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Un médicament à l’essai pour contrer la dépendance à l’alcool

Un médicament pour tenter de contrer la dépendance à l’alcool reprend la route des essais cliniques, annonce topsante.com.

C’est que ce n’est pas la première série de tests que connait ce médicament, appelé Bacoflène, celui-ci ayant été mis à l’essai pour la première fois en mai dernier.

On parle donc ici d’un essai complémentaire, dirigé par Michel Reynaud, en France.

Si ces tests s’avéraient concluants, on pourrait voir apparaitre sur le marché (en tout cas celui de l’Europe pour commencer) le fameux « remède » pour traiter l’alcoolisme.

Le Bacoflène est déjà utilisé comme relaxant musculaire en centre hospitalier. Cette fois, on vérifiera les effets du médicament sur 320 patients qui recevront des doses élevées. On pourra noter ses impacts selon la capacité des sujets à demeurer sobres.

On veut bien sûr également éviter les pires effets secondaires et vérifier le type de tolérance que le corps peut développer avec la présence du Bacoflène dans l’organisme.

M. Reynaud mentionne : « Le taux de réussite attendu est de 50 % concernant l’abstinence complète. Nous étudierons aussi la diminution de la consommation, mais ce n’est pas l’objectif principal de l’étude ».

Un peu d’espoir, donc, pour les gens qui ont tenté de se sortir de l’alcoolisme sans toutefois y parvenir.

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La FDA suggère de voir un médecin avant de consommer des boissons énergisantes

Les boissons énergisantes se retrouvent encore pointées du doigt pour certains cas de décès et de maladies, entre autres aux États-Unis.

Cette fois, l’Agence fédérale américaine de l’alimentation et des médicaments, la FDA (www.fda.gov) , n’hésite pas à lancer une alerte ainsi qu’une série de recommandations.

L’une d’entre elles est de carrément consulter son médecin de famille avant de se lancer dans la consommation de ces produits dits énergisants.

Tout ceci fait suite aux récents scandales qui ont éclaboussé la marque de boissons Monster, à qui l’on attribue la faute pour certains décès qui se sont produits récemment.

Cette fois, c’est la boisson 5-Hour Energy qui se retrouve au banc des accusés, alors que cette dernière serait responsable de certains cas de maladies et de morts subites. Plusieurs autres cas d’hospitalisation en lien avec ce produit ont été recensés au fil des dernières années, dans plus de 92 rapports.

Si l’effet de causalité de ces produits n’est pas démontré entièrement, les spécialistes avisent les consommateurs de ne pas prendre ces recommandations (ainsi que l’impact de ces boissons énergisantes) à la légère.

On recommande donc de se tourner vers son médecin et d’essayer de minimiser au maximum l’absorption de ces boissons.

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Les antioxydants : où les retrouver?

Les preuves concernant les bienfaits des antioxydants sur l’organisme ne sont plus à faire. On le sait, ceux-ci nous protègent de bon nombre de maladies chroniques, ainsi que de certains effets du vieillissement, et apportent de l’énergie supplémentaire pour bien vivre quotidiennement.

S’il est bon de le savoir, encore faut-il connaître les aliments qui en contiennent. Alors, on les retrouve où, ces fameux antioxydants?

Un peu partout, selon ce que rapporte topsante.com, qui propose plusieurs aliments à intégrer à son régime alimentaire.

D’abord, on vante les mérites d’un bon déjeuner pour le cerveau. Oeufs, café, jus d’orange… et même du bacon sont conseillés, mais pas tous les jours.

Ensuite, on peut se tourner vers certains fruits et légumes comme les endives, les tomates, les poivrons, les pommes, les pamplemousses, les bananes, les noix, les poireaux, les radis, les citrons, les carottes, les choux, les cerises, le maïs, les kiwis, les betteraves, les canneberges, les oignons, les avocats, les épinards, les champignons, les haricots, les fèves et les fruits noirs.

Du côté des viandes et substituts, on propose la dinde, le poulet, les fruits de mer, le saumon, la truite et les œufs.

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La technologie et la dépression

De plus en plus de chercheurs croient que la folie des technologies qui frappe l’homme partout dans le monde depuis quelques années pourrait bien avoir quelques effets néfastes sur la santé mentale.

Plusieurs études viennent progressivement corroborer ces théories, dont une publiée récemment, que rapporte santelog.com.

