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Le ménage du printemps cérébral

On apprend, par l’entremise de Top Santé, qu’il n’y a pas que nous qui avons l’habitude de faire un grand ménage du printemps… notre cerveau aussi!

C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Neuroscience, qui dévoile un phénomène fascinant se déroulant au niveau cérébral à l’arrivée du printemps.

Ainsi, notre cerveau « effacerait » des cellules endommagées et préparerait les cellules souches capables de les remplacer à entrer en action. Le procédé est maintenant connu sous le terme d’autophagie.

C’est ce qu’ont constaté les chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, qui sont en tête de cette étude étonnante. Ils ont même trouvé que le phénomène de ménage printanier cérébral observé serait dû à la protéine FIP200, qui permet de procéder à cette véritable mise à jour centrale.

On note par ailleurs que ce processus semble ralentir avec l’âge, ce qui expliquerait en partie pourquoi les gens plus âgés sont enclins à développer des problèmes cognitifs ou de démence.

« Grâce à l’autophagie, les cellules souches neurales peuvent réguler les niveaux des espèces réactives de l’oxygène (ROS) ou radicaux libres qui peuvent s’accumuler dans certaines régions du cerveau et dont des niveaux anormalement élevés peuvent déclencher leur différentiation », résume le professeur Jun-Lin Guan, de l’Université du Michigan.

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Les suppléments et les oméga-3 n’amélioreraient pas les performances cognitives

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche sur les capacités cognitives, et qui attaque le mythe qui veut que la prise de suppléments alimentaires comme l’huile de poisson améliore les performances du cerveau.

Ces conclusions proviennent des recherches conduites à l’Hôpital St Michael de Toronto, et elles risquent de ne pas plaire aux amateurs de produits naturels et de compléments alimentaires, notamment ceux riches en oméga-3.

C’est qu’on associe depuis longtemps ces produits à une meilleure capacité cognitive, ce que réfutent les chercheurs canadiens.

Ces derniers suggèrent plutôt de se tourner vers des jeux qui stimulent le cerveau et l’esprit, comme de simples mots croisés ou encore le sudoku.

Plus efficaces, presque gratuits, et n’influençant aucunement votre régime alimentaire et vos apports nutritifs, ces jeux pourraient bien avoir un impact direct et vérifiable sur vos performances cognitives.

C’est après avoir analysé et compilé des données issues de 32 essais cliniques, qui touchaient par ailleurs près de 25 000 patients, que les chercheurs torontois sont arrivés à cette conclusion simple, mais importante.

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Le bonheur sexuel se mesure-t-il en quantité?

Santé Log rapporte une étude sur la sexualité qui indique l’importance potentielle de la quantité de rapports sexuels sur la notion de « bonheur sexuel ».

Bien que l’on ne sous-estime pas l’importance de la qualité, les chercheurs croient aussi que la quantité est importante, tout comme pour l’argent.

Ainsi, après avoir mené des essais sur plus de 15 000 personnes volontaires, ils ont pu conclure non seulement à l’importance de la fréquence des rapprochements amoureux, mais aussi à l’importance d’en avoir plus que ses amis ou ses voisins.

Le fait d’avoir des relations sexuelles fréquentes, et surtout plus que les gens autour, ferait en sorte que la plupart des individus dans cette situation ressentiraient un bonheur décuplé face à leur vie sexuelle.

Les répondants de l’étude ont presque tous répondu qu’ils étaient heureux au plan physique lorsqu’ils croyaient faire l’amour plus souvent que le voisin, et tout autant lorsque la fréquence des relations intimes est supérieure à la « moyenne ».

L’auteur de l’étude rappelle cependant qu’il est important de faire ses choix en fonction de nos désirs et besoins, et non en fonction de l’image envoyée par les autres ou par la société.

Une excellente morale à tirer!

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Un mauvais cholestérol augmenterait aussi les risques d’Alzheimer

Afficher des taux trop élevés de mauvais cholestérol n’aurait pas qu’une incidence sur les risques de développer une maladie cardiaque ou de faire un AVC, mais aussi sur les risques de développer la maladie d’Alzheimer.

C’est le Daily Mail qui rapporte cette constatation, publiée par des chercheurs américains qui s’étaient penchés sur la question.

Ceux-ci ont découvert, au fil de leurs recherches, que le mauvais cholestérol (aussi appelé LDL) provoque un phénomène qui divise incorrectement les cellules humaines, et même animales, qui à leur tour font défaut dans la duplication des cellules futures.

Tout cela mènerait à de fameuses plaques observables au cerveau, un symptôme de la maladie d’Alzheimer, à la suite d’une accumulation de cellules défectueuses combinée à un nombre incorrect de chromosomes.

Une explication un peu complexe, mais qui résume bien les conclusions tirées par les chercheurs du Linda Crnic Institute for Down Syndrome et de l’Université du Colorado.

L’étude, publiée dans le magazine PLoS One, ne fait que souligner l’importance de bien s’alimenter, surveiller ses taux de cholestérol et, par le fait même, consulter un médecin pour être bien certain de son état de santé.

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Des reins artificiels prometteurs

Une première a été effectuée dans le monde médical, alors que des chercheurs américains ont réussi à transplanter un rein créé de toute pièce sur des rats.

Le résultat semble probant, puisque l’organe aurait immédiatement réagi à son nouvel environnement, entamant aussitôt ses fonctions.

