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Peau sèche en hiver : comment l’éviter?

www.nlm.nih.gov publie quelques recommandations et conseils concernant les problèmes de peau sèche qui peuvent survenir durant la saison hivernale.

Si cela peut sembler banal et anodin pour certains, ceux qui souffrent de ce problème en hiver seront sans doute contents qu’on pense à eux et qu’on leur propose certains trucs à ce sujet.

D’abord, les problèmes de déshydratation cutanée surviennent souvent lorsqu’on se lave les mains très souvent (ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi), ainsi que lorsqu’on boit trop de café ou d’alcool.

Réduire ces comportements peut aider, tout comme certains soins de la peau. Des crèmes hydratantes et autres produits du genre peuvent grandement contribuer à éviter ce problème.

Attention, chaque produit n’a pas le même effet pour tous, alors vous devrez peut-être en essayer plus d’un avant de trouver satisfaction.

Aussi, on suggère l’utilisation d’un déshumidificateur dans la maison, en plus d’éviter les produits trop forts lorsque vous faites le ménage.

En terminant, on suggère de boire beaucoup d’eau, comme l’explique la Dre Michelle Tarbox, dermatologiste : « Quand le niveau d’humidité dans l’air diminue en raison du chauffage, il aspire pratiquement l’eau de votre peau ».

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La FDA propose de nouvelles règles en matière d’alimentation

La FDA américaine (U.S. Food and Drug Administration) annonce qu’elle entend prendre de nouvelles mesures concernant la sécurité de la population quant à l’industrie alimentaire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Pour l’instant, deux recommandations sont à l’honneur. Elles sont les premières phases concrètes du traité initié par l’actuel président, Barack Obama, et ratifié par la FDA.

Le Food Safety Modernization Act propose donc d’abord une sécurité accrue des fermes productrices, afin d’assurer une qualité optimale des produits qui y sont cultivés. On veut particulièrement protéger la population de certaines maladies et bactéries comme l’E. coli et la listériose.

La deuxième obligera les producteurs alimentaires à créer des plans pour assurer la protection du public face à leurs produits. Chaque usine, terre ou industrie devra dès lors se soumettre à des règles strictes.

La FDA veut mettre en place plusieurs autres règles au fil de 2013, afin de surveiller chaque étape de production des aliments, des fermes aux épiciers, jusqu’à l’assiette.

« Nous avons l’un des meilleurs systèmes au monde, mais nous devons renforcer les règles et la protection offerte au public en matière d’alimentation. C’est exactement ce pour quoi le traité a été créé », lance la Dre Margaret Hamburg, de la FDA.

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Un nouveau supplément alimentaire pour prévenir l’infarctus

Ça semble trop beau pour être vrai, et pourtant, topsante.com rapporte une annonce faite par des chercheurs de Cambridge voulant qu’ils aient mis au point un nouveau supplément alimentaire qui pourrait bien prévenir plusieurs cas d’infarctus.

Ce complément alimentaire est à base de peau de tomate, plus précisément de lycopène, un élément que des spécialistes de partout tentent d’utiliser à bon escient depuis belle lurette.

Ce serait maintenant chose faite, selon ce que l’on comprend, puisque les chercheurs de la réputée université anglaise croient avoir réussi le mélange parfait.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, le supplément, nommé Ateronon, contiendrait ce qui se veut l’équivalent en lycopène de 3 kilogrammes de tomates. Il faudrait donc consommer autant de tomates pour retirer les mêmes bénéfices.

Ces bénéfices sont importants, si l’on en croit l’équipe de chercheurs. Les tests effectués jusqu’à maintenant démontrent effectivement des résultats probants en matière de prévention des infarctus.

Malgré tout, les autorités anglaises en matière de santé rappellent l’importance d’une alimentation saine et équilibrée pour prévenir efficacement les AVC et infarctus.

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Un vaccin qui ralentit la progression du VIH bientôt sur le marché

On vous en parle depuis quelque temps, les recherches en matière de VIH et du SIDA vont bon train et connaissent quelques bonnes avancées récemment.

Voici une autre nouvelle, rapportée par topsante.com, qui ajoute à l’optimisme. Selon des médecins en Espagne, une nouvelle percée viendrait d’être faite et pourrait mener à un vaccin étonnant d’ici peu.

On pourrait en effet retrouver sur le marché de façon contemporaine un « traitement » qui peut ralentir la progression du virus jusqu’à un an, ce qui est un début.

Les tests ont été effectués sur près de 40 patients et ont démontré l’efficacité du vaccin. Ce dernier pourrait contrôler la duplication de la maladie de façon importante, selon ce qui a été publié dans le magazine Science Translational Medicine.

« Ce que nous avons fait, c’est donner des instructions au système immunitaire pour qu’il apprenne à détruire le virus, ce qu’il ne fait pas de manière […] naturelle », lance Felipe Garcia, du Clinic Hospital de Barcelone, en Espagne.

Il s’agit par ailleurs d’une alternative aux traitements rétroviraux connus, et non un ajout. Il s’agit aussi d’une excellente nouvelle, et on souhaite mettre à profit cette percée à court terme.

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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Cesser de fumer permettrait de réduire le stress

Une nouvelle étude rapportée par topsante.com parle des effets bénéfiques de l’arrêt du tabagisme sur la santé, notamment en ce qui concerne le stress.

On explique d’abord que les vertus antistress que l’on prête souvent à la cigarette sont fausses, puisque celle-ci est un excitant.

Les gens qui prétendent fumer pour se détendre ou qu’une « bonne cigarette » les aide à se détendre ou à réfléchir seraient dans l’erreur, ou du moins victimes d’un effet placebo.

Pour prouver leur théorie, les chercheurs britanniques en tête de l’étude ont analysé les cas de 500 fumeurs qui tentaient d’arrêter cette vilaine habitude.

Du nombre, 68 ont véritablement réussi à écraser, et on a remarqué chez ces sujets une baisse radicale du niveau de stress perçu et ressenti. Cet effet serait plus facilement vérifiable près de six mois après l’arrêt complet du tabagisme, mais n’en demeure pas moins tout à fait réel.

Pour les chercheurs, une équipe formée de spécialistes d’universités réputées comme Cambridge, Oxford et le King’s College, il s’agit d’une preuve qui corrobore leur théorie initiale.

Cesser de fumer réduirait donc le stress et augmenterait par conséquent l’espérance de vie sur deux tableaux.

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Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

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Arrêter l’alcool : d’une pierre deux coups

De plus en plus d’études viennent confirmer l’impact négatif de l’alcool sur l’organisme. On parle bien sûr ici d’une surconsommation, qui vient alors nuire à plusieurs systèmes du corps et peut même entraîner des troubles de la mémoire à long terme, entre autres.

Il y a aussi l’aspect calorique de l’alcool, rapporte topsante.com. C’est justement pour cette raison que le WCRF conseille vivement à ceux qui souhaitent perdre du poids, ou le maintenir, de songer sérieusement à arrêter l’alcool complètement.

Si une association qui lutte contre le cancer se mêle de la partie, c’est qu’une perte de poids ou un maintien du poids santé est un gage d’une bonne santé en général et contribue à faire baisser les risques de développement de différents cancers.

Kate Mendoza, du WCRF, lance : « Réduire sa consommation d’alcool peut jouer un grand rôle dans la perte de poids ou le maintien d’un poids normal. Des études récentes ont montré que les consommateurs d’alcool n’ont pas souvent conscience des calories dans les boissons alcoolisées et ne les prennent pas en compte dans leur apport calorique quotidien ».

Parions que plusieurs se reconnaissent dans ce comportement…

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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.