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Trop peu de sommeil pour trop d’appétit

Des chercheurs croient que le sommeil peut jouer un rôle dans la façon dont l’organisme réagit à la nourriture. Quelques études sur le sujet sont parues depuis quelque temps, et on trace un lien de plus en plus clair entre le sommeil et la nutrition.

En voici une nouvelle, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui fait maintenant une corrélation entre le nombre d’heures de sommeil et la puissance de l’appétit. Selon les chercheurs en tête de l’étude, trop peu de sommeil favoriserait l’amplification d’hormones qui font croître à leur tour l’appétit, ou le sentiment d’avoir faim.

De plus, ils se sont aperçus que le processus de la faim est différent chez les hommes et chez les femmes.

Un double constat que nous explique l’enquêtrice principale au dossier, Marie-Pierre Saint-Onge, de l’Obesity Nutrition Research Center (St. Luke’s/Roosevelt Hospital) de New York : « Les résultats obtenus pointent en direction d’un lien direct entre la privation de sommeil et la régulation de l’énergie. L’état “d’équilibre de l’énergie”, pour une personne qui est en période de gain ou de perte de poids, serait critique pour le métabolisme. Les réponses hormonales qui suivent une privation de sommeil sont des facteurs importants ».

Les résultats ne sont pas aussi clairs chez la femme, ajoute l’équipe de chercheurs. Le lien entre le sommeil et l’appétit chez la femme demeure à prouver, mais celle-ci ne réagit manifestement pas de la même façon que l’homme dans ce dossier.

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Pour votre propre santé, évitez le stress des fêtes

www.nlm.nih.gov rapporte les propos d’experts qui suggèrent habilement à la population de se faire le plus beau des cadeaux dans le temps des fêtes : éviter le stress.

On parle beaucoup de nutrition et d’une panoplie de facteurs pouvant mener à des problèmes de santé, mais il ne faut jamais oublier que le stress est probablement le pire d’entre tous.

À l’approche des fêtes, qui se veulent pourtant une période de célébration, d’introspection et d’amour fraternel, il semble que nous oublions tous de ralentir et laissons le stress nous envahir.

« Le stress et ses nombreuses formes (physique, financière, émotionnelle) peuvent mettre beaucoup de pression sur votre cœur durant une période qui devrait pourtant être joyeuse et légère. Les gens ne comprennent pas que le stress peut se cacher dans à peu près tout ce que vous faites », lance le Dr Nasser Lakkis, chef du département de cardiologie de l’hôpital Ben Taub à Houston, au Texas.

On suggère donc d’éviter de vous mettre de la pression et de relaxer le plus possible. Essayez de passer du temps en famille, faire des activités qui vous passionnent ou même faire du bénévolat, mais surtout de dire « non » aux choses qui ne vous tentent pas vraiment ou pour lesquelles vous n’avez tout simplement plus de temps!

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Un antidépresseur expérimental fort prometteur

Un nouvel antidépresseur, qui n’en est qu’aux phases expérimentales, pourrait s’avérer très prometteur, selon plusieurs experts.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle du traitement comme d’une nouvelle façon de faire en matière de traitement de la dépression. L’antidépresseur agirait de façon précise sur le cerveau, ciblant des zones spécifiques.

De plus, on vante les mérites à long terme du produit, pour l’instant appelé GLYX-13. Testé uniquement de façon intraveineuse en ce moment, il semble offrir de bons résultats sur certains patients qui n’ont pas (ou mal) réagi aux autres traitements et antidépresseurs connus.

Le traitement serait efficace presque immédiatement après l’administration, et son effet à long terme satisfait l’équipe de chercheurs chargée des essais cliniques.

Joseph Maskal, professeur en biomédecine, est l’un de ceux-là. Il explique : « On a constaté des effets robustes, rapides et à long terme. De plus, aucun effet secondaire majeur n’a été répertorié ».

