Catégories
Uncategorized

La qualité de l’activité physique plus importante que la quantité

« La qualité est plus importante que la quantité » est un adage vieux comme le monde, et il semble qu’il s’applique également en matière de santé et d’activité physique, rapporte Top Santé.

En effet, selon une nouvelle étude américaine, cibler et varier le type d’exercice et miser sur l’impact de ceux-ci serait plus bénéfique pour la santé que de miser sur la répétition et la durée.

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de l’étude du Skidmore College de Saratoga Springs ont analysé les réactions de trois groupes de sujets volontaires. L’un des groupes ne devait simplement rien faire, le second devait miser sur un programme d’activité physique très intense et fréquent (quatre fois par semaine), alors que le troisième devait varier les types d’exercice et de programmes, mais de façon moins répétée.

Vous aurez deviné que le troisième groupe a bénéficié davantage de ce type de programme, tout en gagnant du temps précieux sur une base hebdomadaire.

« Pour être en bonne santé, il ne faut pas simplement faire plus de sport, mais pratiquer une gamme d’exercices appropriés qui sont bénéfiques et réellement utiles à la forme physique. Mais les résultats de l’étude suggèrent la nécessité de réévaluer les directives de santé dans le monde. En effet, leurs recommandations s’appuient aujourd’hui sur le temps passé à faire de l’exercice par semaine, et non sur les types d’activités physiques pratiquées », résume Paul Arciero, directeur de l’étude.

En ce moment, l’OMS suggère 150 minutes d’activités physiques dites « modérées » par semaine, ou 75 minutes d’activités très intenses.

Catégories
Uncategorized

De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

Catégories
Uncategorized

La France pourrait rembourser le Bacoflène

Le Bacoflène, ce médicament potentiellement capable de traiter l’alcoolisme, pourrait bientôt être remboursé à certains patients utilisateurs en France, selon ce que rapporte Top Santé.

Le Bacoflène génère beaucoup d’intérêt depuis que certains spécialistes ont confirmé ses propriétés contre l’alcoolisme.

Les yeux de plusieurs autorités de la santé sont maintenant tournés vers la France, chef de file en la matière, qui permet la vente du traitement sur son territoire.

Marisol Tournaine, du cabinet de la ministre de la Santé, a laissé entendre qu’un arrêt serait bientôt publié pour se prononcer en faveur du remboursement du traitement, une autre première.

La sécurité sociale pourrait alors rembourser jusqu’à 30 % les utilisateurs du Bacoflène éligibles.

Le Bacoflène est à la base un relaxant musculaire, et s’est avéré efficace dans plusieurs cas de patients alcooliques, ce qui a fait exploser l’intérêt pour cette nouvelle application du traitement, initialement prescrit aux patients atteints de sclérose en plaques.

Catégories
Uncategorized

Des animaux de compagnie qui nuisent au sommeil

Nos petits amis à poils et à plumes pourraient être la cause de sérieux problèmes de sommeil, selon une étude rapportée par Top Santé.

Des chercheurs de la Clinique Mayo ont évalué l’impact des animaux de compagnie sur la qualité du sommeil, et estiment que plus une personne possède d’animaux, plus elle risque de nuire à la qualité de ses nuits.

Selon les données de l’étude, qui analyse les réponses de 110 patients en consultation pour des troubles du sommeil, 46 % d’entre eux possèdent un animal de compagnie, et 42 % plus d’un animal.

« Les patients reçus en consultation se plaignent le plus fréquemment des ronflements de leurs animaux, mais aussi de leurs cris, notamment lorsqu’ils veulent sortir, jouer ou tout simplement lorsqu’ils s’ennuient. Cela cause une perturbation du sommeil, bien sûr, mais aussi de l’irritabilité chez les sujets », signale par ailleurs Dre Loïs Krahn, une psychiatre de la Clinique Mayo.

Cependant, on ne peut jeter l’entièreté du blâme sur ces petites bêtes, puisqu’il est important que le maître prenne ses responsabilités et éduque adéquatement son animal de compagnie, estiment les chercheurs.

Les données de cette étude ont été présentées devant les spécialistes réunis au 29e Congrès annuel de la société des professionnels du sommeil.

