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Des taux de caféine dans les suppléments qui inquiètent

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une étude récente met en garde la population contre les quantités de caféine qui sont parfois retrouvées dans les suppléments alimentaires populaires.

En plus d’être une information que peu de gens connaissent, il semble que les compagnies productrices de ces compléments « oublient » très souvent de mentionner les taux de caféine que leurs produits renferment ou omettent carrément de mentionner qu’ils en contiennent.

L’étude affirme pouvoir démontrer que plusieurs produits populaires sont bourrés de caféine, alors que l’étiquette n’en fait aucune mention. Le pire dans tout cela, c’est que plusieurs de ces suppléments se retrouvent dans plusieurs genres de boutiques spécialisées, et non pas uniquement en pharmacie et sous ordonnance.

Le public a donc le droit d’être informé, selon le Dr Pieter Cohen, qui explique : « Moins de la moitié de ces suppléments affichent des informations précises ou utiles concernant la caféine dans le produit. Par exemple, si vous souhaitez augmenter vos performances, plusieurs suppléments pourraient bien vous décevoir, voire n’avoir aucun effet, en plus de contenir beaucoup de caféine ».

On suggère donc à la population d’être très vigilante lorsqu’il est question de ces fameux suppléments alimentaires, qui gagnent de plus en plus en popularité.

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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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Un enzyme responsable de la prise de poids lors de la ménopause

Les femmes en période de ménopause qui prennent du poids peuvent cesser la culpabilité, car de récentes études proposent que la faute repose sur un enzyme, et non sur leurs habitudes alimentaires.

La prise de poids chez les femmes ménopausées est fréquente et s’ajoute aux nombreux désagréments et « effets secondaires » liés à cette période de la vie d’une femme.

Assez de choses à penser alors, pour ne pas se mettre en plus à être obsédées par ce qu’elles mangent, car selon topsante.com, le phénomène est naturel, bien que dérangeant.

C’est que le fameux enzyme verrait son activité être amplifiée massivement au contact de l’œstrogène, et doublement lors de la phase de ménopause.

Cela dit, les chercheurs répètent que même si la prise de poids est normale et naturelle, il est faux de croire que rien ne peut être fait.

Tout comme aux autres personnes aux prises avec des problèmes de gain de masse rapide, il est fortement conseillé de couper le sucre (jus, sodas, gâteaux) et les viandes grasses, de manger plus de poissons et de noix, ainsi que d’éviter les repas usinés ainsi que les restaurants.

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Les hommes qui se trouvent beaux en demanderaient plus

C’est une nouvelle étude rigolote que nous rapporte santelog.com, alors que des chercheurs britanniques ont établi un lien entre la confiance personnelle des hommes et ce qu’ils recherchent ensuite chez le sexe opposé.

Donc, plus un homme se trouve beau, plus il a confiance en lui, et plus il serait exigeant, conclut l’étude anglaise.

Publiées dans la plus récente édition du magazine PLos ONE, ces conclusions se basent sur l’analyse d’individus grâce à un système 3D à la fine pointe de la technologie. On évaluait les réactions de ces hommes types en fonction de leur confiance personnelle, puis selon les choix qu’ils effectuaient dans des situations données.

Ceci vient confirmer, malheureusement diront certains, cette notion « d’échelle sociale » qui semble régner au sein de nos sociétés contemporaines, puisque les personnes (ici, les hommes) qui reflètent de la confiance attireront davantage et seront plus enclins à avoir de « meilleurs » choix.

L’étude parle également de l’importance des traits du visage dans le choix d’un partenaire, plusieurs décisions s’effectuant à un niveau subconscient permettant d’être naturellement attiré vers une personne plus qu’une autre. On parle ici « d’origines génétiques similaires. »

Pour terminer, rappelons que plusieurs grands penseurs semblent convaincus que ces gens, bien que physiquement dominants, seront confrontés à des choix déchirants tout au long de leur vie et, par conséquent, seront moins aptes à trouver le bonheur facilement et dans les choses simples.

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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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La technologie dans votre fourchette

La technologie n’a pas que de mauvais côtés en ce qui a trait à la santé. On parlait notamment de ces applications pour téléphone intelligent, qui proposent de compter vos calories ingérées pour vous, et de quelques autres astuces technologiques du genre.

En voici une nouvelle qui devrait faire quelques adeptes. Il s’agit d’une fourchette électronique qui vous alerte lorsque vous mangez trop rapidement, rapporte La Presse.

Il est vrai que l’un des facteurs qui peuvent aider à la perte de poids est de ralentir le rythme en mangeant, de prendre de petites bouchées et de bien mastiquer.

S’il est parfois dur d’y parvenir, affamé devant un délicieux repas, la fourchette électronique sera là pour vous prévenir!

L’inventeur, Jacques Lépine, avoue avoir créé l’outil afin de régler un problème qu’il vivait lui-même.

« On démontre de plus en plus que manger vite est mauvais, que ça contribue à faire grossir. Je n’arrivais pas à corriger ce comportement. Et puis un jour, en regardant ma fourchette, je me suis dit que j’y arriverais peut-être avec la fourchette. »

Il semble qu’il y soit parvenu. Son invention sera présentée au fameux CESde Las Vegas, avant d’être commercialisée en avril prochain, si tout va comme prévu.

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Réduction du sel dans votre alimentation : le défi est lancé!

L’American Heart Association/American Stroke Association lance un défi aux Nord-Américains qui aimeraient tenter de réduire leur consommation de sel quotidienne.

On en parlait récemment, les études alarmistes concernant les quantités astronomiques de sel dans notre alimentation déferlent et nous lancent des signaux inquiétants.

Au lieu de poursuivre dans la même veine et de s’en tenir aux études et sermons, l’association américaine décide d’emprunter la voie de la proactivité, rapporte www.nlm.nih.gov.

Ainsi, elle lance le défi Sodium Swap Challenge, qui invite depuis hier (7 janvier) les Nord-Américains à traquer les aliments qui contiennent le plus de sel, ce que l’association appelle The Salty Six (Les Six Salés).

Ce dangereux sextuor comprend notamment les charcuteries, les pains, les pizzas, les frites et les aliments fabriqués en usine.

Le défi est simple : réduire à 1500 milligrammes maximum votre consommation de sel par jour. L’événement dure trois semaines, et il est possible d’échanger sur le Web vos impressions et anecdotes avec les autres participants au défi.

Le sel est défini comme l’un des principaux ennemis de la santé en Amérique, et les autorités en la matière urgent les citoyens à prendre des actions au quotidien.