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Une controverse signée Nutella

Les études et rapports concernant la populaire tartinade chocolatée Nutella lui font connaître des moments éprouvants depuis quelques mois, alors que ses vertus sont remises en question.

D’abord attaqué pour le nombre de calories qu’il contient, le Nutella est maintenant ciblé pour une nouvelle raison : l’huile de palme dans sa liste d’ingrédients.

C’est que de nouveaux rapports viennent d’être publiés concernant cette huile, rapporte topsante.com, et ils ne sont pas très positifs.

C’est que l’huile de palme est bourrée de gras saturés, extrêmement néfastes pour la santé. Plusieurs pays songent d’ailleurs à instaurer une nouvelle taxe sur tous les produits qui renferment de l’huile de palme.

C’est le cas du Nutella, dont l’image positive commence à en prendre pour son rhume. Selon les spécialistes, il serait trop huileux, beaucoup trop gras, trop calorique et trop sucré.

La polémique concernant l’huile de palme s’ajoute donc à la mauvaise presse du produit.

Et qu’en est-il des « bons » ingrédients contenus dans le Nutella, dont les publicités nous vantent les mérites? Les chiffres parlent de 13 % de noisettes, 7 % de cacao en poudre et 6 % de lait écrémé en poudre, ce qui s’avère très peu pour contrebalancer les ingrédients plus néfastes que contient le produit.

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Le soccer peut-il causer des dommages au cerveau?

Le soccer peut-il causer des dommages au cerveau? C’est une question que se sont posée des chercheurs allemands récemment, et qui a mené à une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte les conclusions de ces recherches étonnantes, mais importantes, concernant un sport de plus en plus populaire à travers le monde, notamment en Amérique du Nord.

Les chercheurs du laboratoire de psychiatrie et neuro-image de la Harvard Medical School, Dre Inga Koerte en tête, expliquent : « Nous avons utilisé les systèmes d’imagerie par résonnance magnétique les plus sophistiqués pour enquêter sur la matière blanche du cerveau des joueurs de soccer professionnels qui n’avaient pas d’antécédents de blessure à la tête ou de commotion cérébrale ».

« Nous avons comparé les résultats à ceux de nageurs professionnels et avons constaté que oui, il y a des variations au niveau du cerveau. Ces changements ont aussi été observés chez d’autres sportifs qui pratiquent des sports de contact. Ils sont subtils, mais ils sont là. Il est difficile de dire quels seront les impacts de ces changements, mais ils sont observés dans des régions importantes pour la mémoire et l’attention, notamment. »

Ces résultats étaient publiés dans le Journal of the American Medical Association. D’autres études sont attendues sur le sujet.

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Les blessures à la tête et les pesticides en cause dans certains cas de Parkinson

Deux facteurs qui n’ont à première vue aucun lien entre eux sont pointés du doigt pour leur rôle possible dans le développement de la maladie de Parkinson, selon www.nlm.nih.gov.

Il semble que ce soit la combinaison de ces deux caractéristiques qui soulève l’inquiétude des spécialistes. En effet, l’exposition à des pesticides, doublée à d’un antécédent de blessure à la tête, serait une porte ouverte pour la maladie de Parkinson.

Selon les chercheurs à la tête de cette récente étude, il n’y a toujours aucune preuve directe de ce qu’ils avancent, mais la compilation des données de plusieurs études précédentes sur le sujet indique une cause à effet possible.

L’historique familial en matière de santé et d’autres facteurs environnants peuvent aussi, et doivent, être pris en considération.

James Bower, un neurologiste de la clinique Mayo, au Minnesota, qui n’a pas participé à cette étude, la commente : « Je crois que nous commençons à réaliser qu’il n’y a pas qu’une seule raison majeure en cause dans le développement de la maladie de Parkinson. Il pourrait y avoir plusieurs chemins qui mènent à l’ultime développement de la maladie ».

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L’importance de choisir des viandes maigres

La polémique entourant la viande rouge est de plus en plus agressive, et nombreux sont ceux et celles qui décident carrément de passer au végétarisme.

www.nlm.nih.gov mentionne qu’il est possible d’intégrer sainement les viandes à son alimentation, et qu’elles ont certaines propriétés bénéfiques. Toutefois, on rappelle à la population l’importance de choisir une viande maigre, au détriment des viandes plus grasses.

