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Quand l’eau du robinet pose un danger

L’eau potable retrouvée dans toutes les chaumières fait souvent l’objet d’études ou de controverse, mais une nouvelle recherche s’attarde cette fois à la température de celle-ci.

Selon l’étude rapportée par The National Library of Medicine, plusieurs régions contrôlent mal les écarts de température entre l’eau froide et l’eau chaude, ce qui pourrait mettre en danger la sécurité des jeunes enfants et des personnes âgées, plus sensibles à ces écarts de température.

Aux États-Unis seulement, on rapporte 1500 cas d’hospitalisation pour des brûlures dues à l’eau du robinet! Pire encore, on rapporte une moyenne de 100 décès pour les mêmes raisons, annuellement…

Des révélations étonnantes de la part des chercheurs de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui suggèrent certaines solutions au problème.

Du nombre, on croit qu’il serait possible d’installer des systèmes de prévention des brûlures à même le robinet dans les endroits qui abritent de jeunes enfants ou des aînés.

Les conclusions ont été publiées dans l’édition du mois de mars du Journal of Burn Care Research.

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Un test de dépistage… du crime?

Top Santé rapporte une nouvelle percée qui relève directement de la science-fiction. Il s’agit de la possibilité de repérer les criminels avant qu’il ne passe à l’acte, et qu’il soit donc trop tard.

Les cinéphiles penseront immédiatement au film Minority Report de Steven Spielberg, mettant en vedette Tom Cruise. Mais contrairement au film, on ne parle pas ici de prédire l’avenir littéralement!

Il s’agirait plutôt d’utiliser l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), communément utilisée dans les hôpitaux pour détecter plusieurs maladies ou problèmes de santé. Avec ce procédé, il serait possible de détecter les individus qui sont susceptibles de commettre un crime, ou alors de récidiver à la suite d’une première offense.

« Pour la première fois, les IRM du cerveau seraient capables de repérer les récidivistes », annonce le spécialiste en neurologie Kent Kiehl, qui revendique la paternité de cette incroyable avancée.

Plusieurs publications scientifiques citent Kiehl et croient que le processus est réaliste, mais on mentionne que plusieurs façons de tromper le test seraient efficaces. Il faudra donc s’assurer que les criminels soumis au test n’usent pas de ruse.

Et on ne parle même pas du caractère anticonstitutionnel de la manœuvre! Une histoire à suivre…

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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.

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Les allergies printanières pourraient être plus violentes cette année

Si vous souffrez d’allergies saisonnières, préparez-vous à un printemps qui pourrait s’avérer terrible! Selon The National Library of Medicine, plusieurs personnes ressentent déjà les affres des allergies printanières, bien que la nouvelle saison semble tarder avant de s’implanter complètement.

Aucun avantage, mais tous les inconvénients en ce printemps pour les allergiques. De plus, la virulence de ces allergies semble prendre de l’ampleur année après année, et il faut s’attendre à une hausse de la violence de celles-ci.

Pour les États américains nordiques et le Canada, on rappelle qu’il est tout à fait normal de ressentir les symptômes d’allergies dès le mois de mars, et ce, jusqu’au mois de mai.

En plus de l’intensité des symptômes, les spécialistes croient que les périodes de pollen pourraient s’étendre sur une plus longue durée. Décourageant!

« Nous avons enregistré des records de pollen lors des dernières années, et les saisons peuvent s’avérer un peu plus longues, parfois jusqu’à dix jours de plus dans le nord-est. Ces changements sont manifestement dus à des taux de monoxyde de carbone plus élevés », révèle le Dr Kevin McGrath, un porte-parole de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology.

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Mâcher de la gomme pourrait être bénéfique après une chirurgie du côlon

The National Library of Medicine rapporte une étude qui laisse penser que le simple fait de mâcher de la gomme après une opération du côlon pourrait être un geste bénéfique.

On fait surtout ici référence au cancer du côlon et à la chirurgie qu’il nécessite souvent, une intervention qui peut laisser le système digestif et les intestins inopérants.

Les patients qui subissent cette opération doivent donc souvent prolonger leur séjour à l’hôpital, en attendant que l’organisme « reparte » et se remette à fonctionner normalement.

Pour y parvenir, on pourrait demander aux patients de mâcher de la gomme. L’étude en question, publiée par des chercheurs de l’University Hospitals Case Medical Center de Cleveland, laisse croire qu’il s’agit d’une possibilité.

« C’est quand même raisonnable d’essayer une gomme sans sucre pour stimuler la récupération du système gastro-intestinal après une intervention majeure. Il semble qu’il n’y ait aucun inconvénient, et c’est peu coûteux, contrairement à beaucoup d’autres traitements », explique le Dr Conor Delaney.

Même si l’étude en question ne démontre pas hors de tout doute l’efficacité de cette pratique, elle n’est pas la première à avancer cette théorie. À tout le moins, comme aucun désavantage ou danger connu n’est relié à cette manœuvre, les médecins peuvent la suggérer sans inquiétude.

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Une meilleure santé pourrait signifier un meilleur salaire

Une enquête sur la santé et les revenus surprend en affirmant que les travailleurs en excellente santé pourraient gagner plus que les autres, révèle Top Santé.
 
Menée par l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes), l’investigation se penche sur le cas des travailleurs français, pour qui la théorie semble s’appliquer grandement.
 
Ainsi, on avance que les travailleurs avouant être en mauvaise santé gagnent, en moyenne, jusqu’à 14 % de moins que leurs collègues ayant une santé de fer.
 
