Catégories
Uncategorized

Le yoga au secours de la santé mentale

Il appert que le yoga n’a pas que des vertus sur la santé physique, mais aussi sur la santé mentale. La discipline pourrait, apprend-on sur Santé Log, avoir des effets bénéfiques sur plusieurs aspects en santé mentale, notamment dans le traitement de la dépression et de la schizophrénie.

C’est du moins ce que croient les chercheurs de l’Université Duke, le Dr P. Murali Doraiswamy en tête, qui dévoilent les résultats d’une étude probante sur le sujet.

Ainsi, on apprend que la pratique du yoga peut non seulement aider les gens aux prises avec des troubles dépressifs légers, mais aussi ceux qui sont confrontés à des problèmes de stress, de sommeil, d’hyperactivité, de schizophrénie et de troubles de l’attention.

Bien que l’on prenne le soin de préciser que ceci implique surtout les troubles de dépression légère, et que tous ces maux ne peuvent malheureusement pas être réglés uniquement grâce au yoga, on confirme l’efficacité de ce « traitement »

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé les données de 124 autres études sur le sujet, qui abondent presque toutes dans le même sens.

On peut retrouver ces conclusions dans la plus récente édition de Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach.

Catégories
Uncategorized

Une invention qui permet de consommer avec modération

Santé Log fait état d’une invention qui vous permettrait de consommer de l’alcool avec une plus grande modération. Il s’agit d’un glaçon pour le moins spécial, qui clignote au rythme de la musique… et de vos abus.

Ainsi, le cube de glace se place dans votre verre, bien sûr, et propose une série de messages par clignotements, qui indiquent notamment le nombre de gorgées d’alcool absorbées jusqu’à maintenant, ainsi que le temps total passé à boire.

On peut même lier l’invention à notre téléphone intelligent, qui envoie un message à une personne-ressource pour la prévenir qu’elle aura probablement à venir nous chercher durant la nuit.

« Après un malaise provoqué par l’alcool, j’ai développé des glaçons intelligents qui clignotent au rythme de la musique. Leur système électronique indique à quelle vitesse et combien vous buvez. Les cubes passent du vert à l’orange et au rouge, et indiquent la limite à ne pas dépasser. Et si vous buvez au-delà des limites, le glaçon envoie un message à votre meilleur ami via votre téléphone intelligent », explique avec enthousiasme l’inventeur de ce glaçon intelligent, Dhairya Dand, du MIT Media Lab.

Il reste à voir si le public réagira favorablement à ce genre d’idée.

Catégories
Uncategorized

Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.

Catégories
Uncategorized

Les fruits et légumes et la santé mentale

Les « rois de la bouffe » et protecteurs de la santé en alimentation, les fruits et légumes, sont maintenant affublés d’une nouvelle réputation, lance La Presse.

En effet, les fruits et légumes sont non seulement les meilleurs alliés de la minceur et de la santé, mais ils seraient aussi fort bénéfiques sur la santé mentale.

C’est du moins ce que croient des chercheurs néo-zélandais, alors qu’ils ont vérifié cette théorie sur 281 sujets, de jeunes adultes, sur une période de 21 jours. L’étude qui en ressort parle carrément d’un effet sur la bonne humeur!

« Les jours pendant lesquels les sujets mangeaient plus de fruits et légumes, ils rapportaient se sentir plus calmes, plus énergiques et plus dynamiques qu’à leur habitude. », conclut la Dre Tamlin Conner, auteure en chef de l’étude.

De plus, on signale que ces effets seraient observables également le lendemain. On peut donc dire que oui, il existe des impacts sur la santé mentale à manger des fruits et des légumes, puisque la bonne humeur (ou le fait d’être heureux) réduit le stress… et ce dernier est l’ennemi numéro un à abattre en santé dans notre société moderne.

Catégories
Uncategorized

La gentillesse rendrait plus heureux

Ah! Le karma. Cette notion qui promet que chaque geste aura sa conséquence, que l’on récolte ce que l’on sème, et que le bien engendre le bien et le mal, le mal.

S’il s’agit d’une philosophie bien reconnue et fort véridique pour bien des gens, n’allez pas compter sur la communauté scientifique pour corroborer ce genre de théorie.

Voilà qu’à la surprise totale, certains chercheurs se sont penchés sur la variation du bonheur en fonction de nos actions, rapporte The National Library of Medicine, plus précisément l’impact de nos bonnes actions sur notre bonheur.

