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Percée importante dans le traitement de la trisomie 21

Santé Log rapporte des conclusions époustouflantes, qui tendent à laisser croire qu’un traitement, à tout le moins partiel, de la trisomie 21 est envisageable.

Selon les chercheurs du Sanford-Burnham Medical Research Institute, il serait possible de manipuler un chromosome responsable de la faible production d’une protéine retrouvée au cerveau.

Ils seraient même parvenus à prouver leur théorie sur des souris, ce qui rend la communauté scientifique optimiste quant à cette percée.

Il s’agit de la protéine trinexine 27, qui pourrait être restaurée par une thérapie génique précise. Le cas échéant, les chercheurs de Sanford-Burnham croient que plusieurs capacités cérébrales et fonctions cognitives pourraient être améliorées.

Le professeur Xu Huaxi, directeur de l’étude, explique : « Dans le syndrome de Down, le manque de SNX27 est au moins partiellement responsable des anomalies du développement et des déficits cognitifs. Tout revient à la normale après ce traitement par SNX27 ».

Les souris dites trisomiques qui ont subi l’intervention auraient effectivement retrouvé plusieurs fonctions cognitives, ce qui fait subsister l’espoir de voir un jour apparaitre un traitement efficace contre cette terrible maladie qui touche tant de familles.

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L’eau potable est toujours une source d’inquiétude pour les spécialistes

À la suite de la Journée internationale de l’eau, qui se déroulait le 22 mars dernier, plusieurs publications sont apparues concernant le liquide et les façons de le consommer.

Alors que plusieurs font encore confiance à leur bon vieux robinet, d’autres privilégient les bouteilles d’eau de source vendues en magasin.

Mais sont-elles toutes propres à la consommation? Selon Santé Log, on croit qu’une bouteille sur dix vendue en magasin renfermerait des traces d’éléments chimiques ou de médicaments, ce qui n’est guère rassurant…

Même en se tournant vers l’eau potable du robinet, on ne pourrait échapper à d’autres problèmes, comme la présence de plomb, de chlore ou de fluor, dans certains cas.

Tout cela varie bien sûr selon votre zone géographique, mais il est vivement conseillé de faire des recherches et de s’informer sur l’eau potable de sa région avant de la consommer quotidiennement.

Même chose pour les eaux embouteillées. Ne faites confiance à aucune publicité et faites preuve de rigueur dans votre quête d’informations. Il en va de votre santé.

Manifestement, on est encore loin d’un consensus en ce qui concerne l’eau à boire, et ces récents résultats placent les spécialistes dans un état de pessimisme franchement inquiétant.

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Les débats virtuels ne feraient que vous rendre plus amer et colérique

Un sujet chaud de l’actualité vous touche et vous fait réagir? Vous lisez un article ou un commentaire sur la Toile et vous vous devez de répondre, mais vous devriez peut-être lire ce qui suit avant de passer à l’acte.

Selon deux nouvelles études, rapporte The National Library of Medicine, les débats virtuels sur le web n’apportent que très peu de satisfaction au final. En fait, ces échanges ont beaucoup plus de chance de vous rendre plus amer et colérique que de vous soulager.

La première étude allègue que la plupart des commentateurs virtuels affirment ressentir un sentiment positif juste après avoir publié une opinion, mais qu’ils se sentent davantage frustrés et en colère à long terme. De plus, il arrive souvent que l’on s’exprime mal sous le coup de la passion ou de la colère, ce qui peut mener à des regrets.

La deuxième étude pousse plus loin l’aspect psychologique de la chose, affirmant que lire et écrire des commentaires négatifs sur la Toile est un comportement associé à des changements d’humeur négatifs.

Ces récentes recherches, publiées dans le Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking par des chercheurs de l’Université de Wisconsin-Green Bay, concluent que plusieurs comportements du genre sur le web dénotent un sentiment d’exclusion, d’impuissance ou de frustration de la part des internautes concernés.

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Les parieurs sportifs misent surtout sur leur sens du contrôle

Voici une étude fort intéressante qui se penche sur le dossier des paris sportifs, mais surtout sur ceux qui alimentent cette machine de plusieurs millions, voire de milliards de dollars.