Pourquoi? Bien, pour les chercheurs de l’University of Michigan Health System, il appert que les caractéristiques de la viande plus grasse viennent justement contrecarrer les effets bénéfiques de la consommation de viande, comme celle du bœuf.

La viande maigre procure par ailleurs des protéines dites « complètes », et est une excellente source de vitamine B, particulièrement la B-12. De plus, elle contient des apports en fer qui sont indispensables pour l’organisme.

C’est au niveau des gras que la partie se joue, et se gagne. La viande maigre comprend moins de gras saturés, franchement néfaste pour la santé. Les spécialistes rappellent d’ailleurs les effets néfastes des gras saturés et trans à la population de façon agressive, depuis quelques années.

On suggère aussi de limiter sa consommation de viandes rouges à quelques portions par semaine.

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Discuter de la fin de vie mènerait à des traitements moins agressifs

Les patients en phase terminale, comme ceux atteints du cancer, seront moins enclins à opter pour des traitements agressifs en fin de vie s’ils ont des discussions ouvertes sur le sujet.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les propos d’une étude récente sur le sujet. On parle entre autres de l’importance du lien patient-médecin, et de celle de bien communiquer.

Ainsi, plusieurs patients en fin de vie laisseront tomber les traitements qui n’ont pour but que de leur ajouter quelques jours, mais qui n’améliorent pas leur situation ou qui ne leur procurent pas de soulagement réel. De telles méthodes acharnées sont par ailleurs onéreuses.

La Dre Jennifer Mack, auteure principale de l’étude et médecin au Dana-Farber Cancer Institute de Boston, explique : « Les soins agressifs individuels en fin de vie ne sont pas nécessairement mauvais. C’est juste que la plupart des patients qui acceptent le fait qu’ils sont en train de mourir ne veulent souvent plus recevoir ce type de traitement. Nous devrions nous assurer que de bonnes discussions sur le sujet ont lieu rapidement après un diagnostic de cancer incurable ».

L’étude analysait les cas de 1231 patients en phase terminale et note que les discussions à cet effet ont souvent lieu trop tard.

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Stanford à la rescousse des gens aux prises avec des problèmes de poids

L’Université Stanford annonce qu’elle croit être en mesure de venir en aide aux gens qui désirent conserver leur silhouette après avoir perdu du poids, affirme topsante.com.

Les chercheurs se sont principalement attaqués au problème de « l’effet yo-yo », c’est-à-dire le phénomène remarqué chez certaines personnes qui arrivent à perdre du poids, mais qui le reprennent aussitôt.

Non seulement la perte et la prise de poids rapide ne sont pas bonnes pour la santé, il s’agit d’un comportement qui risque de décourager la personne en surpoids de tenter d’en reperdre.

L’étude publiée par ces chercheurs en décevra sans doute plusieurs, alors que celle-ci ne produit pas de solution miracle. Simplement, on parle d’utiliser son gros bon sens.

Et voilà que repart la même chanson : manger plus de légumes, manger moins, noter ses repas et ses apports caloriques dans un grand livre, faire de l’exercice.

Si l’on constate que les mesures proposées ne changent guère, les chercheurs suggèrent toutefois aux gens en surpoids de prendre de nouvelles habitudes alimentaires et de vie avant de commencer un régime ou un programme d’exercice.

Pour eux, il faut être prêt mentalement avant de l’être physiquement.

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Les enfants qui subissent de la violence ont une moins bonne santé une fois adultes

Des chercheurs ont d’abord émis comme hypothèse que le stress vécu durant l’enfance modifiait la réponse au stress, ce qui, à long terme, exposait davantage les individus à la maladie.

130 personnes, âgées de 65 ans en moyenne, ont été interrogées sur des événements éprouvants vécus récemment, mais aussi durant leurs premières années de vie. Des échantillons sanguins ont ensuite été prélevés pour évaluer trois marqueurs biologiques.

Les gens qui avaient vécu de la violence durant leur enfance et avaient été stressés récemment avaient un niveau deux fois plus élevé d’un marqueur appelé IL-6, comparativement aux gens qui n’avaient pas été maltraités, même s’ils avaient aussi vécu un stress récent.

