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Les relations sérieuses augmenteraient l’espérance de vie

Célibataires, vous voudrez peut-être réviser votre style de vie à la suite de la parution d’une nouvelle étude qui traite de longévité et de relations amoureuses et sociales.

En fait, l’étude américaine propose le constat suivant : entretenir une relation amoureuse sérieuse et à long terme permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord, rapporte Santé Log, qui proposent ce constat, après avoir analysé les dossiers de près de 5000 personnes nées dans les années 40.

Ces sujets ont répondu aux questions des chercheurs, et ces derniers ont aisément remarqué que les gens qui vivaient en couple jouissaient d’une longévité supérieure.

Ceci serait particulièrement vrai à partir de 40 ans, souligne l’équipe de spécialistes. Être seul passé la quarantaine pourrait augmenter les risques de mortalité par trois fois, croient-ils.

Après avoir analysé les variables et les autres paramètres qui pouvaient influencer la santé des sujets en question, ils concluent que le concubinage a un réel impact, et un impact majeur.

Ceci pourrait s’expliquer par les réactions émotionnelles ressenties en couple, en plus des styles de vie plus sains qui accompagneraient ce choix de vie.

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Beaucoup plus de risques immédiats pour les enfants obèses

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 43 300 enfants américains âgés de 10 à 17 ans. Ils ont évalué la corrélation entre le poids et 21 différents indicateurs de leur santé générale, de leur fonctionnement psychosocial et de maladies spécifiques.

Les enfants obèses avaient trois fois plus de chances que les enfants de poids normal de souffrir d’au moins trois problèmes de santé physique, de santé mentale ou reliés au développement. Les jeunes qui avaient un surplus de poids sans pour autant être obèses avaient quant à eux un risque plus élevé de 30 %.

Les enfants obèses étaient plus susceptibles de souffrir de toutes ces conditions très variées, en plus d’une mauvaise santé générale : problèmes émotifs et comportementaux, problèmes scolaires, déficit de l’attention avec hyperactivité, dépression, problèmes cognitifs et de développement, asthme, allergies, maux de tête, otites et problèmes au niveau des os, des muscles et des articulations.

L’auteur de l’étude, Neal Halfon, qui est professeur à l’UCLA, a expliqué qu’il s’agissait de la première étude à « esquisser un portrait vraiment complet de l’obésité chez les enfants, et nous avons été vraiment surpris de constater le nombre de problèmes qui étaient associés à ce fléau dans une population aussi jeune », selon Science Daily.

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Votre chat pourrait améliorer votre santé

Si vous possédez un chat, et qu’il aime bien ronronner, il pourrait bien s’avérer plus utile que vous le croyez, spécialement en ce qui concerne votre santé!

C’est ce que l’on comprend des propos du Dr Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et père de la théorie du « ronron », ou « ronron thérapie », comme il l’appelle.

Ses dires sont rapportés par Top Santé, et le docteur affirme que le ronronnement félin peut venir en aide à plusieurs patients qui souffrent, notamment, de problèmes d’anxiété et de stress.

« Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique. C’est le premier signal que la mère envoie à son petit, un appel de reconnaissance et d’apaisement qui fonctionne aussi avec l’homme », lance le vétérinaire.

Cette idée est bien connue de certains peuples, notamment des Japonais.

Même son de cloche du côté de la journaliste Véronique Aiache, qui rappelle : « À fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse ».

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La plupart des erreurs médicales seraient gardées secrètes

Un constat qui pourrait en effrayer plus d’un fait état de plusieurs erreurs médicales qui sont demeurées secrètes, les praticiens choisissant de ne pas révéler l’information à leurs patients.

Il semble que ce soit un comportement courant dans les corps médicaux du monde entier, rapporte nlm.nih.gov.

Il est cependant bon de spécifier que la plupart des erreurs non révélées dont on fait mention n’ont eu pour ainsi dire aucune conséquence sur les patients visés.

Doit-on alors inquiéter davantage un patient lorsqu’une erreur sans conséquence est commise? Voilà la grande question d’éthique qui se pose ici.

Le Dr Asad Latif, auteur en chef de l’étude, se dit surpris de ces révélations, mais prend le temps de préciser que 98 % des erreurs commises n’ont pas de réels impacts sur la santé ultérieure des patients.

De plus, il semble que la majorité de ces erreurs soient commises en urgence et aux soins intensifs, alors que la pression est à son paroxysme.

Il ajoute qu’il serait prématuré de s’inquiéter de ce phénomène, et que d’autres études sont à prévoir pour relancer le débat.

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Les émotions au service de la minceur

Top Santé rapporte une étude-sondage effectuée auprès de la population et de psychologues, qui explique que l’aspect émotionnel serait beaucoup plus important que l’on croit en matière de perte ou de prise de poids.

