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Santé publique : Les médias doivent aussi faire leur part pour éviter la paranoïa

Les médias sont visés dans une nouvelle étude sur la santé publiée par des chercheurs allemands, qui nous gratifient par la même occasion d’un nouveau mot de la langue française, rapporte Top Santé

On parle de « l’effet nocebo », un phénomène qui s’apparente à l’effet placebo, mais en lien avec les informations véhiculées par la faune médiatique.

Cette dernière est omniprésente dans nos vies et n’apporte pas que du bon. Les campagnes de peur, la surutilisation de temps d’antenne sur les mêmes sujets, le manque de rigueur et de souci du public sont tous des facteurs qui finissent par influencer non seulement l’opinion publique, mais aussi sa santé.

Ainsi, explique le psychothérapeute Michael Witthöft, directeur de l’étude en question, « la simple anticipation de dommages sur la santé pourrait déclencher des douleurs et des désordres de santé ».

C’est donc dire que plusieurs personnes anxieuses ou influençables peuvent littéralement développer des symptômes ou des problèmes de santé à la suite des reportages sensationnels.

Pour confirmer la théorie, l’équipe du Dr Witthöft a tenté une expérience sur 147 sujets, en leur proposant un reportage de la BBC sur l’impact des ondes WiFi sur la santé, avant de les « exposer » à de faux signaux du même genre.

54 % des sujets ont présenté des signes d’anxiété ou d’autres symptômes, alors qu’il n’y avait pourtant rien dans la pièce… 

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Manger des poivrons réduirait les risques de Parkinson

Manger des poivrons n’est pas un réflexe qu’adopte une majorité de citoyens, avouons-le, mais cette nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine pourrait bien vous convaincre de développer cette habitude.

On rapporte dans ces recherches, publiées par une équipe de chercheurs basés à Seattle, que les poivrons peuvent faire baisser les risques de développer la maladie de Parkinson, notamment grâce… à la nicotine.

Oui, la nicotine, celle que l’on combat si âprement dans cette ère moderne, pourrait bien s’avérer utile pour une fois dans sa vie. Toutes blagues à part, on parle bien évidemment de la nicotine « alimentaire », et l’étude rapportée ici ne constitue certainement pas une raison pour recommencer à fumer!

Mieux vaut donc trouver sa nicotine dans des légumes frais, comme les poivrons et les tomates, suggèrent les experts.

« Notre étude est la première à se pencher sur la nicotine alimentaire et les risques de développement de la maladie de Parkinson. Similairement à plusieurs études qui indiquent que l’usage du tabac réduit les risques de Parkinson, nos découvertes suggèrent également un effet protecteur provenant de la nicotine, mais sans les produits chimiques toxiques, grâce aux poivrons et à la tomate », explique la Dre Susan Searles de l’Université de Washington à Seattle. 

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Le nouveau coronavirus transmissible par l’humain

Après quelques semaines de rumeurs et d’études sur le sujet, les spécialistes de l’Organisation mondiale de la santé en arrivent finalement à la conclusion que le nouveau coronavirus peut bel et bien se transmettre par l’humain.

Donc, en clair, cela signifie qu’un individu porteur de cette nouvelle souche de coronavirus, qui inquiète bien des gens ces temps-ci un peu partout sur la planète, peut transmettre la maladie à un autre congénère humain, selon Radio-Canada

De quoi s’inquiéter donc, mais on rappelle qu’il ne faut pas non plus céder à la panique. Bien qu’il soit important d’être vigilant, surtout du côté des organisations et associations de la santé des gouvernements, on n’a qu’à penser à l’épisode du SRAS pour se rappeler l’importance de rester calme face au phénomène.

Pour l’instant, le coronavirus, qui s’apparente au SRAS, a fait 18 victimes en Arabie Saoudite, et la maladie viendrait de pénétrer le territoire français.

Bien qu’il s’agisse d’une nouvelle souche encore inconnue de l’homme, la rapidité des spécialistes à réagir laisse croire que ce coronavirus pourrait être contenu de manière assez efficace.

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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.

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La somnolence de jour liée à l’alimentation

Êtes-vous du genre à tomber de fatigue en plein milieu de la journée, que vous soyez au travail ou à la maison?

Si vous souffrez de ce genre de somnolence diurne et qu’il vous est difficile de rester alerte durant le jour, une étude suggère qu’il faudra vous tourner vers votre alimentation pour démasquer le coupable.

C’est ce qui ressort des conclusions publiées par des chercheurs américains dans le journal SLEEP et rapportées ici par Medical News Today.

Ainsi, selon le sexe, le poids et certaines caractéristiques des individus, le type d’aliments ingérés précédemment joue un rôle primordial sur le métabolisme durant le jour et dicte le niveau d’énergie ressenti.

On pointe principalement du doigt les aliments à forte teneur en gras, ce qui coïncide avec la montée statistique du phénomène, puisque l’obésité et la malbouffe sont des fléaux qui sont eux aussi en pleine croissance.

De plus, on croit que manger des aliments gras trop souvent a plus d’incidence chez les personnes de poids normal que celles en surpoids.

Si vous ressentez les effets de la somnolence dans le jour, vous devrez donc considérer sérieusement à améliorer votre alimentation et ralentir le rythme en terme de malbouffe.

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Un plus petit nom pourrait signifier un plus gros salaire

C’est une étonnante étude que nous rapporte ici Top Santé, alors que des chercheurs américains ont tracé une corrélation entre la longueur des prénoms et le salaire annuel.