Qu’ils soient légaux ou non, les paris sportifs sont présents depuis la nuit des temps et ne risquent pas de disparaitre de sitôt. Selon les révélations proposées dans cette nouvelle étude, rapportée par The National Library of Medicine, on apprend que les parieurs ne misent peut-être pas sur la bonne notion…

En effet, selon les chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, les parieurs croient à tort que leurs connaissances et leurs expériences dans le domaine sportif sont un gage de « contrôle ».

Ce serait d’autant plus vrai au basketball, qui vit maintenant l’une de ses grandes périodes annuelles grâce à la fameuse March Madness (folie de mars). Plusieurs parieurs, obsédés par le basketball ou ayant de l’expérience dans ce sport, croient qu’ils peuvent prédire facilement l’issue des matchs.

« Les parieurs sportifs semblent croire qu’ils sont personnellement les plus malins de tous les parieurs », lance le professeur Pinhas Dannon, participant à l’étude.

Après des analyses poussées effectuées auprès de 53 parieurs sportifs, les résultats démontrent que l’impression de « contrôle » ressentie n’est qu’une pure illusion.

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Sucre = Poison

Le New York Time proclame que, selon des études menées par le renommé Dr Robert Lustig, le sucre serait très toxique.

Le journaliste conclut : « Ce n’est pas de trop manger qui vous rend malade; c’est de manger du sucre. Nous avons finalement la preuve qu’il nous fallait pour rendre un verdict ».

L’étude de l’endocrinologue nous démontre que la consommation de sucre est la seule à blâmer pour le diabète, indépendamment de tous les autres facteurs (obésité, urbanisation, activité physique, etc.).

Il rappelle d’ailleurs que « la toxicité des sucres est connue depuis très longtemps des biochimistes. Pour nos artères notamment, le sucre est un véritable poison ».

Selon lui, ce savoir n’est pas assez répandu, par manque d’éducation. « C’est aussi parce que la guerre au gras a occupé le terrain. Il y a beaucoup de résistance à l’idée que le sucre soit responsable, parce qu’il ne contient pas beaucoup de calories, 3,4 par gramme, contre 9 par gramme pour la graisse », explique-t-il.

Le journaliste scientifique Gary Taube explique pour sa part : « C’est comme ça que nous communiquons l’amour dans notre culture. Les mères donnent des sucreries à leurs enfants. Que seraient les anniversaires sans le sucre? La Saint-Valentin? Alors, vous êtes mieux d’avoir des preuves assez convaincantes avant de dire aux gens de ne pas en consommer ».

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Les boissons énergisantes peuvent influencer la pression et le rythme cardiaque

Une étude vient confirmer pour la première fois de façon précise les effets néfastes potentiels des fameuses boissons énergisantes sur la santé, plus précisément sur la santé cardiaque.

Selon les conclusions rapportées par Newsroom.heart.org, la pression sanguine et le rythme cardiaque peuvent être sévèrement affectés et déréglés après la consommation de ces boissons.

Les chercheurs en tête de ces recherches ont fait état de ce constat lors des American Heart Association’s Epidemiology and Prevention/Nutrition, Physical Activity and Metabolism 2013 Scientific Sessions. Ils veulent sensibiliser la population, notamment les jeunes, aux risques qu’entraine le moindre changement de la pression artérielle et du cœur.

Ainsi, une simple variation de ce que l’on appelle « l’intervalle QT », une unité de mesure de l’activité cardiaque, même de seulement 10 millisecondes, peut signifier une arythmie potentiellement mortelle.

« La prolongation de l’intervalle QT est associée à une arythmie qui met la vie en danger. La découverte que ces boissons énergisantes prolongent cet intervalle, à la lumière de rapports sur des arrêts cardiaques soudains, demande des enquêtes plus poussées », résume le Dr Ian Riddock, médecin et coauteur de cette récente recherche sur le sujet.

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Des millions de personnes à risque de développer du diabète ignorent leur condition

Les statistiques concernant le diabète sont déjà assez alarmantes, mais ce plus récent rapport ajoute à l’inquiétude.

Selon ces conclusions rapportées par The National Library of Medicine, des millions de personnes à risque ou sur le point de développer du diabète ne seraient absolument pas au courant.

Aux États-Unis notamment, 11 % des 79 millions d’Américains avec des conditions prédiabétiques connaissent leur état de santé. 11 %, c’est bien peu… et 79 millions, c’est énorme! De quoi placer les spécialistes sur le pied de guerre.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les CDC américains lancent ce rapport et veulent sensibiliser la population.