On parle donc ici de discrimination, de l’aveu même des auteurs de cette enquête plutôt légère, avouons-le. Les conclusions permettent tout de même de comprendre que les patrons et dirigeants de ce monde préfèrent donner les augmentations, bonus et promotions à ceux qui se disent en excellente santé, ou qui semblent l’être, à tout le moins.
 
Donc, si vous souhaitez battre vos collègues pour un poste ouvert ou simplement assurer votre avenir au bureau, mieux vaut ne pas trop se plaindre et masquer certains problèmes de santé.
 
En revanche, il est peut-être préférable de se vanter de sa bonne santé, le cas échéant, car il semble que ce genre de discours attire l’oreille attentive des patrons.
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La vitamine D aiderait aussi à la santé pulmonaire

Une récente étude propose de nouvelles vertus à la vitamine D, que l’on sait déjà bénéfique pour les os. Selon cette recherche rapportée par Medical News Today, la vitamine D pourrait aussi aider grandement à améliorer le système respiratoire et les poumons.

En plus de permettre une meilleure respiration, un apport respectable de vitamine D pourrait du même coup protéger contre la tuberculose. Cette maladie est d’ailleurs étrangement en hausse à travers la planète, un phénomène qui n’est pas sans inquiéter plusieurs spécialistes.

L’étude, qui a été publiée dans The Endocrine Society’s Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (JCEM), explique que le meilleur moyen d’obtenir de bons apports en vitamine D est l’exposition aux rayons du soleil, ainsi qu’un régime alimentaire adéquat.

« La recherche montre clairement une connexion entre les fonctions des poumons et les niveaux de vitamine D dans le sang. Ce lien demeure intact malgré l’âge, le sexe, le poids ou le style de vie des individus », résume l’auteur en chef de l’étude, Chan-Jin Choi.

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50 % des femmes en rémission du cancer du sein abandonnent le traitement

Une étude surprenante révèle des statistiques déconcertantes : une femme sur deux en rémission du cancer du sein laisserait tomber son traitement avant la date prescrite.

C’est ce que révèle Top Santé, qui explique aussi qu’à la décharge de ces femmes, les effets secondaires du traitement post-cancer sont parfois nombreux et désagréables.

Menée par des chercheurs de Glasgow, l’étude explique que le traitement par hormonothérapie doit généralement s’étendre sur une période de cinq ans.

« Or, les femmes qui laissent tomber leur traitement après trois ans, au lieu des cinq ans recommandés, ont trois fois plus de risque de décéder d’une récidive », explique le Dr Colin McGowan, auteur en chef de l’étude.

Les patientes en rémission de ce terrible cancer abandonneraient progressivement le traitement, notamment le tamoxifène, au fil des années suivantes. À la cinquième et dernière année du traitement prévu, elles ne seraient plus que 50 % à continuer à suivre les ordres du médecin.

Les raisons vont de la prise de poids subséquente aux bouffées de chaleur étouffantes, des symptômes qui dérangent les femmes qui en sont victimes.

Malgré ces désagréments, les spécialistes affirment que le tamoxifène est un allié puissant pour assurer une guérison complète du cancer du sein et qu’il est hautement dangereux de stopper les traitements dans les cinq premières années.

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Le miracle des composés phénoliques

Bien que l’on connaisse déjà leur propriété neutralisante envers les radicaux libres (pollution atmosphérique, fumée du tabac, rayons UV, déchets toxiques), nous apprenons via La Presse que ces composés auraient d’autres bénéfices sur notre organisme.

L’effet antioxydant apparenté aux fruits, légumes, céréales, chocolat, café, thé et noix serait en fait moins important qu’on le croyait jusqu’à maintenant.

Par contre, les composés phénoliques contribueraient à prévenir le développement du syndrome métabolique, de la maladie d’Alzheimer, de cancers inflammatoires et du Parkinson.

Ils favoriseraient la santé cardiovasculaire en gardant les artères détendues (vasodilatation) et empêcheraient la formation de caillots sanguins.

On note aussi un effet anti-inflammatoire, ce qui aiderait à prévenir l’apparition et la progression de l’athérosclérose.

Pour améliorer votre apport de ces composés, choisissez plutôt des fruits et des légumes de couleur foncée. Ils en contiennent généralement une plus grande concentration que les autres.

Pour ce qui est des produits céréaliers, optez plutôt pour des ingrédients non transformés. Ceux qui sont raffinés en contiennent beaucoup moins.

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Pas si dangereux que ça, le bisphénol A?

La controverse entourant le bisphénol A, aussi appelé BPA, vit un autre épisode de sa saga, alors qu’un toxicologue publie ses conclusions sur le sujet.

Le chercheur du Pacific Northwest National Laboratory croit, après avoir étudié une panoplie d’études précédemment publiées sur le sujet, que dans une grande majorité des cas, les taux de BPA retrouvés dans les bouteilles d’eau, les aliments et les contenants de plastique ne sont pas suffisamment élevés pour provoquer des problèmes de santé graves.

C’est Nutrition News qui rapporte les propos du spécialiste en toxicologie, qui sont corroborés par un collègue qui déclare : « C’est un millier de fois plus bas que les niveaux retrouvés chez les animaux qui causent vraiment des problèmes ».

De plus, on apprend que plusieurs pays ont aussi tranché en ce sens, notamment le Japon et son National Institute of Advanced Industrial Science and Technology, ainsi que l’OMS et l’European Food Safety Authority.

Le débat est lancé!