Pour contrôler son poids, on sait depuis longtemps qu’il faut manger moins et bouger plus. Les experts ne remettent aucunement en question cet état de fait, mais pensent que l’on doit également faire entrer la variable émotionnelle dans l’équation.

Ainsi, si vous respectez à la lettre les recommandations nutritionnelles et faites de l’exercice, mais que vous ne semblez pas arriver aux résultats escomptés, il se pourrait que vos émotions soient responsables.

Les répondants au sondage, professionnels ou non, affirment tous croire que les émotions jouent un rôle dans la perte ou la prise de poids, que ce soit pour le contrôle de soi (sur l’alimentation) ou encore la réaction éventuelle de l’organisme face à vos actions.

On suggère donc fortement aux gens qui veulent se mettre au régime ou changer radicalement de style de vie de consulter un spécialiste, un psychologue, afin de les aider dans leurs démarches.

Se faire aider par ses proches (encouragements, coaching, discipline) semble aussi être une technique qui porte des fruits.

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L’aspartame blanchi par les autorités européennes

Des conclusions de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, rapportées par Top Santé, risquent fort de créer de vifs débats en matière de santé et de nutrition.

Les spécialistes européens viennent de « blanchir » l’aspartame, cet édulcorant utilisé notamment dans les boissons gazeuses et la gomme à mâcher pour remplacer le sucre.

Ils concluent donc que l’aspartame n’est d’aucun danger pour la population et les consommateurs, ce qui s’avère un brusque virage d’opinion. L’aspartame est considéré depuis longtemps comme un puissant ennemi de la santé, ce qui pourrait s’avérer un mythe.

L’étude semble étoffée, et des tonnes de documents connus ont été épluchées et analysées afin d’en venir à ce constat final.

« … pas de problème de toxicité pour les consommateurs aux niveaux actuels d’exposition », affirme l’équipe de chercheurs.

Ces derniers expliquent qu’avec les niveaux d’aspartame contenu dans les différents produits offerts sur le marché en ce moment, il faudrait une consommation inouïe, et ce, tout au long de la vie d’une personne, pour arriver à des seuils de toxicité dangereux.

L’Agence met toutefois en garde les femmes enceintes contre ces produits, et suggère de les éviter pendant la grossesse.

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Les aliments « organiques » sont-ils vraiment préférables?

De plus en plus de gens mangent sainement et ne jurent que par les produits bios. Les aliments dits « organiques » sont donc répandus et jouissent d’une popularité grandissante.

Mais valent-ils vraiment la peine? Voilà la question que pose www.nlm.nih.gov, en collaboration avec l’American Academy of Family Physicians.

D’abord, il faut comprendre que pour se qualifier comme producteurs organiques, les cultivateurs doivent se plier à une série de règles. L’une d’entre elles, probablement la plus importante pour les fans de ces produits, indique que les aliments doivent être cultivés et produits sans l’utilisation de produits chimiques ou de pesticides.

Un bon point, mais en contrepartie, il appert que les valeurs nutritives des aliments organiques sont très similaires à celles des autres produits traditionnels.

Par ailleurs, si la façon organique implique de ne pas utiliser d’agent de conservation, cela signifie aussi que les aliments arriveront à terme plus rapidement.

Il y a aussi les fameuses hormones de croissance, un dossier chaud, qui donnent un autre bon point à l’organique, qui en est dépourvu. On dit aussi que cette façon de faire serait nettement meilleure pour l’environnement.

Au final, on note cependant les coûts astronomiques des aliments organiques, ce qui pourrait en décourager plus d’un.

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Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

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Prévention de la grippe : pas de régime en hiver

Une étude affirme que la pire résolution du Nouvel An pourrait être celle d’entamer un régime, rapporte Top Santé, puisque ce comportement laisserait la porte grande ouverte à la prolifération de la grippe.

C’est ce que l’on comprend des conclusions dévoilées dans cette étude américaine, qui rappelle l’importance d’entretenir un bon système immunitaire. Surtout en hiver, alors que plusieurs maladies aisément transmissibles se propagent allègrement, comme la gastro-entérite et la grippe, entre autres.

La Dre Elizabeth Gardner, de l’Université du Michigan et auteure de l’étude, explique : « À la base, nous pensions que la restriction de calories pouvait rendre le système immunitaire plus résistant, mais nous nous sommes aperçus que c’était en fait le contraire. Plus de calories pendant la saison grippale permettent d’éloigner le virus ou au moins de présenter moins de symptômes et de récupérer plus rapidement ».

Il faut donc manger pleinement lors de ces mois d’hiver, en choisissant aussi de bons aliments. Manger plus et éviter les régimes? Voilà une recommandation unique en son genre, surtout pour une étude en nutrition. Profitons-en!