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Le sexe au service du système immunitaire

Faire l’amour est une action qui possède plusieurs propriétés thérapeutiques, mais saviez-vous qu’elle permet également de renforcer le système immunitaire?

C’est du moins ce que l’on apprend par l’entremise de Top Santé, qui rapporte les conclusions d’un chercheur suisse qui croit pouvoir prouver cette théorie.

Manfred Schedlovski s’est concentré sur les taux de globules blancs, ou de cellules T, dans l’organisme avant, pendant et après l’acte sexuel. Ces globules sont primordiaux dans la réponse du système face aux virus et maladies virales de toutes sortes, notamment la grippe.

Le spécialiste constate que les taux de cellules T augmentent dès qu’il y a rapport sexuel, allant même jusqu’à se dupliquer pour un effet qui dépasse la durée des ébats amoureux.

« Le sexe augmente la quantité de ces cellules T, ce qui favorise la récupération de l’organisme, mais appuie son système immunitaire », déclare avec certitude le professeur Peter Schleicher.

Plusieurs études corroborent ces conclusions et parlent aussi de prévention des maladies cardiaques. La « posologie » minimale pour bénéficier de ces effets serait d’au moins deux relations par semaine.

Exit le jus d’orange pour contrer la grippe, bienvenue au sexe!

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Des poumons de fumeurs approuvés pour transplantation

Une étude incroyable affirme que certains fumeurs chroniques seraient tout de même éligibles comme donneurs, rapporte The National Library of Medicine.

On parle bien sûr ici des poumons, des organes que l’on aurait cru impossible de prélever sur des donneurs fumeurs. Encore moins sur des fumeurs chroniques depuis 20 ans (un paquet par jour), mais il semble que la réalité soit toute autre.

En fait, selon les chercheurs américains en tête de l’étude, plusieurs personnes en attente de greffe pulmonaire pourraient bénéficier de poumons de fumeurs, puisque ceux-ci ne seraient pas toujours nécessairement très endommagés, apprend-on.

Un fumeur peut très bien présenter des activités pulmonaires et respiratoires tout à fait normales, croit le Dr Sharven Taghavi, de l’hôpital universitaire Temple de Philadelphie.

Il explique : « Nos découvertes démontrent que les critères actuels concernant les transplantations pulmonaires pourraient être revus afin d’inclure les gens avec un passé de fumeur. Cela pourrait faire baisser les listes d’attente, ainsi que les taux de mortalité ».

« Par exemple, un chirurgien pourrait décider d’accepter des poumons sains d’un fumeur en bonne santé. D’autres poumons moins “bons” pourraient aussi permettre de sauver la vie de personnes en seuil critique, près de la mort. »

Voilà qui a de quoi surprendre, mais qui s’avère une excellente nouvelle.

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Une grenade qui fait maigrir

Vous aurez sans doute compris que l’on parle ici du fruit, qui a presque complètement perdu sa place dans le régime alimentaire nord-américain (comme bien d’autres excellents fruits et légumes, d’ailleurs).

Voilà que Top Santé rapporte une étude écossaise, effectuée à l’Université Queen Margaret d’Édimbourg, qui affirme que la grenade est une alliée de taille dans la lutte aux kilos en trop.

Il appert que cet aliment permet de mieux gérer sa faim et d’en ressentir beaucoup moins les effets.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les comportements de 29 sujets. Certains ont reçu des compléments de grenade à leur régime, alors que d’autres n’ont reçu qu’un simple placebo.

On leur demandait ensuite de se placer devant une bonne assiette de pâtes, alors que les chercheurs identifiaient les réactions de ces volontaires en les observant et par voie de sondages.

Les résultats semblent probants, à un point tel que les chercheurs peuvent affirmer que le groupe ayant reçu des suppléments de grenade ressentait moins la faim (12 % moins), se sentait plus satisfait après les repas (plus 16 %) et avait moins envie de manger constamment (21 % moins).

Avec de tels chiffres, la grenade n’a plus de raison de ne pas effectuer un grand retour dans votre assiette! On recommande les compléments et extraits de grenade, vendus dans plusieurs boutiques.

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Le blues de l’hiver, pas nécessaire

Allez! On se retrousse les manches et on ne se laisse pas aller à la déprime hivernale!

Pour plusieurs personnes susceptibles de souffrir de dépression saisonnière, le « blues de l’hiver » semble être un incontournable. Voilà qui n’est pas la bonne attitude pour la contrer, bien au contraire. Ne vous laissez pas abattre par le froid et votre prédisposition à la déprime hivernale!

Voici d’ailleurs quelques suggestions pour vous aider à garder le moral malgré les froids sibériens, selon The National Library of Medicine.

D’abord, vous aurez sans doute remarqué qu’une bonne partie du blâme de votre morosité repose sur la luminosité, ou le manque de lumière en hiver. Il serait alors bon de revisiter votre routine de sommeil. Essayez de vous coucher plus tôt, afin de vous lever plus tôt. Ainsi, vous profiterez de plus de lumière qu’en utilisant ces heures le soir et la nuit.

