exhaustive et indépendante.

« Nous avons découvert que la prise quotidienne de suppléments de calcium est associée à un risque moins élevé de décès chez la femme, et ce, indépendamment de la cause », déclare le professeur David Goltzman, chercheur et coauteur de l’étude.

Goltzman et son équipe publient maintenant les résultats de leur étude dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, qui s’ajoutera aux précédentes sur le sujet. Plusieurs autres études ont déjà avancé certains dangers liés à une prise supplémentaire de calcium. Le débat demeure donc bien ouvert.

 

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Le champagne au service de la mémoire

Alors que les percées médicales en matière de traitement des maladies dégénératives comme l’Alzheimer abondent depuis quelque temps, l’ultime découverte se fait encore attendre.

Les citoyens craignent donc, avec raison, d’être confrontés à ce genre de maladies neurologiques graves, et ne peuvent pour l’instant que se doter de moyens de prévention.

L’un de ceux-là pourrait bien joindre l’utile à l’agréable, selon Top Santé, car des chercheurs de l’Université de Reading croient que le champagne pourrait s’avérer une arme de prévention contre la maladie d’Alzheimer, en plus d’améliorer la mémoire. 

On parle d’une consommation variant d’une à trois coupes de champagne par semaine, soit un peu moins que ce qui est avancé dans le cas du vin rouge. Dans ces deux cas cependant, on reconnait les polyphénols comme facteur expliquant cet effet protecteur.

« Le champagne est plus riche en composés phénoliques que le vin blanc, en raison des propriétés des deux cépages dont il est issu », explique le professeur Jeremy Spencer, auteur de l’étude.

Les chercheurs ont pu vérifier cette théorie sur des rongeurs, avant de publier les résultats dans une récente édition du magazine Antioxidants and Redox Signalling.

Plus besoin d’attendre de grandes occasions pour boire du champagne, selon Spencer et son équipe. Pourquoi alors ne pas simplement trinquer à la bonne santé!

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Le syndrome prémenstruel finalement reconnu par les spécialistes

Peut-être aura-t-il fallu qu’un plus grand nombre de femmes accèdent à des postes importants, notamment en sciences et en recherche, pour que le fameux syndrome prémenstruel (SPM) soit finalement reconnu pour autre chose qu’une vulgaire blague.

C’est que selon ce que rapporte La Presse, l’Association psychiatrique américaine (APA) reconnait enfin les conséquences bien réelles du SPM, spécialement dans ses formes les plus violentes.

Tellement que l’Association a décidé d’inclure le syndrome dans son fameux DSM, soit le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

Publié depuis le début des années 50, l’ouvrage retrace tous les troubles mentaux reconnus, et le syndrome prémenstruel y fait son apparition pour la toute première fois.

Baptisé trouble dysphorique prémenstruel, ce diagnostic est associé dans cette nouvelle édition du DSM à des problèmes psychologiques comme la dépression et la bipolarité, ce qui choque certains observateurs.

« Le critère important est qu’à cause des symptômes, le fonctionnement de tous les jours est perturbé », nuance cependant le Dr Richard Bergeron, fondateur de la Clinique du syndrome prémenstruel du Centre hospitalier Pierre-Janet.

Le syndrome ne serait donc applicable qu’aux femmes qui n’arrivent plus à jouir de la vie ou à vaquer à leurs occupations quotidiennes lors de la période prémenstruelle.

Plusieurs femmes se réjouissent de cet ajout au DSM, témoignant des difficultés vécues lors d’épisodes graves de SPM, souvent mal compris et mal diagnostiqué par les médecins traitants, qui ont trop souvent recours aux antidépresseurs pour tenter de régler le problème.

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L’apigénine encore vantée par des spécialistes en nutrition

On vous parlait récemment des bienfaits du thé de camomille, explicables par la forte teneur en apigénine qu’il contient.

Voilà que l’ingrédient est de nouveau nommé et vanté par des spécialistes en nutrition qui publient une énième étude sur le régime méditerranéen, rapporte Medical News Today.

Cette fois, les chercheurs américains en tête de cette récente étude croient avoir mis le doigt sur la composante spécifique et commune aux aliments retrouvés dans la diète méditerranéenne, et qui pourrait expliquer pourquoi ce type de régime semble prévenir davantage du cancer et de certaines maladies graves et chroniques.

L’apigénine est donc mentionnée deux fois dans la même semaine par deux études différentes, ce qui semble valider ses bienfaits.