Le Dr Bryan Bruno, de l’équipe de direction du département de psychiatrie de l’hôpital Lenox Hill de New York, parle d’un « développement fort excitant ».

Il s’agirait donc d’une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des troubles dépressifs qui ne réagissent pas ou peu aux traitements populaires retrouvés sur le marché, comme le Prozac, le Paxil ou encore le Zoloft.

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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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La mémoire serait trompeuse et jouerait un rôle dans l’appétit

On apprend que la mémoire pourrait bien s’avérer un ennemi mortel lorsqu’on tente de surveiller son poids et de conserver sa ligne, selon topsante.com.

Un ennemi mortel et discret, selon ce que l’on comprend, ce qui le rend doublement plus insidieux. C’est que l’appétit ne serait pas qu’un réflexe instinctif, affirment des chercheurs britanniques.

En fait, la mémoire jouerait un rôle primordial dans le processus de la faim et de l’appétit, si l’on en croit l’étude publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE. Ainsi, le niveau de la faim ressentie aurait beaucoup à voir avec ce que l’on se souvient d’avoir mangé, et non ce que l’on a réellement mangé.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les comportements de 100 personnes volontaires. Ils se sont rendu compte que ceux qui étaient encore rassasiés après quelques heures n’étaient pas ceux qui avaient mangé le plus, mais plutôt qui se souvenaient clairement d’avoir en effet mangé.

« La mémoire de notre dernier repas a un plus gros impact sur notre appétit que la taille de notre repas », lance le professeur de psychologie Jeffrey Brunstrom, également directeur de l’étude.

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Percée importante dans la lutte au VIH en France

Santelog.com rapporte de bonnes nouvelles concernant la lutte au VIH, du côté de la France. Une équipe de chercheurs français aurait en effet réussi à « bloquer » le virus par un gel microbicide, ce qui s’avère une découverte remarquable.

Si le procédé n’a été testé que sur des primates pour l’instant, les spécialistes ont bon espoir de pouvoir recréer le modèle sur des humains lors d’éventuels essais cliniques.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans la plus récente édition du magazine PLoS Pathogens, qui parle d’une « étape prometteuse » dans la lutte au VIH.

Il semble que l’idée d’un gel virucide pour contrer le VIH soit sur la table depuis longtemps, la communauté scientifique mondiale croyant fermement que cette avenue peut s’avérer prometteuse.

C’est le CEA français qui est à l’origine de la percée, mais il faut mentionner que les travaux s’effectuent en collaboration avec plusieurs autres équipes de chercheurs réputées, dont celles de l’Imperial College (Londres), de l’Institute of Tropical Medicine, et de l’Université d’Antwerp (Belgique).

Les essais cliniques chez l’homme devraient commencer sous peu, et un vent d’optimisme se fait sentir dans ce dossier fort important.

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Au-delà des antidépresseurs : l’importance de la thérapie

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, conclut que les patients qui souffrent de dépression auraient avantage à allier leur traitement à des séances de thérapie.

C’est que dans plusieurs cas, les antidépresseurs ne font pas, ou peu, le travail. Tout cela laisse le patient dans un sentiment d’impuissance face à son état, ce qui peut aggraver la situation.

Des chercheurs britanniques tiennent donc à rappeler l’importance d’un bon suivi de la part d’un spécialiste en santé mentale dans les cas de dépressions.

L’étude parle même d’une augmentation des chances de rémission jusqu’à trois fois plus élevée que pour ceux qui n’utilisent que les antidépresseurs.

Nicola Wiles, de l’Université Bristol, commente l’étude : « Lorsque les gens reçoivent un diagnostic de dépression et qu’ils ne réagissent pas aux médicaments et antidépresseurs, la thérapie cognitive et psychologique permet de voir leurs symptômes diminuer de façon significative. La qualité de vie est grandement améliorée grâce à la thérapie ».

