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La colonoscopie effraie moins et serait maintenant entrée dans les moeurs

Pendant longtemps, le simple fait de mentionner le mot « colonoscopie » suffisait à faire frissonner d’horreur une bonne partie de la population.

Bien que peu agréable, la colonoscopie s’avère indispensable et fort efficace pour le dépistage hâtif du cancer du côlon. Ce cancer fait beaucoup de ravages, mais les chances de survie sont bonnes lorsqu’il est diagnostiqué rapidement et au début de son développement.

Et voilà que Topsanté nous apprend que la colonoscopie serait maintenant plus populaire, notamment en France. Les gens seraient moins terrifiés à l’idée de passer l’examen et comprennent mieux l’importance du dépistage.

Le cancer du côlon est particulièrement vicieux, car il se développe sans symptôme pendant un bon moment, évoluant silencieusement. Voilà pourquoi il est important de subir ce genre de tests, afin de le découvrir avant l’apparition des symptômes, et ainsi assurer un traitement efficace.

Bien que son apparition soit plus fréquente chez les gens de 60 ans et plus, on suggère de commencer à subir des colonoscopies vers l’âge de 50 ans, ou même 40 si vous aimez être rassuré et prônez la prévention (ce qui est une bonne chose).

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Le tamoxifène serait plus efficace sur une période de dix ans

Le tamoxifène est un traitement bien connu contre le cancer du sein, et ses bienfaits sont reconnus par l’ensemble de la communauté scientifique.

Voilà que l’on apprend, via santelog.com, que le traitement serait bien plus efficace lorsqu’utilisé sur une période de dix ans, au lieu des cinq années de traitement normalement offertes.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition de Lancet, la même publication qui avait précédemment confirmé les effets du tamoxifène sur une période de cinq ans.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Oxford (en collaboration avec d’autres instituts de recherche) ont analysé les dossiers de deux groupes de patientes. Le premier groupe a été traité au tamoxifène durant cinq ans, et le deuxième pendant dix ans.

On a recensé un nombre évident de cas en moins de récidives et de décès pour le groupe des « dix ans », contrairement à ceux des « cinq ans ».

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les chercheurs pensent pouvoir affirmer dès maintenant que les femmes, notamment celles diagnostiquées très tôt, devraient être traitées au tamoxifène durant une décennie, même après la disparition prétendue de la maladie.

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La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.

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Blessures au hockey : changer les règles serait plus efficace que la prévention

Une étude canadienne conclut que pour éviter les blessures au hockey, ou à tout le moins en réduire le nombre, il serait plus efficace de carrément changer certaines règles en place.

Les chercheurs canadiens arrivent à cette conclusion de façon générale, mais aussi plus précisément dans le cas des joueurs juniors et des plus jeunes.

Ainsi, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, la prévention concernant la violence au hockey ne fonctionne pas vraiment. L’intensité du sport et la pression de gagner feraient en sorte qu’on oublie rapidement les notions de respect et de prévention…

On prône donc plutôt l’ajustement de certains règlements, notamment en ce qui concerne les mises en échec.

Le Dr Michael Cusinamo, auteur en chef de l’étude, explique : « Il est très clair que, selon ce que nous savons, lorsqu’on change ou resserre la règlementation et que l’on envoie un message clair que certains gestes ne seront pas tolérés, il est possible d’abaisser les taux de blessures. On pourrait voir de trois à douze fois moins de blessures qu’en ce moment ».

Les blessures au hockey, notamment les commotions cérébrales, font l’objet de plusieurs débats chauds en Amérique du Nord.

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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Le café en renfort dans la lutte au diabète

Le café connait une bonne période, alors que les études qui font l’apologie de ses vertus sont de plus en plus nombreuses.

Elles contredisent un peu la vague précédente d’études qui mettaient en garde contre les effets néfastes du café. On sait maintenant que les antioxydants présents dans le produit sont excellents pour la santé, notamment pour la prévention de plusieurs cancers.

Santelog.com nous apprend maintenant que la caféine permet aussi aux gens à risque de développer du diabète de s’en protéger. Ainsi, trois ou quatre tasses de café par jour ne seraient pas néfastes, mais pourraient prévenir l’apparition de la maladie.

Étonnant de constater que les chercheurs parlent de « consommation modérée », alors qu’ils suggèrent trois ou quatre tasses quotidiennement. Des études récentes conseillaient de ne pas dépasser trois portions par jour, maximum.

Les spécialistes présents lors du congrès 2012 de la WCPD (Prevention of Diabetes and Its Complications) persistent et signent : les gens qui consomment régulièrement du café auraient 25 % moins de chance de développer du diabète.

On prête également au café des vertus antidépressives et anticancer, en plus de ses propriétés qui protégeraient contre certaines maladies cardiovasculaires et métaboliques.

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La voix de la conscience démystifiée : vers un traitement de la schizophrénie?

Ceux qui sont familiers avec ce que l’on appelle communément « la petite voix » seront soulagés d’apprendre que des chercheurs ont réussi à la définir de façon scientifique, rapporte Topsante.com.