On reconnait à cette composante une propriété capable de rendre les cellules cancéreuses « mortelles », c’est-à-dire moins résistantes et plus faciles à contrer.

Ce genre d’étude est très pertinente dans le contexte actuel, puisque plusieurs aliments et types de régimes sont souvent vantés, mais sans que l’on comprenne véritablement la provenance ou la logique des bienfaits qui s’y rattachent.

L’apigénine semble apporter un début de réponse en ce qui concerne la diète méditerranéenne, notamment.

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SIDA : L’heure est au bilan

Alors que le dossier du SIDA refait surface au Québec dans le cadre de la polémique entourant les dons de sang, on apprend que trente années se sont écoulées depuis la découverte de cette terrible maladie.

30 ans de recherche active et de sensibilisation, qui ont vu beaucoup de progrès être réalisés, sans toutefois voir apparaître sur le marché un traitement efficace à 100 %.

Toutes ces facettes et bien d’autres seront abordées au colloque scientifique international de Paris, où se croiseront plusieurs spécialistes dans le domaine.

Top Santé, qui rapporte la nouvelle, reprend les propos de certains spécialistes présents au colloque, qui se déroule par ailleurs à l’Institut Pasteur.

« … la multiplication du virus, la réaction du système immunitaire, les mécanismes de déclenchement de la maladie et les nouvelles stratégies thérapeutiques envisageables… », énumère d’abord Olivier Schwartz, décrivant quelques-uns des thèmes présentés lors du rassemblement.

Il poursuit en expliquant : « Dans les pays riches, la majorité des personnes infectées ont accès aux traitements et, en conséquence, ne sont pas malades. Elles sont soignées, elles ne sont pas guéries, mais leur confort de vie est normal dans la majeure partie des cas ».

Son optimisme rejoint celui de Robert Gallo, qui prévoit un traitement préventif contre le VIH d’ici la prochaine décennie.

30 ans de règne de terreur, donc, pour le mortel virus, mais aussi 30 ans de progrès et de lutte implacable, qui pourraient se solder par la découverte du traitement tant attendu. 

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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Les féculents, pas aussi dangereux pour la santé qu’on pourrait le croire

Santé Log rapporte les conclusions issues d’une nouvelle étude commandée et publiée par NutriNet Santé, qui laissent croire que les féculents subissent une mauvaise presse pas toujours raisonnable.

Depuis quelques années, plusieurs célébrités et nutritionnistes sont partis en guerre contre les féculents, que l’on accuse d’être des acteurs principaux dans la prise de poids.

Face à un problème d’obésité grandissant un peu partout dans les pays industrialisés, il est facile de pointer du doigt certains apports alimentaires, alors que la solution réside souvent dans le simple manque d’activité physique.

Les féculents, qui contiennent notamment des glucides et des fibres, peuvent effectivement encourager une certaine prise de poids, mais favorisent également (et surtout) un apport énergétique de qualité.

L’étude constate que la campagne de peur a porté des fruits, et que les citoyens ont fait passer leurs apports en féculents sous la barre recommandée.

On suggère donc de retrouver le plaisir du pain, des pommes de terre, des pâtes et du riz, avec modération et sans culpabilité!

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Bébé et les poux

Bébé se gratte la tête? Il se peut que, malgré qu’il n’en ait pas beaucoup, ses cheveux soit maintenant hôtes de vicieux petits poux.

Sur Famili.fr, le Dr Andreas Werner explique comment prévenir et se débarrasser de ces intrus. « On peut protéger son enfant des poux, mais pas à l’aide de traitements médicamenteux », prévient le pédiatre, membre de l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA).

« Les répulsifs sont en effet réservés aux enfants de plus de 3 ans, et aucune étude ne montre que l’huile de lavande est efficace pour éviter une pédiculose », ajoute-t-il.

Attacher les cheveux des filles, mettre des chapeaux aux enfants et bien peigner leurs cheveux reste la meilleure prévention. Pour les enfants en âge de comprendre, il serait bien de leur expliquer de ne pas partager les articles qui pourraient aider la propagation de poux, comme les brosses et chapeaux.

« C’est plus embêtant pour un bébé d’avoir des poux, car il y a beaucoup de traitements qu’on ne peut pas utiliser chez les tout-petits », explique le docteur.

Il est déconseillé d’utiliser quelque traitement que ce soit sur les jeunes bébés. Il est plutôt suggéré d’utiliser un peigne à poux plusieurs fois par semaine et de leur raser la tête.