Catégories
Uncategorized

Dernier round dans le combat impliquant New York aux boissons gazeuses

Le combat entamé par l’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, contre les boissons gazeuses n’est pas terminé. En fait, la saga entame maintenant sa dernière étape, le dernier round d’une bataille juridique qui pourrait créer des précédents, rapporte le New York Times.

Alors qu’il était toujours maire, Bloomberg s’était publiquement prononcé contre la vente de contenants trop volumineux de boissons gazeuses, pointées du doigt par plusieurs spécialistes en marge de la lutte nord-américaine à l’obésité.

Après avoir été déboutée en Cour suprême, la proposition de la Ville de New York sera maintenant entendue par la Cour d’appel de l’État de New York aujourd’hui (4 juin).

Plusieurs observateurs et défenseurs du projet croient que l’acceptation de la proposition de Bloomberg est indispensable pour que la ville conserve son statut de chef de file en santé. New York a déjà légiféré sur les gras saturés et les cigarettes dans le passé, en plus d’avoir dans son histoire plusieurs décisions majeures du genre ayant sauvé des vies ou améliorer celles de ses citoyens.

Les autorités new-yorkaises ne semblent cependant pas avoir l’appui d’une majorité de citoyens. 60 % des gens seraient en effet en désaccord contre la démarche, selon un sondage.

Catégories
Uncategorized

Nouveau traitement prometteur contre l’Alzheimer

Un nouveau traitement, maintenant considéré comme « prometteur » par les spécialistes, aurait passé une nouvelle étape après des tests concluants effectués sur des rongeurs, dévoile The National Library of Medicine.

C’est un nouveau médicament, le 2-PMAP, qui aurait démontré des effets plus qu’intéressants sur des souris, rapporte cette même source, en coupant de moitié les niveaux de bêta amyloïde.

Cette dernière est la protéine qui serait largement associée au développement de la maladie d’Alzheimer, un fait confirmé par plusieurs autres études et spécialistes depuis un bon moment déjà.

La stratégie derrière ces tests et la création du 2-PMAP est de contrer les effets de l’Alzheimer avant sa progression.

« La clé est de prévenir le processus de la maladie pour éviter qu’il n’aille trop loin. Ce que nous voulons d’un médicament préventif contre l’Alzheimer, c’est qu’il réduise le bêta amyloïde, tout en demeurant sécuritaire à long terme », explique le Dr Martin Sadowski, auteur principal de l’étude et professeur au NYU Langone Medical Center.

D’autres essais sont à prévoir pour tester plus amplement les bienfaits du 2-PMAP.

Les résultats de cette plus récente étude ont été publiés dans la version en ligne des Annals of Neurology.

Catégories
Uncategorized

Les prunes contribueraient à la perte de poids

Les prunes possèdent plusieurs bienfaits reconnus pour la santé et permettraient également de favoriser une perte de poids, de façon directe ou indirecte, rapporte MedicalNewsToday.

C’est une nouvelle étude conduite par des chercheurs de l’Université de Liverpool qui mène à ce constat, alors que celle-ci conclut que l’ajout de prunes dans l’alimentation et au sein d’un régime permet une plus grande perte de poids.

Les chercheurs de l’Institute of Psychology, Health and Society de l’Université de Liverpool ont testé l’impact de l’ajout de prunes au régime alimentaire chez 100 patients considérés comme obèses, sur une période de 12 semaines.

En analysant plusieurs facteurs externes et en déterminant les effets des prunes sur le métabolisme, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que ces fruits permettent bel et bien de favoriser une perte de poids. Les résultats auraient été particulièrement probants lors des quatre dernières semaines de l’essai.

« Il s’agit des premières données qui démontrent une perte de poids et aucun effet secondaire lié à la consommation de prunes dans le cadre d’un programme de contrôle du poids », lance le Dr Jo Harrold, qui dirige l’étude.

En contrepartie, les fruits séchés ne sont pas systématiquement suggérés par les spécialistes dans le cadre d’un régime pour perdre du poids, même s’ils permettent une plus grande satiété, rappelle en terminant cette même source.

Catégories
Uncategorized

Attention aux produits imperméabilisants

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) dévoile les résultats d’une enquête concernant certains produits imperméabilisants retrouvés sur le marché, et qui auraient causé des problèmes de santé à certains consommateurs.