Et ils sont nombreux à entendre cette voix dans leur tête, bien qu’ils ne soient pas tous enclins à s’en vanter lors de réceptions ou d’apparitions publiques.

Pourtant, il semble que le phénomène soit tout à fait normal. Il appert que la voix provient des zones auditives présentes dans le cerveau, qui stockent toutes les pensées que nous accumulons quotidiennement.

Les chercheurs à la tête de cette étude peu banale publiaient leurs conclusions dans la plus récente édition de The Journal of Neuroscience. On y apprend que le cerveau peut avoir des réactions qui sont similaires à des voix, comme si quelqu’un d’autre nous parlait.

Pour le prouver, les scientifiques ont fait lire des sujets, silencieusement, et ont analysé les réponses cérébrales qui s’ensuivaient. Clairement, ils ont constaté que le système de traitement de la voix du cerveau est actif lorsqu’on « lit dans notre tête ».

Cette percée, qui peut sembler banale à première vue, pourrait mener à des traitements éventuels de la schizophrénie, ainsi que de certains types de comportements dépressifs.

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Le poisson : oui, mais attention au mercure

Les études et suggestions provenant de nutritionnistes de partout qui conseillent de manger beaucoup de poisson sont un peu contredites par un rapport qui met en garde la population mondiale contre les dangers du méthylmercure.

Cet élément serait très présent dans les produits de la mer et peut avoir un effet néfaste sur la santé, notamment sur le cerveau.

On le sait, les poissons contiennent des oméga-3, éléments importants pour l’organisme et la prévention de plusieurs maladies. Or, cet effet pourrait être contrecarré par les taux de mercure qu’ils contiennent.

C’est du moins ce qu’affirme une coalition internationale, qui comprend pas moins de 94 organisations, dans un rapport déposé et rapporté par Santelog.com.

Les spécialistes veulent sensibiliser la population au problème, avant qu’un accord officiel soit signé. On attend justement la ratification d’un traité international par les Nations Unies, qui devrait légiférer dans le dossier.

Le traité devrait être finalisé pour janvier 2013.

D’ici là, on parle de consommer le poisson de façon raisonnable. Le rapport des bienfaits des oméga-3 comparativement aux effets néfastes du mercure est encore à définir. Les chercheurs croient que plusieurs autres études seront nécessaires pour savoir si un argument l’emporte sur l’autre.

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Nouvelle stratégie pour combattre efficacement l’influenza et l’inflammation

Des chercheurs auraient trouvé une nouvelle technique pour contrer les effets de l’influenza, mieux connue sous le nom de virus de la grippe, et ses possibles complications.

Même si une grippe n’est souvent pas mortelle pour celui qui la contracte, elle peut apporter son lot de désagréments et de complications qui peuvent rapidement dégénérer. Plusieurs ont sans doute vécu le phénomène d’une grippe qui s’aggrave au point de former une bronchite ou une pneumonie, par exemple.

C’est que le corps humain répond à la présence du virus par le système immunitaire, ce qui peut parfois mener à une inflammation (des poumons, entre autres).

Voilà que des chercheurs de l’INRA affirment être en mesure de régler le problème « à la source », après avoir isolé et supprimé la protéine PAR1 chez des souris. Cette protéine serait à l’origine du processus qui mène à une inflammation, rassemblant toutes les cellules inflammatoires au site de l’infection, selon ce qu’explique santelog.com.

Les chercheurs auraient donc réussi à protéger complètement les rongeurs d’une possible infection, ce qui permet de croire que le processus s’appliquerait aussi sur l’humain.

En supprimant PAR1, on s’attaque à la cellule hôte au lieu du virus en tant que tel. Une percée majeure qui pourrait mener à de nouveaux traitements efficaces, ce qui remonte le moral des chercheurs avec l’arrivée de nouvelles souches modernes et plus agressives de l’influenza.

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Un gène pourrait être lié à la dépendance à l’alcool et au binge drinking

Santelog.com nous apprend que des chercheurs croient pouvoir affirmer qu’ils ont trouvé un gène qui serait à l’origine de certains comportements en lien avec l’alcool, dont le binge drinking.

Le binge drinking est un phénomène récent qui s’avère terriblement dangereux. Il se décrit comme le comportement d’une personne qui boit énormément d’alcool par séquences, s’arrête, puis recommence.

Le concept avait été mis à l’avant-plan de l’actualité à la suite de la mort de la chanteuse Amy Winehouse, qui était familière avec ce comportement.

Des chercheurs du King’s College de Londres ont publié une étude dans les Actes de l’Académie américaine des Sciences (PNAS) pour signifier l’importance du gène RASGRF2 dans la susceptibilité d’une personne de développer un problème d’alcool grave.

Toutefois, on rappelle que même si une personne est génétiquement plus sujette à ce type de dépendance, le gène n’explique et n’excuse pas tout le processus qui mène au passage à cet acte d’autodestruction.

On confirme simplement que le binge drinking peut avoir un effet plus intense chez certaines personnes que d’autres, en vertu de leurs gènes. Cela place certains individus devant une prédisposition à l’alcoolisme plus importante que chez les autres.