Variez aussi vos activités, et reprenez ce passe-temps ou cette passion que vous chérissez tant! Pas d’excuses, l’hiver n’est pas la période de l’année pour s’empêcher de faire ce que l’on aime.

Même chose en matière d’alimentation, ce n’est pas du tout le moment de faire de la culpabilité et de vous mettre au régime draconien.

Faites-vous plaisir et essayez de pratiquer une ou des activités extérieures! Si vous y parvenez, vous verrez sans doute un changement radical dans votre humeur… et votre attitude.

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Création de la première carte de l’intelligence émotionnelle humaine

Il s’agit d’une première : des chercheurs ont finalisé ce qui s’avère être une carte détaillée de l’intelligence émotionnelle chez l’humain, annonce The National Library of Medicine.

C’est en fait une carte des régions du cerveau qui abrite et provoque les réactions liées à cette intelligence, l’intelligence émotionnelle, et les chercheurs se sont basés sur des analyses effectuées sur des vétérans de la guerre pour y parvenir.

Ainsi, 152 vétérans aux prises avec différents types de blessures à la tête et au cerveau ont été soumis à des tests afin de déterminer les différences entre certains types d’intelligence.

Les spécialistes en tête de l’étude ont constaté que l’intelligence « classique » et l’intelligence émotionnelle sont souvent intrinsèquement liées, et qu’elles se « croisent » parfois lors de leurs réactions.

L’auteur principal de l’étude, Aron Barbey, explique : « Historiquement, nous croyions que l’intelligence générale était distincte de l’intelligence émotionnelle. Nous savons maintenant que des régions spécifiques du cerveau servent aux deux types d’intelligence, et que certaines blessures peuvent affecter certains aspects spécifiques de l’une ou l’autre, ou des deux ».

« Ce groupe de patients était remarquable, car il nous a permis de déterminer le degré de dommages nécessaires pour brimer le travail de ces réactions (intelligence émotionnelle et générale). »

Le Dr Barbey croit que ces découvertes permettront de meilleurs traitements dans le domaine neurologique.

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Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.

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Percée prometteuse dans la lutte au VIH

Le moment de vérité approche : le premier essai clinique d’un vaccin contre le VIH sur l’homme est sur le point d’être effectué, rapporte Santé Log.

Rappelons que ce vaccin doit cibler et bloquer ce que les spécialistes appellent la protéine Tat, qui s’attaque au système immunitaire et empêche celui-ci de se défendre adéquatement contre le virus.

Selon le Dr Erwann Loret, il s’agit d’un moment empreint d’espoir pour les chercheurs et les patients atteints de cette terrible maladie, car cet essai clinique pourrait bien s’avérer la première étape vers un traitement complet.

Le vaccin étant également créé pour prévenir la maladie, on pourrait voir les statistiques concernant le VIH et le SIDA baisser dramatiquement. Il est important de mentionner que celles-ci sont déjà un peu en baisse, à la suite des efforts phénoménaux de prévention effectués par des spécialistes et patients de partout sur la planète.

Il semble que le message soit passé, mais cela ne suffit pas. Le Dr Loret souhaite depuis maintenant sept ans s’attaquer à la source même du problème.

Il déclarait à l’époque : « Les antiviraux actuels ne permettent pas de guérir du SIDA; le virus responsable de la maladie reste dans les cellules humaines. Plusieurs études montrent que la protéine virale Tat bloque les cellules tueuses du système immunitaire, empêchant celles-ci d’éliminer les cellules infectées ».

Il semble donc que son rêve puisse se réaliser, et on attend la suite avec impatience.

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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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Les éclairs et la migraine

Une étude qui nous provient du Missouri, rapportée par The National Library of Medicine, propose l’existence d’un lien entre la migraine et la tombée d’éclairs dans le voisinage.

Il n’est pas nouveau de voir des liens être créés entre les aléas météorologiques et la migraine, mais il s’agit d’une première en ce qui concerne la foudre. Les éclairs sont ciblés précisément ici, et les chercheurs se disent stupéfaits des résultats observés.

Ainsi, on allègue que les gens susceptibles d’avoir des maux de tête le seraient davantage lorsque des éclairs frappent dans un rayon de 25 miles (plus de 30 kilomètres).

« Nous sommes très surpris et très heureux de ces résultats. Il s’agit de la première étude qui réussit à établir un lien entre la foudre et la migraine », explique le Dr Vincent Martin, auteur principal de l’étude en provenance du collège de médecine de l’Université d’Ohio.

Bien que les éclairs ne soient pas des causes, ils seraient plutôt des déclencheurs importants. D’autres déclencheurs connus : le stress, le manque de sommeil et l’humidité.

Au final, les chercheurs croient que d’autres études sur le sujet seront nécessaires pour établir avec certitude cette causalité.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.