Ainsi, un prénom plus court aurait plus de chances de rapporter plus d’argent à son propriétaire, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées et publiées dans The Ladders.

Pour en arriver à ce constat pour le moins farfelu, les chercheurs ont analysé les noms et les salaires de près de six millions d’Américains. Le calcul mathématique subséquent mène à une solution étonnante : chaque lettre en plus dans un prénom priverait le propriétaire de celui-ci d’une somme de 3600 dollars annuellement.

Donc, plus le prénom est court, plus on peut aspirer à de grandes choses sur le plan financier, comme les trois dirigeants d’entreprises les mieux payés aux États-Unis sont Tim (Cook), Larry (Ellison) et Ron (Johnson).

Pour ceux qui ont un nom assez long, les chercheurs n’hésitent pas à suggérer d’utiliser un surnom ou un diminutif de son vrai nom en affaires.

Croyez-vous à ces conclusions? 

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Que manger pour prévenir la DMLA?

Le DMLA, ou dégénérescence maculaire, se définit comme étant une dégénération des yeux et de la capacité à voir, un mal qui afflige bon nombre de personnes en prenant de l’âge.

Plusieurs études et théories affirment qu’il est possible de contrer le phénomène par l’alimentation, mais ces dernières se contredisent souvent.

Santé Log rapporte maintenant une nouvelle étude, proposée par les US National Institutes of Health, qui démystifie les aliments et les éléments nutritifs qui peuvent avoir une incidence positive en prévention de la DMLA.

On confirme d’abord que le risque de DMLA est plus grand chez les individus qui affichent des carences en caroténoïdes, en lutéine et en zéaxanthine, tous des antioxydants.

Les oméga-3, en revanche, n’auraient aucun impact sur le développement de la maladie.

Aussi, on invalide ici les présumées propriétés bienfaitrices du bêta-carotène, que l’on croyait utile à la prévention de la DMLA. On suggère maintenant de se tourner plutôt vers les caroténoïdes et d’abaisser le taux de zinc des patients.

On soupçonne par ailleurs la bêta-carotène d’être un facteur de risque du cancer du poumon chez les fumeurs.

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Les États-Unis proposent le dépistage systématique du cancer du poumon chez les fumeurs chroniques

Certains spécialistes américains croient qu’il serait bénéfique de faire du dépistage systématique au sein de la population qui affiche des antécédents de tabagisme chronique.

On désigne cette portion de gens, aussi appelés « gros fumeurs », par ceux qui ont fumé plus de 20 cigarettes par jour durant des décennies.

Ainsi, l’American College of Chest Physicians propose de faire un travail accru de prévention auprès des gens de 55 à 74 ans qui ont ce genre d’historique.

On croit du côté de ces chercheurs, comme décrit dans leur étude rapportée par Santé Log, qu’on pourrait faire baisser les décès dus au cancer du poumon de 20 % chez ce groupe cible.

On aimerait implanter de telles mesures pour tout le monde, mais les coûts astronomiques d’une telle manœuvre ne sont pas à négliger. En ciblant les personnes les plus à risque statistiquement, les spécialistes de l’American College of Chest Physicians croient qu’il s’agit d’un très bon début.

Les États-Unis mettront-ils sur pied un tel programme et, surtout, d’autres nations suivront-elles l’exemple?

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Une percée technologique qui fait ouvrir les yeux sur l’avenir

Santé Log rapporte des conclusions étonnantes, stupéfiantes et même terrifiantes concernant les nouvelles technologies oculaires et visuelles en création.

On parle ici de cette rétine artificielle qui permet à des aveugles de recouvrer la vue, en plus de permettre une meilleure vision que l’œil humain. Une soixantaine de personnes dans le monde auraient déjà bénéficié de cette rétine, et il semble que ces tests soient un véritable succès.

Mais voilà, une telle réussite ouvre maintenant les yeux des experts sur les possibilités à venir, certains déclarant même que ces technologies rendront bientôt l’œil humain obsolète.

On trace un parallèle entre l’œil traditionnel et celui d’une caméra haute définition, qui peut quant à lui percevoir des millions de pixels.

Et si on croit que le cerveau humain pourrait bien accepter l’ajout de ces rétines artificielles, on se demande franchement pourquoi une personne qui n’a aucun ennui de santé voudrait miser sur un tel ajout, avec les risques qui doivent bien sûr s’y rattacher.

Le débat est lancé, et on risque d’entendre parler de plus en plus de ces avancées en matière « d’œil bionique » dans les prochaines années.

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Le soya et la tomate en prévention du cancer de la prostate?

Les aliments à base de soya, lorsque combinés à la bonne vieille tomate, pourraient-ils prévenir le cancer de la prostate?

C’est ce que croient plusieurs scientifiques, rapporte Science Daily, dont ceux basés à l’Université de l’Illinois qui publient cette plus récente étude sur le sujet.

Les deux aliments sont déjà vantés pour leurs propriétés anti-cancer, mais c’est la combinaison des deux qui a attiré l’attention des chercheurs américains.

« Dans notre étude, on a utilisé des souris qui étaient créées de façon à développer une forme agressive du cancer de la prostate. La moitié des animaux qui ont consommé de la tomate et du soya ont développé la maladie, alors que la totalité de ceux du groupe de contrôle (donc sans tomate ni soya) a développé cette forme de cancer », explique John Erdman, professeur en sciences et nutrition.

Avec ces résultats et ceux de quelques tests subséquents, on pourrait donc conclure que l’ajout du soya et de la tomate dans un régime alimentaire peut réduire les risques de développer un cancer de la prostate de près de 50 %.