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Lacunes observées dans la prévention de l’alcoolisme

Une étude rapportée par The National Library of Medicine fait état de certaines lacunes dans le dépistage ou la prévention de l’alcoolisme.

Les praticiens ne parviendraient pas, dans une majorité de cas, à diagnostiquer avec précision les cas d’alcoolisme chez leurs patients, explique l’étude.

Au lieu de se fier simplement à leur instinct et aux indices présentés par les patients, les médecins devraient utiliser certaines méthodes de dépistage connues, croient les auteurs de l’étude.

Après avoir compilé les données des dossiers de près de 1700 patients, les auteurs constatent que l’absence de diagnostic d’alcoolisme est observable dans 70 % des cas.

Il s’agit d’un constat alarmant, comme l’explique Bruce Goldman, directeur des Substance Abuse Services de l’hôpital Zucker Hillside de Glen Oaks (États-Unis).

« La consommation massive et à haut risque d’alcool est un contributeur majeur à plusieurs graves problèmes de santé observables dans notre société. Les praticiens sont parfaitement positionnés pour déceler ces troubles et diagnostiquer des problèmes de consommation chez leurs patients. »

Si plusieurs experts corroborent ces dires, d’autres affirment qu’il est plus difficile d’y parvenir en pratique qu’en théorie. Selon eux, plusieurs patients seraient réticents à consulter s’ils constataient que leur médecin se concentre davantage sur un problème d’alcool possible que sur leurs symptômes du moment.

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Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

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L’avenir de la sardine

La sardine en boîte aurait 200 ans, selon ce que rapporte La Presse, et on s’interroge sur son avenir, semble-t-il.

Malgré les nombreux bénéfices et vertus santé proposés par ce petit poisson, il semble que les producteurs ne peuvent éviter une hausse de prix constante du produit.

On craint donc que le consommateur se lasse et délaisse la sardine au profit d’autres produits. Pour l’instant, la sardine en boîte passe le cap de son deuxième siècle d’existence, et les compagnies productrices, des conserveries, veulent profiter de l’événement pour conscientiser les gens au produit.

« La sardine est prise en tenaille entre l’augmentation de la demande mondiale et la nécessité de préserver les ressources sur nos côtes », lance Jean-François Hug, PDG d’une conserverie.

On demande donc aux amateurs de poissons de ne pas cesser la consommation de la sardine et d’être compréhensifs à la hausse des prix à venir. On rappelle l’importance d’intégrer du poisson à son alimentation, dont la sardine qui renferme d’importants éléments pour l’organisme.

Les apports en oméga-3, en calcium et parfois en huile d’olive sont de solides alliés dans la prévention de plusieurs maladies.

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Nouvel effort collectif majeur dans la lutte au Parkinson

Après la nouvelle concernant une percée dans la lutte à l’Alzheimer, en voici une autre qui dévoile un effort collectif impressionnant dans celle livrée au Parkinson.

C’est www.nih.gov qui confirme la chose, et pour cause, puisque l’association en est aussi l’instigatrice. Le projet est simple, mais brillant : concevoir un système collectif afin d’accélérer les recherches en matière de biomarqueurs.

Ces derniers permettent de prédire et de diagnostiquer de façon précoce la maladie de Parkinson, notamment.

En améliorant collectivement le processus de recherche et en combinant les efforts de chercheurs d’un peu partout qui auront maintenant accès, entre autres, à une gigantesque base de données, les spécialistes croient que les choses pourraient aller plus vite dans le cas du Parkinson, et que le système permettrait d’importantes percées en matière de biomarqueurs.

En diagnostiquant la maladie plus rapidement, on a de bien meilleures chances de la « contrôler » et, un jour, de la guérir. La découverte de biomarqueurs propres au Parkinson serait une percée majeure vers la mise au point d’un traitement.