Cette fois, c’est le très populaire iPad qui est visé par l’enquête des chercheurs des universités Johns Hopkins et Rider. Plus précisément, ceux-ci se sont penchés sur l’utilisation du iPad la nuit. Bien sûr, ceci peut s’appliquer aux autres tablettes du genre sur le marché.

C’est l’exposition anormale à ce type de luminosité qui inquiète les chercheurs, celle-ci pouvant jouer un rôle dans le développement de la dépression, selon eux.

Ce n’est d’ailleurs pas la première étude qui trace un lien entre le fait de laisser des lumières allumées la nuit et des symptômes de dépression nerveuse.

De plus, le déclin cognitif pourrait être influencé par de tels comportements.

Les chercheurs rappellent que le corps est synchronisé à un « cycle solaire », qui permet une balance entre les périodes d’éveil et de repos. Ne pas respecter les périodes de repos et poursuivre l’exposition à la lumière des appareils électroniques pourrait s’avérer néfaste pour votre santé mentale.

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Les émissions de cuisine au banc des accusés

À la suite du succès fracassant des premières émissions de téléréalité, le genre s’est développé en une panoplie de sous-catégories plus pointues, qui visent différents aspects de la société et divers environnements ou milieux de travail. C’est le cas, entre autres, des cuisines et des grands chefs.

Les émissions culinaires ont d’ailleurs la grosse cote auprès des Nord-Américains, et plusieurs d’entre elles connaissant des succès fracassants sur les ondes de plusieurs stations.

Voilà que des chercheurs se sont penchés sur le phénomène et ont cherché à savoir si cette programmation gastronomique pouvait cacher un côté plus sombre. Ils placent donc maintenant les émissions de cuisine au banc des accusés avec les résultats de cette étude, selon ce que rapporte santelog.com.

Les gens seraient plus enclins à consommer des calories, des aliments sucrés ainsi que des plats plus gras après avoir visionné une émission de cuisine à la maison.

Analysant les comportements de 80 jeunes adultes (des étudiants en psychologie), les chercheurs ont observé qu’après avoir visionné dix minutes d’une telle émission et se voir ensuite offrir toute une série de plats différents, des bons et des mauvais, les participants préféraient ingérer les mauvais.

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Plus de chance de survivre à un arrêt cardiaque à l’hôpital maintenant qu’avant

Les patients qui subissent un arrêt cardiaque et qui sont déjà dans un centre hospitalier ont beaucoup plus de chances de survivre à l’incident qu’avant, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est ce que révèle une nouvelle étude sur le sujet, qui analyse les données recueillies en centre hospitalier depuis le tournant des années 2000.

Les chercheurs constatent une forte amélioration du taux de survie suivant un arrêt cardiaque, la courbe entre 2000 et 2009 affichant une progression constante (pour le mieux). On parle maintenant de 22 % de chances de survie après un arrêt cardiaque, contre 14 % seulement il y a dix ans.

Également, encore au chapitre des bonnes nouvelles, il semble que les séquelles et conséquences après un arrêt cardiaque à l’hôpital soient aussi moins fréquentes que jadis.

Dr Saket Girotra, de la division des maladies cardiovasculaires de l’University of Iowa Hospitals and Clinics, explique : « Nous observons que les chances de survie dans de tels cas se sont améliorées, et ce, pour deux raisons. D’abord, les praticiens font un meilleur travail en réanimation, et ils deviennent aussi meilleurs quand vient le temps de prodiguer les soins urgents à la suite d’une réanimation ».

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L’horloge biologique aussi présente chez les cellules de graisse

Le phénomène d’horloge biologique serait aussi vérifiable dans les cellules de graisse, adipeuses, ce qui pourrait expliquer et corroborer l’importance des moments où vous prenez vos repas, selon santelog.com.

C’est ce qu’avance une nouvelle étude, qui vient rejoindre plusieurs autres précédentes sur le sujet, alors que des chercheurs ont réussi à enlever le « gène de l’horloge » des cellules adipeuses de souris.

Ce faisant, les messages envoyés par les cellules graisseuses au cerveau par l’entremise de l’hormone leptine pour annoncer les taux d’énergie en surplus ne se rendent plus.

Les souris commencent alors à grossir, voire devenir obèses, sans pour autant absorber plus de calories.

Il s’agit d’une découverte remarquable, qui pourrait prouver l’importance de manger à des heures régulières, ainsi que d’éviter de manger lorsque le corps s’attend à une période de repos. Cette dernière constatation viendrait d’ailleurs contredire certains articles publiés récemment sur le sujet.