Ainsi, effectuer de beaux petits gestes altruistes permettrait d’être plus heureux, selon Sonja Lyubomirsky, professeure en psychologie à l’Université de Californie, qui étudie le phénomène du bonheur depuis plus de 20 ans maintenant.

Pour elle, il est clair que des actions positives engendrent des émotions tout aussi positives, et ainsi de suite. Elle précise également que le dosage de ces actions et activités est un facteur important, et une variable.

Aussi, répéter la même action finirait par atténuer son effet « bonheur ». Il faudrait donc varier nos gestes de générosité et de gentillesse, et en effectuer le plus souvent possible.

Étrangement, elle note que le meilleur rapport gentillesse/bonheur est observé chez les gens qui font une bonne action de façon hebdomadaire.

Catégories
Uncategorized

De meilleures étiquettes pour de meilleurs choix santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude voulant que la population bénéficie grandement de meilleures étiquettes sur les produits qu’elle achète et consomme.

L’étude, effectuée par la FDA, croit que les consommateurs pourraient faire de meilleurs choix et ainsi être plus proactifs en ce qui concerne leur santé s’ils étaient mieux informés.

Ainsi, on suggère un système uniforme d’étiquetage, dans lequel on retrouverait les fameux tableaux nutritifs présentés sous forme plus détaillée et claire.

On éviterait ainsi aux gens la tâche de devoir multiplier et faire des calculs pour bien comprendre combien de calories ils consommeront, et quel sera l’apport alimentaire de leurs portions. On veut aussi s’assurer que les ingrédients soient tous inscrits.

« Je crois que les gens ont un véritable problème à bien interpréter les étiquettes et à bien comprendre de quoi il retourne. C’est presque comme s’il y avait une surcharge d’informations, en plus de ne pas être toujours très claires », commente le Dr Eric Matheson, chercheur en nutrition de l’Université de Caroline du Sud.

On pourrait donc assister à une révolution en la matière dans les prochains mois et les prochaines années.

Catégories
Uncategorized

L’ultime truc minceur

On en parle souvent, et on rapportait des théories sur le sujet récemment d’ailleurs, mais voilà que des chercheurs se sont penchés officiellement sur la question et confirment que l’ultime truc minceur est bel et bien réel.

On ne parle pas ici de quoi manger, mais plutôt de comment le manger!

En effet, Santé Log rapporte que ce fameux adage qui dit que de prendre le temps de manger et de prendre de petites bouchées est excellent pour la santé et votre tour de taille serait tout à fait exact.

Pour confirmer le tout, les chercheurs originaires des Pays-Bas ont analysé les réactions de 53 participants qui se sont portés volontaires pour l’étude. On leur a fait avaler des aliments, notamment de la soupe, à différentes vitesses et avec des portions (bouchées) différentes.

On analysait aussi les comportements des sujets lorsque ceux-ci étaient distraits ou très concentrés.

Ainsi, les conclusions sont claires : les participants qui étaient concentrés à prendre de petites bouchées et à bien mastiquer ont consommé 30 % moins de calories (apport alimentaire) que les autres.

Il serait donc possible de réduire grandement cet apport, et d’ainsi mieux contrôler son poids, par ce comportement excessivement simple.

Catégories
Uncategorized

Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.

Catégories
Uncategorized

Attention à l’abus d’acétaminophène!

La FDA américaine met en garde toute la population contre l’abus d’acétaminophène en cette saison froide.

L’association croit que beaucoup de gens sont en ce moment même en train de surconsommer ce médicament, souvent sans le savoir. Elle explique que plusieurs médicaments populaires renferment de l’acétaminophène, et pas simplement les fameux cachets contre la migraine et les maux de tête.

Donc, au final, une personne grippée ou enrhumée pourrait consommer plusieurs médicaments qu’elle croit dénués d’acétaminophène, à tort, pour ensuite avaler quelques cachets contre la migraine.

Ce cocktail explosif dépasse donc largement la posologie pour ce médicament, et les gens n’en sont souvent même pas conscients. Il faudrait choisir quel mal nous voulons vraiment soigner, et nous concentrer sur celui-ci.

Ici, donc, des deux maux, il faut choisir le pire!

Selon la FDA, plus de 600 médicaments et traitements sur le marché contiennent de l’acétaminophène. Il serait donc bien de lire les étiquettes et de consulter son pharmacien avant de consommer quoi que ce soit, surtout lorsqu’on prévoit aussi avaler des cachets contre le mal de tête.

Catégories
Uncategorized

La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.