« Notre but est d’accélérer le processus de recherche et de progrès en matière de biomarqueurs du Parkinson, en soutenant les chercheurs qui ont déjà de belles pistes et qui font preuve d’innovation dans le domaine. On veut les rassembler, les rapprocher, et rendre leur travail et leurs analyses plus faciles », lance le directeur du NINDS, Story Landis.

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Les personnes âgées pourraient bien manger ce qu’elles veulent

Une étude parue dans la plus récente édition du Journal of Nutrition Health and Aging, rapportée Santé Log, conclut que les personnes âgées pourraient probablement manger ce qu’ils veulent sans trop de conséquences.

En effet, l’étude des chercheurs de Penn State tend à conclure que le régime alimentaire des individus passés 75 ans n’a que très peu d’impact sur la vie de ceux-ci.

On constate d’abord avec étonnement que la consommation de sucre et de graisses n’aurait plus beaucoup d’impact sur les risques subséquents de maladies cardiaques et autres.

D’autres tests effectués sur des sujets de plus de 75 ans, notamment des régimes et changements alimentaires, n’auraient eu que très peu d’impact sur la perte de poids et la santé des patients en général.

La majorité des 449 personnes âgées analysées dans cette étude n’a vécu à proprement parler aucun changement de bilan de santé, malgré des variations de style de vie.

L’auteur en chef de l’étude explique : « Nous ne savons pas si les participants avaient ces habitudes alimentaires durant toute leur vie d’adulte, mais nous le soupçonnons. Il y a peu d’avantages, sauf affection grave, à priver une personne âgée du plaisir d’un aliment qu’elle aime ».

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Percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer à Québec

Plusieurs médias, dont Santé Log, annoncent ce matin une nouvelle percée en matière de recherche et traitement de la maladie d’Alzheimer.

Cette avancée, qui semble donner un vent d’optimisme dans la communauté scientifique malgré la controverse, s’effectue dans notre cour, au Québec.

Ce sont en effet des chercheurs de l’Université Laval qui sont derrière cette nouvelle fracassante, eux qui auraient réussi à trouver un processus naturel de l’organisme qui permettrait de mieux se défendre contre la terrible maladie dégénérative.

On prétend que cette découverte pourrait paver la voie à un nouveau vaccin contre l’Alzheimer, ainsi qu’à un traitement pour ceux qui en souffrent déjà.

Serge Rivest de l’Université Laval, chercheur travaillant sur le dossier de l’Alzheimer depuis une décennie, explique : « Ce vaccin pourrait être administré aux personnes déjà atteintes pour stimuler leur immunité naturelle. Il pourrait aussi être donné aux personnes qui ne sont pas encore malades, mais qui présentent des facteurs de risques d’Alzheimer. Je crois que nous sommes près du but ».

Voilà des propos stupéfiants et bien rassurants, alors que l’Alzheimer représente toujours une menace terrifiante pour la population vieillissante.

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Une nouvelle technologie fait son apparition en santé

C’est une technologie du futur que nous proposent des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, alors que ceux-ci croient avoir trouvé l’alternative parfaite à l’endoscopie en matière de dépistage du cancer, notamment de la gorge.

Il s’agit d’une « caméra-pilule », décrit Santé Log, qui rapporte les résultats de l’équipe de Harvard. Cette pilule serait tout simplement avalée, pour ensuite transmettre des images « en direct » de l’œsophage des patients.

On pense ainsi pouvoir mieux déceler les traces de cancer, en qualité et en temps, tout en évitant l’actuel moyen de prévention et de dépistage : l’endoscopie.

Cette dernière requiert beaucoup de technique et de moyens, en plus d’être invasive et désagréable.

La caméra-pilule est un concept à la fine pointe de la technologie, qui utilise de plus un système de visualisation 3D offrant une visualisation précise et efficace.

L’examen pourrait se faire en moins de six minutes, ce qui rendrait tout le processus plus efficace et attrayant, tant pour les patients que pour les praticiens.

Les détails de cette percée ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Nature Medicine.