On peut donc conclure que certaines personnes pourraient souffrir d’un syndrome que nous pourrions appeler celui de « l’horloge cassée », alors que les renseignements des cellules adipeuses ne se rendent plus, ou mal, au cerveau, et que la connexion avec le système nerveux central est déficiente.

Manger des repas à des heures aléatoires et pendant la nuit deviendrait alors catastrophique.

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Les symptômes de dépression mieux reconnus chez les femmes

Les gens seraient plus habiles à repérer des symptômes de dépression nerveuse chez une femme que chez un homme, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est une nouvelle étude sur le sujet qui vient de paraître qui tend à démontrer ce phénomène, en analysant les différentes perceptions du public quant à la dépression, selon le sexe de la personne en cause.

Ainsi, on a soumis aux participants de l’étude des descriptions de symptômes (identiques) chez une femme, puis chez un homme (fictifs). On leur demandait alors de décider si ces personnes-tests souffraient selon eux de dépression, et si elles devaient demander l’aide d’un professionnel.

En se basant sur les mêmes symptômes, les répondants ont rapidement tranché du côté de la femme, ressentant même de la sympathie à son égard, beaucoup plus que dans le cas de l’homme.

L’auteur principal de l’étude, Viren Swami, indique qu’il s’agit véritablement d’une question de perceptions et d’attentes préconçues selon le sexe de la personne présentant des symptômes.

Outre ce préjugé, le chercheur de l’Université Winchester, en Angleterre, déplore celui entretenu à l’égard des pratiques en psychiatrie et des traitements contre la dépression.

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Le sucre vilipendé par les spécialistes

On le savait, le sucre n’est pas l’ingrédient le plus bénéfique pour la santé. Ses effets néfastes sont connus partout, à commencer par sa propension à faire prendre des kilos en trop.

Voilà que des chercheurs de la communauté scientifique mondiale attaquent les propriétés du sucre de façon beaucoup plus agressive, le taxant même d’être carrément « toxique ».

C’est ce qui ressort de plusieurs recherches et études, selon ce que rapportent plusieurs sources, dont radio-canada.ca.

Celles-ci tendent à démontrer que la consommation de sucre de façon « chronique », quotidienne, aurait des effets dévastateurs sur la santé. Le sucre peut non seulement vous rendre malade, mais aussi faire varier vos humeurs, augmenter la fatigue ainsi que la faim, et déclencher des maladies chroniques.

Le principal accusé dans cette affaire est le glucose-fructose, un ingrédient artificiel de plus en plus utilisé par les grandes compagnies et multinationales alimentaires de ce monde, entre autres pour ses faibles coûts de production.

On somme la population de réduire le plus possible la quantité de sucre absorbée dans une journée et de bien lire les ingrédients de ce que vous consommez.

On estime que la consommation quotidienne de sucre des Québécois se situe entre 26 et 41 cuillérées par jour!

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Un vaporisateur pour garder les hommes fidèles

C’est toute une découverte que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs tentent d’établir un lien entre un vaporisateur nasal et la fidélité masculine!

Une seule utilisation, simple et rapide, permettrait aux hommes d’assurer leur loyauté pour leur douce moitié, puisque le produit semble les « éloigner » des femmes inconnues et séduisantes.

Impossible? Peut-être pas. Il semble que l’ingrédient actif soit l’hormone d’ocytocine, qui est déjà retrouvée naturellement dans le corps. Elle est d’ailleurs associée aux sentiments d’amour et de confiance.

Produite dans le cerveau (hypothalamus), l’hormone jouerait un rôle prédominant dans le désir de faire des enfants et de créer des liens véritables et solides, chez les couples notamment.

Pour confirmer le tout, les chercheurs ont tenté d’effectuer une étude, dont les résultats ont finalement été publiés dans le The Journal of Neuroscience tout récemment.

Il appert que des 86 hommes hétérosexuels étudiés, ceux qui avaient reçu l’hormone supplémentaire d’ocytocine se tenaient véritablement plus à distance d’une femme-test X, en l’occurrence une chercheuse qualifiée de « séduisante » selon le consensus, que comparativement à ceux qui n’avaient reçu qu’un placebo.

Les chercheurs concluent, au fil des différents tests, que l’ocytocine pourrait véritablement aider les hommes portés vers l’infidélité.