« Nous avons un grand problème avec ce petit nombre de gens conscients qu’ils sont prédiabétiques. C’est un peu mieux que la dernière fois que nous avions analysé le dossier, mais c’est encore beaucoup trop bas », déclare avec déception l’auteure de l’étude, Ann Albright.

Caractérisée par des taux anormaux de sucre dans le sang, la condition du prédiabète peut être stoppée dans sa progression lorsque le patient en est conscient. Il peut ainsi procéder à des changements de vie et alimentaires afin d’éviter, ou retarder, l’arrivée d’un diabète de type II, par exemple.

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Ces médecins qui prescrivent des placebos

Une étude surprenante en provenance de l’Angleterre dévoile des statistiques concernant les prescriptions de placebos. En fait, on parle de 97 % des médecins britanniques qui auraient déjà prescrit des placebos en guise de médication, un phénomène qui ne se limiterait pas qu’à la Grande-Bretagne.

Ces statistiques sont plutôt révélatrices d’un comportement qui semble fréquent partout dans le monde, ce qui surprend les chercheurs d’Oxford en tête de l’étude.

Les praticiens interrogés croient d’ailleurs que dans plusieurs cas, les placebos peuvent réellement « fonctionner », même s’ils ne contiennent aucun agent actif.

Cependant, plusieurs crient au scandale et au manque d’éthique de la part des professionnels de la santé, puisqu’un patient en quête d’aide veut recevoir un traitement viable, et non une illusion.

Les autres études sur le sujet démontrent cependant que ce comportement est basé sur de la bonne foi, puisque les médecins utilisent le stratagème rarement, et dans le but réel d’aider les patients.

L’effet placebo est de plus reconnu comme un principe psychologique réel. Par contre, il ne fonctionne que dans l’ignorance du patient. Les études répétées sur le sujet pourraient bien mettre un terme à ce stratagème médical…

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La population entière consomme trop de sel

Une récente étude menée par le Dr Darius Mozaffarian, de la Harvard School of Public Health, démontre que la consommation quotidienne de sel est deux fois plus grande qu’elle ne devrait l’être, et ce, partout dans le monde.

L’Organisation mondiale de la santé recommande une consommation quotidienne n’excédant pas les 2000 mg, alors que l’Association américaine du coeur en recommande 1500 mg.

En 2010, on estimait cet apport à plus de 3950 mg mondialement.

Les impacts de la surconsommation de sel sont sérieux. En 2010 seulement, on comptait plus de 2,3 millions de décès causés par des maladies cardiovasculaires, dont l’excès de sodium fait partie des causes.

Le docteur Mozaffarian écrit dans un courriel envoyé au MedPage Today : « Ces résultats démontrent deux choses bien importantes : la désastreuse consommation excessive de sodium dans le monde entier, mais aussi l’occasion de parler prévention ».

Faisant appel à des efforts mondiaux de santé publique plutôt que de compter sur les individus pour tenter de contrôler l’apport d’un élément tellement omniprésent, il ajoute : « Nos résultats devraient inciter l’industrie alimentaire et les décideurs à prendre des mesures rapides et décisives pour réduire le sodium dans les aliments. Si les accords volontaires ne suffisent pas, une taxe ou des restrictions sur les quantités de sodium doivent être mises en œuvre ».

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Le Québec se dotera d’un registre sur le cancer d’ici 2016

On parle de « deuxième phase » du projet, comme quoi les choses sont déjà bien avancées du côté du ministère de la Santé et des Services sociaux de la province, rapporte Radio-Canada.

Le registre permettra de centraliser les données connues sur la terrible maladie, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, du poumon, du côlon et de la prostate.

Les traitements, percées, évolutions et dossiers de patients atteints de cancer seront entrés dans le registre afin d’améliorer la pratique des oncologues et d’augmenter les pourcentages de réussite de traitement.

« C’est un beau projet sur papier, mais il nous manque les ressources pour en garantir la qualité », croit cependant Sylvie Salvail, présidente de l’Association québécoise des registraires en oncologie.

Elle croit que les spécialistes sont déjà surchargés de travail, et que la qualité de ce registre pourrait en être affectée.

Quoi qu’il en soit, il est clair que le Québec doit aller de l’avant dans ce projet, puisqu’il accuse un retard sur les autres systèmes dans le monde. L’Ontario, par exemple, s’est doté d’un tel registre depuis 1964!