Catégories
Uncategorized

Contrer les effets des sucreries à l’Halloween

L’Halloween est arrivée et cette année encore, elle sera l’instigatrice de soirées endiablées, de contes lugubres et de gavages de bonbons et sucreries en tous genres.

Alors, comment éviter de trop abîmer ses dents ou de développer des caries à la suite de ce festival de la friandise? Voici quelques trucs, qui s’appliquent aussi tous les autres jours de l’année.

D’abord, selon plaisirsante.com, il serait bénéfique d’attendre à la fin des repas pour manger des sucreries. Il appert que la salive plus abondante à ce moment permet de neutraliser certains effets néfastes des bonbons pour les dents.

On suggère également de manger un morceau de fromage ferme après avoir craqué pour un plat sucré! Étonnant, mais les spécialistes affirment que le calcium et le phosphore contenus dans le fromage ferme aident à protéger les dents.

De plus, il faudrait éviter les friandises dites « molles », qui risquent de se coincer entre les dents. Bien sûr, on rappelle également l’importance du brossage quelques fois par jour, et spécialement en cette période de l’année!

Il est particulièrement important, concluent les experts, de se brosser les dents avant d’aller au lit.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Nouveau test de dépistage du VIH et du cancer de la prostate

Un prototype de test de dépistage vient de voir le jour et il semble fort prometteur, selon ce qu’affirme santelog.com.

De plus, il serait facile d’accès et peu onéreux, ce qui pourrait le rendre efficace non seulement pour aider les gens sur notre continent, mais aussi ceux qui vivent dans des pays moins bien développés.

Ainsi, le test de dépistage permet de déceler rapidement des stades précoces du VIH et du cancer de la prostate, et ce, à l’œil nu! Des indicateurs colorés apparaitraient sur la peau lorsque le procédé est effectué, permettant de prévenir rapidement les praticiens de la présence de ces maladies.

Il s’agit d’un système de nanoparticules d’or qui, au contact d’un bio-marqueur, permet de voir les résultats presque instantanément. Les chercheurs à l’origine de ce test avançaient, lors de la parution d’un article dans le magazine scientifique Nature Nanotechnology, que ce système est dix fois plus performant que les modes de dépistage actuels.

Voilà une excellente nouvelle pour les praticiens de partout, et spécialement pour ceux qui doivent travailler dans des zones plus pauvres, où le matériel et les ressources sont parfois limités.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits de la pomme

Si vous êtes un fan de la pomme et que vous êtes du genre à faire le plein de ce fruit chaque automne, sachez que c’est une excellente habitude.

Pour ceux qui en auraient assez de croquer des pommes, ou encore ceux qui détestent les fruits, voici quelques raisons qui vous pousseront peut-être à vous réconcilier avec cet aliment.

D’abord, à l’aube de l’Halloween et du gavage de friandises en règle, sachez que la pomme est une arme redoutable dans la prévention de la carie. Il vous sera peut-être difficile de convaincre vos enfants, par contre.

Ensuite, selon plaisirsante.com, la pomme permettrait également de stimuler et de conserver la mémoire, grâce à la quercétine, un antioxydant qu’elle contient.

Aussi reconnue pour ses vertus anti-cancer, la pomme est l’ennemi de plusieurs maladies graves. Les problèmes cardio-vasculaires, entre autres, sont aussi minimisés statistiquement en consommant des pommes quotidiennement (le raisin possèderait également des qualités similaires).

« Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours ». Cette expression est tout à fait juste, les recherches indiquant que les chances de développer des problèmes vous menant chez le médecin sont réduites de 27 % si vous mangez des pommes de façon régulière

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net
Catégories
Uncategorized

L’aspirine pourrait contrer les effets du vieillissement du cerveau

Les vertus de l’aspirine sont déjà bien connues des gens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires, ou qui souhaitent simplement prévenir des problèmes cardiaques, comme un AVC.