Le professeur en psychologie Jean Philippe Gouin a expliqué que « si la production de marqueurs inflammatoires comme le IL-6 est essentielle à la lutte contre les infections, une surproduction peut entrainer le développement de troubles. Une production exagérée peut donc donner lieu à un état physiologique qui, au fil des ans, augmente le risque de maladie cardiovasculaire ».

L’étude a été publiée dans Annals of Behavioral Medicine.

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Les antibiotiques, pas toujours la meilleure solution?

www.cdc.gov nous fait réfléchir au choix de traitement concernant certains virus et maladies, insistant sur le fait que les antibiotiques ne sont pas toujours la meilleure solution.

D’entrée de jeu, on nous rappelle que les antibiotiques ne combattent pas réellement les infections causées par les virus comme celui de la grippe. Même chose pour les problèmes de gorges irritées et certaines infections de l’oreille.

De plus, le traitement déficient par antibiotiques peut mener à d’autres problèmes, plus graves cette fois. Il est aussi possible de développer une résistance à ce type de médicament et ainsi nuire à un traitement éventuel dont vous auriez réellement besoin.

Le centre de santé américain propose plutôt de se concentrer à réduire et calmer les symptômes que de tenter d’enrayer un virus par des antibiotiques.

Bien sûr, l’arrivée de l’hiver procurera grippes et rhumes en série aux citoyens des États plus nordiques d’Amérique, mais les spécialistes veulent mettre en garde contre la tentation d’aller vers les antibiotiques, une solution expéditive.

L’avertissement vaut pour les médecins et praticiens qui, selon l’organisme, n’hésitent pas à prescrire de tels traitements, parfois à tort.

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Penélope Cruz se joint à Campari pour sa campagne 2013

La séduisante actrice Penélope Cruz a accepté de se joindre à Campari pour sa nouvelle campagne 2013, annonce www.rtl.be.

C’est par l’entremise du calendrier annuel de Campari que Cruz permettra d’augmenter la visibilité de la prestigieuse marque d’alcool. En effet, elle a accepté de poser pour le photographe Kristian Schuller, qui s’occupe cette année du calendrier promotionnel de la compagnie.

Parions qu’ils (ou elles) seront plusieurs à se le procurer, Penélope Cruz demeurant l’une des personnalités les plus sexy de la planète. Cette dernière se dit d’ailleurs ravie qu’on lui ait demandé sa collaboration.

« J’ai adoré mon rôle dans le calendrier Campari. Je trouve que le thème (13, la superstition) est fascinant. C’est vraiment agréable de collaborer avec une équipe aussi talentueuse et professionnelle, spécialement avec Kristian Schuller », déclarait candidement l’actrice.

Cruz fait donc maintenant partie d’un club très sélect au sein de Campari, dont font partie Salma Hayek, Milla Jovovich et Jessica Alba, pour ne nommer que celles-là. Elles ont toutes posées pour le fameux calendrier au fil des dernières années.

L’édition 2013 sera imprimée en 9999 exemplaires seulement, toujours selon la ligne directrice artistique, la superstition.

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Le secret de la minceur dans les légumes et féculents

e-sante.fr rapporte que les légumes et féculents pourraient détenir les secrets de la minceur, en plus d’un corps en santé.

Les recherches rappellent d’abord la forte teneur en eau des légumes, qui n’apporte non seulement que très peu (pas) de calories, mais crée aussi un phénomène de « coupe-faim ».

Vous aurez donc moins envie de vous gaver de sucreries ou de prendre des collations si vous augmentez vos portions de légumes.

Pour ce qui est des féculents, que l’on retrouve notamment dans le pain, le riz, les pâtes, le maïs, les pommes de terre et certains légumes, ils apportent une belle combinaison de fibres et de glucides à l’organisme. Ce taux permet aussi de bien rassasier, sans un grand apport calorique.

Ceci contrecarre les théories concernant les effets négatifs du pain sur la minceur. On suggère d’en consommer surtout le matin, au lieu des céréales remplies de sucre.

Non seulement ces aliments sont excellents pour la santé, mais ils seraient deux piliers dans la guerre aux kilos, semble-t-il. Les légumes et féculents permettent aussi d’abaisser les risques de plusieurs maladies.