Le Devoir rapporte en effet qu’entre 2012 et 2013, près de 80 appels concernant ces produits imperméabilisants auraient été faits au Centre Antipoison du Québec, la plupart du temps pour des problèmes respiratoires.

Les consommateurs en question risquent cependant de ne pas avoir beaucoup de munitions contre les fabricants de ces produits, car selon le rapport de l’INSPQ, ces problèmes seraient surtout dus à l’inexpérience et au manque de vigilance des utilisateurs.

« En regardant les dossiers, on s’est rendu compte que les utilisateurs ne prenaient pas les mesures de protection recommandée, ou ils ne comprennent pas nécessairement ce que veut dire : “utiliser l’aérosol dans un endroit aéré” », explique Pierre-André Dubé de l’INSPQ.

On rappelle donc aux consommateurs de ces produits de bien lire les directives, de ne pas les utiliser à l’intérieur (maison, tente, etc.) et de demeurer vigilants.

Catégories
Uncategorized

Autre étape de franchie dans le traitement personnalisé du cancer

De plus en plus de spécialistes estiment qu’à défaut de trouver une cure générale pour tous les cas de cancers, il est probable qu’il faille se tourner vers un concept de traitement individuel, spécifique à chaque cas et chaque patient.

Top Santé rapporte le dépôt d’une nouvelle étude en la matière, qui vante elle aussi, à la suite d’essais, les mérites du traitement personnalisé.

Chaque patient et chaque tumeur possédant leur propre profil moléculaire, plusieurs chercheurs croient que l’avenir en matière de traitement du cancer se trouve dans cette démarche.

L’Institut Curie, qui publie cette plus récente étude sur le sujet afin d’effectuer un bilan de ce que les spécialistes appellent « l’essai Shiva », abonde dans le même sens.

« Sur les 100 premiers patients recrutés, la biopsie a pu être effectuée avec succès chez 95 % d’entre eux. Concernant la recherche de mutations, d’amplifications de gène et le dosage des récepteurs hormonaux, un résultat a pu être obtenu dans respectivement 66 %, 68 % et 92 % des cas. Au final, une thérapie ciblée a pu être administrée dans 38 % des cas, et le délai entre la biopsie et la décision thérapeutique a été de 26 jours en moyenne, soit moins de quatre semaines », résume le Dr Christophe.

« L’essai Shiva » a été effectué sur 100 patients au total. On souhaite maintenant poursuivre les recherches en augmentant le nombre de sujets à 900 patients, et ainsi améliorer les résultats de ces essais préliminaires.

D’autres résultats sont attendus d’ici deux ans (2016).

Catégories
Uncategorized

Google Glass fait son entrée en bloc opératoire

C’est fait, les fameuses Google Glass ont fait leur entrée au bloc opératoire, alors que plusieurs hôpitaux ont tenté l’expérience au cours des derniers mois, rapporte le New York Times.

C’est le cas du Dr Selene Parekh, un chirurgien orthopédique du Centre Medical Duke, et du Dr Oliver J. Muensterer, un chirurgien pédiatrique.

Même si l’on rapporte ces cas comme des premières, il semble que certains chirurgiens utilisent la technologie Google Glass depuis un bon moment, de façon plus ou moins officielle.

Le Dr Oliver J. Muensterer, quant à lui, a récemment publié les résultats de ses expériences avec les lunettes de Google.

Les commentaires des chirurgiens sur les Google Glass sont assez unanimes. On estime que la technologie sera utile en santé au cours des prochaines années.

« Peut-être pas cette version, mais une version développée dans le futur et spécialement conçue pour les soins de santé, avec tous les problèmes corrigés », précise le Dr Muensterer.

Les Google Glass permettent notamment d’enregistrer et de partager les données et informations d’une opération, bénéficiant aux autres spécialistes de partout dans le monde. Au final, les applications médicales des Google Glass semblent infinies pour plusieurs médecins, dont celle de sauver des vies par une meilleure analyse des premiers répondants. 

Un dossier fascinant à suivre, qui n’en est qu’à ses balbutiements. Voyez le rapport du Dr Muensterer.