 

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Les petits fruits à la rescousse de votre santé cardiaque

Une toute nouvelle étude américaine vient saluer les vertus des petits fruits dans la prévention des maladies du cœur, rapporte Top Santé.

Ce sont des chercheurs de Harvard qui proposent ces conclusions, qui feront le bonheur des fanatiques de fraises, bleuets, framboises, mûres et autres petits fruits.

Comme Harvard ne fait jamais rien à moitié, les membres de l’équipe ont analysé les cas de près de 94 000 patientes âgées de 25 à 42 ans. Elles ont été suivies durant 18 ans et elles devaient répondre à plusieurs questions et sondages sur une base régulière.

Pour ces spécialistes de la prestigieuse université, il est évident que la consommation de fraises et de bleuets est hautement bénéfique pour la santé, plus particulièrement pour le cœur.

« Nous avons calculé que les femmes qui mangeaient des fraises et des bleuets au moins trois fois par semaine avaient 32 % moins de risques de souffrir de problèmes cardiaques que celles qui en mangeaient moins d’une fois par mois », lance le Dr Eric Rimm.

Les chercheurs notent également les effets à long terme de ces fruits. En effet, ils semblent que les gens qui en consomment dès leur jeune âge voient leur protection être efficace encore bien des années plus tard.

Cette étude devait d’abord statuer sur les effets des petits fruits sur la santé cardiaque des femmes, mais ils s’appliqueraient aussi aux hommes.

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Le jeûne n’est pas la solution

Il n’aura pas fallu une étude très profonde et exhaustive pour constater les effets néfastes du jeûne dans une tentative de perte de poids.

En fait, selon ce que rapporte Santé Log, il n’aura fallu aux chercheurs que 30 sujets (des femmes) pour tirer leurs conclusions.

Et ces dernières ne sont pas en faveur du jeûne, le fait de ne pas manger, allant même jusqu’à mettre en garde la population des dangers possibles d’un tel comportement.

L’étude a été publiée dans le magazine Nutrition & Metabolism et souligne néanmoins qu’il est possible d’utiliser le jeûne temporaire comme outil dans une démarche de perte de poids massive, mais sous supervision d’un professionnel (médecin, nutritionniste, etc.).

On associe au fait de se priver totalement de nourriture durant 24 à 72 heures des symptômes et effets secondaires qui vont des troubles du sommeil à l’anxiété, l’angoisse et la somnolence en journée, jusqu’à la déshydratation et des troubles du caractère (stress, irritabilité).

On suggère donc, particulièrement aux jeunes et aux adolescents, d’éviter ce type de comportement extrême. On rappelle qu’il existe beaucoup de dangers inhérents au fait de prendre ou de perdre du poids rapidement.

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La planche à neige, reine des blessures hivernales

The National Library of Medicine rapporte une étude qui place la planche à neige en tête de liste des sports d’hiver les plus dangereux.

Selon les U.S. Centers for Disease Control and Prevention, la planche à neige est responsable de près du quart des blessures sportives totales à survenir en hiver.

Le Dr Daryl O’Connor confirme ces statistiques en rappelant que l’hiver apporte son flot de nouveaux patients dans les hôpitaux un peu partout. Au banc des accusés : la planche, mais aussi le ski, la luge, le hockey et les traîneaux.

Ces derniers causeraient des lésions ou des blessures à près d’un million d’individus annuellement en Amérique du Nord!

Si la planche à neige est un sport louable et respecté (désormais présenté en compétition olympique), il en va autrement d’un autre fléau décrié par l’étude : le skitching.

Faisant référence au phénomène des gens (notamment des jeunes) qui se laissent trainer par un véhicule sur des routes enneigées ou glacées en se tenant au pare-chocs arrière, le skitching est une expérience qui peut s’avérer désastreuse, mettent en garde les spécialistes.

« C’est tout simplement inconscient », ajoute le Dr O’Connor.