« Malheureusement, les spécialistes et les accès à ce genre de thérapie se font rares dans certains pays, dont le nôtre (Angleterre). Trop de pays n’offrent pas ce genre de service et laissent donc en plan les gens dépressifs qui ne ressentent pas les effets des antidépresseurs. »

On suggère de discuter avec votre médecin avant la prise d’antidépresseurs, afin de voir les possibilités de consultation offertes.

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Manger moins de gras pourrait suffire à faire perdre du poids

www.nlm.nih.gov rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs britanniques qui croient que le simple fait de « couper dans le gras » permettrait une perte de poids.

C’est du moins ce qu’ils affirment dans une étude publiée dans le journal BMJ. Selon eux, il n’y a pas que les régimes qui sont bénéfiques pour perdre quelques kilos. Remplacer des aliments gras par d’autres qui le sont moins, et par conséquent réduire sa consommation de corps gras, peut permettre aux gens qui aimeraient perdre quelques kilos d’y parvenir.

Les chercheurs de l’Université d’East Anglia parlent d’une perte de poids d’environ 3,5 livres, en moyenne, chez les sujets observés.

Pour parvenir à ces conclusions, on a observé les changements chez des sujets qui ont coupé les matières grasses de façon significative, puis on les a comparés à ceux observés chez d’autres qui n’ont rien changé à leur alimentation.

On constate que le simple fait d’abaisser la consommation de gras permet au corps de maigrir, naturellement.

L’étude compilait des résultats obtenus dans 33 essais et contrôles un peu partout dans le monde, notamment en France, aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande.

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Les oméga-6 n’augmenteraient pas les risques d’attaque cardiaque

La polémique concernant les oméga-6, qui commencent à faire parler d’eux de plus en plus, fait rage depuis un certain temps.

La communauté scientifique est profondément divisée sur le sujet, alors que plusieurs chercheurs croient aux bienfaits des oméga-6 sur le cœur. D’autres sont plutôt convaincus qu’ils peuvent augmenter le risque de problèmes cardiaques éventuels, en plus de provoquer des inflammations.

L’étude dont il est question tentait de déterminer les effets des oméga-6 en évaluant les dossiers de 22 000 Américains, des hommes, sur une période de 17 ans. Par la suite, on a comparé les dossiers des 788 sujets qui ont développé des problèmes cardiaques avec ceux qui avaient le même profil (âge, sexe, paramètres), mais qui n’en avaient pas développé, explique www.nlm.nih.gov.

Au final, on sent que le débat risque de faire rage encore longtemps, puisque les notions et conclusions varient d’une étude à l’autre. Pour celle-ci, par exemple, tout ce que les chercheurs arrivent à affirmer avec certitude, c’est que les oméga-6 ne seraient pas néfastes pour la santé.

De là à dire qu’ils protègent, il y a un pas à franchir. Cependant, tous semblent s’entendre pour dire que les oméga-6 ont le mérite de gérer la haute pression, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

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Des résultats décevants pour la vitamine D dans le traitement de la démence

Les chercheurs espéraient pouvoir faire une corrélation entre la vitamine D et le traitement de la démence et de certaines maladies dégénératives, mais il semble que les résultats soient plutôt décevants.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet vient d’être publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.

Malgré tout, plusieurs experts gardent espoir de voir la vitamine D donner des résultats en matière de traitement de la démence, notamment.

Pour en arriver aux conclusions de la présente étude, des chercheurs du HealthPartners Institute for Education and Research, une branche à but non lucratif de la HMO (Health Maintenance Organization), ont analysé les dossiers de plus de 2000 patientes qui ont reçu des suppléments de vitamine D et de calcium.

La Dre Rebecca Rossom explique : « Je crois que l’étude ne regarde que les effets directs de la vitamine D sur la démence, mais elle demeure importante néanmoins, car elle fait le bilan des habitudes des femmes concernant celle-ci ».

De plus, on rappelle que le calcium, ainsi que la vitamine D, demeurent d’excellents alliés pour un vieillissement sain, à commencer par leurs effets protecteurs sur les os.