Un essai qui rend les chercheurs de Harvard et du Massachusetts General Hospital fort optimistes, eux qui croient pouvoir répéter l’expérience sur des humains et enfin venir en aide aux patients qui souffrent de problèmes rénaux sérieux.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, en plus des propos de la Dre Mala Sachdeva, une spécialiste dans le domaine qui regarde les efforts de ses collègues à distance, sans participer aux essais.

« Ces résultats sont très impressionnants. Le tissu transplanté était fonctionnel. Il est tôt pour avoir des attentes élevées, car beaucoup de travail reste à faire, mais cela démontre un grand potentiel. »

S’il est vrai qu’une panoplie de tests, qui pourraient s’échelonner sur des années, restent à faire, les spécialistes s’entendent pour dire qu’il s’agit tout de même d’une base solide pour l’avenir.

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Régime sans gluten : un nouveau site web fait son apparition

Top Santé rapporte le lancement d’un tout nouveau site web qui s’inscrit dans cette nouvelle mode de régime alimentaire dépourvu de gluten.

Avant d’aller plus loin, il est important de mentionner que si certaines personnes prennent la décision d’enlever tous les aliments qui contiennent du gluten de leur régime, d’autres n’ont tout simplement pas le choix à cause d’allergies ou de problèmes de santé divers.

Sauf que pour une quantité appréciable d’autres personnes, on fait le choix de couper le gluten, encouragé notamment par des porte-paroles comme Gwyneth Paltrow, qui fait réagir avec son livre et ses conseils sur le sujet.

Tous ces adeptes, volontaires ou non, pourront donc maintenant consulter ce nouveau site qui répertorie les endroits et les trucs pour éviter le gluten partout dans le monde.

Il est donc possible de prévoir quels restaurants visiter lors d’un voyage et de trouver les endroits qui sont amicaux avec les anti-gluten.

Pour en savoir plus et découvrir le site web, visitez le www.glutenfreeroads.com.

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La saveur des aliments s’avère parfois une supercherie du cerveau

Voici une étude et des révélations surprenantes et fascinantes sur les réactions de l’humain face à ses plats favoris.

En effet, Science Daily rapporte des propos du chercheur et docteur Terry E. Acree, qui décrit le rôle du cerveau sur la façon dont on perçoit, sent et goûte les aliments.

Selon le spécialiste, le cerveau peut y aller d’une supercherie monstre lorsque vous êtes placé devant divers aliments, des réactions qui peuvent être influencées par vos propres appréhensions et expériences.

Ainsi, on pourrait « créer » des saveurs et des odeurs, en fonction de nos attentes.

« Il y a des années, le goût était constitué de deux facteurs : la saveur et l’odeur. Maintenant, on commence à comprendre que la saveur dépend des parties du cerveau qui impliquent le goût, l’odorat, le toucher et la vue. La somme de tous ces signaux, en plus de nos expériences passées et de nos émotions, peut faire varier la perception des saveurs, et déterminer si on va aimer ou détester un aliment », explique Acree, convaincu.

Il explique aussi que l’on peut donc « voir » les odeurs, et que notre perception de ce qu’un aliment ou un vin, par exemple, « devrait goûter » change carrément la façon de le percevoir ensuite.

Fascinant!

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La cigarette électronique de plus en plus prisée pour arrêter de fumer

Il semble que la fameuse cigarette électronique fasse de plus en plus ses preuves, et que de plus en plus de gens font l’expérience de cette nouvelle méthode pour cesser de fumer.

C’est du moins ce qui ressort des statistiques présentées par des chercheurs de l’Université d’East London et rapportées par Top Santé.

En effet, sur une période d’environ sept mois, les chercheurs ont sondé près de 1500 fumeurs de 33 pays d’Europe. On s’est rapidement rendu compte que la cigarette électronique avait gagné en popularité, mais aussi en efficacité.

En fait, 75 % des répondants ayant tenté l’expérience de la cigarette électronique disent ne pas avoir fumé des semaines durant, alors que la grande majorité déclare, d’une façon ou d’une autre, que cette nouvelle technologie permet de réduire l’envie de fumer.

On peut donc affirmer qu’après avoir traversé quelques tempêtes et survécu à plusieurs débats sur sa crédibilité et son utilité, la cigarette électronique pourrait être en voie de s’inscrire comme l’une des solutions les plus viables pour cesser de fumer.

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Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.

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La pensée magique au service du vieillissement en bonne santé

Ceux qui croient que la pensée n’a aucun pouvoir sur la matérialisation des choses risquent d’être abasourdis par cette nouvelle étude sur le vieillissement.

Rapportée par Santé Log, cette nouvelle recherche parle de l’importance de ne pas « s’imaginer vieux et fragile », puisque le corps pourrait bien transposer ces pensées en une triste réalité.

Ainsi, les chercheurs de l’Exeter Medical School, qui présentaient ces conclusions au début du mois lors de la conférence de la British Psychological Society, croient qu’il faut plutôt voir l’avenir avec optimisme et chasser les idées préconçues voulant que vieillir se fait inévitablement dans la douleur et la maladie.

C’est après avoir analysé les comportements et les réactions subséquentes de 29 personnes âgées que les chercheurs ont pu tester et confirmer leur théorie.

« En se voyant vieux et fragile, on agit comme si l’on est vieux et fragile. », croit l’un des sujets de l’étude en question.

Cette étude est révélatrice en ce qui concerne la force de la pensée sur le corps, et montre à quel point un comportement enthousiaste et optimiste peut soulever des montagnes. Tout porte à croire que cette façon de voir la vie est payante à tout âge!