Mais voilà qu’une nouvelle étude suédoise propose l’idée que l’aspirine pourrait également être bénéfique pour soutenir le cerveau lors du vieillissement, contrant ainsi certains effets dommageables.

C’est en tout cas ce que rapporte le site nim.nih.gov, qui parle de ces bienfaits lors d’une prise quotidienne, toujours selon l’étude. Cette dernière a par ailleurs été effectuée sur 700 femmes de 70 à 92 ans, dont la plupart étaient déjà traitées pour des problèmes cardiaques divers.

Celles qui ont absorbé de petites doses d’aspirine de façon quotidienne auraient démontré un déclin mental moins important que celles qui n’en prenaient pas, sur une période totale de cinq ans.

Des tests de mémoire, de capacité verbale, et autres défis ont été utilisés pour en venir à ces conclusions. Les résultats sont clairs : les femmes utilisant l’aspirine ont démontré moins de perte de capacité cérébrale, certaines voyant même leurs scores (aux tests) augmenter!

Le Dr. Richard Isaacson, auteur en chef de l’étude, déclare : « Ce qui est bon pour le cœur est souvent bon pour le cerveau. »

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Survivre à l’automne : la luminothérapie à la rescousse

Si vous êtes de ceux et celles qui ressentent férocement les effets de l’automne et du manque progressif de lumière qui s’ensuit, c’est peut-être le moment de découvrir la luminothérapie.

Vous en avez entendu parler, mais cela ne vous semble pas utile? Sachez que si vous faites partie du 5 % qui se dit victime de dépression saisonnière, il s’agit sûrement de votre meilleure solution.

D’abord, il faut comprendre que les fatigues, somnolences et impressions de ralenti que vous ressentez en automne et en hiver sont souvent dues au fait que le corps sécrète de la mélatonine lorsque l’on ferme les yeux ou que la lumière est très basse. Le corps entre alors en mode « veille ».

Certaines personnes sont plus sensibles à ce phénomène, et c’est pourquoi ces cas sont tout indiqués pour une séance de luminothérapie.

D’abord, il vous faudra vous procurer une lumière spéciale, blanche, qui filtre les ultraviolets. Les infrarouges sont aussi bénéfiques.

Pour un effet maximal, topsante.com parle d’une séance quotidienne de 30 minutes par jour, tout au long des saisons froides. Les spécialistes ajoutent que d’effectuer le traitement le matin serait plus efficace que de le faire le soir.

Catégories
Uncategorized

Les jeunes conviés à surveiller leur taux de cholestérol eux aussi

Les jeunes adultes et les adolescents devraient déjà commencer à surveiller leur taux de cholestérol dans le sang, propose une étude rapportée par www.nim.nih.gov.

Plutôt que d’attendre à plus tard, lorsque les problèmes surviennent, les chercheurs suggèrent aux plus jeunes de faire du dépistage à cet effet, ce qui n’est pas sans soulever la controverse parmi la communauté scientifique et le public.

Les conclusions, publiées dans le Journal of the American College of Cardiology, tendent à conclure que les mutations naturelles encourues lors du vieillissement normal du corps prendraient une tangente de bonne santé cardiaque lorsque le mauvais cholestérol dans le sang demeure bas toute sa vie.

On affirme que les risques de problèmes cardiovasculaires sont réduits de trois fois par rapport à ceux qu’encourent les gens sous médication pour contrôler le cholestérol.

Mieux vaut prévenir que guérir, donc, est une maxime qui ne s’est jamais aussi bien appliquée que pour cette situation.

Les maladies cardiaques demeurent la principale cause de mortalité à travers le monde et sont responsables du tiers des décès aux États-Unis seulement.

Catégories
Uncategorized

Gagnez 10 ans d’espérance de vie en arrêtant de fumer avant 35 ans

Si votre espérance de vie vous importe et que vous aimez les statistiques, cette nouvelle étude rapportée par topsante.com est pour vous.

Ciblant d’abord et principalement les femmes, sachez qu’elle s’applique également aux messieurs.

Donc, cette étude britannique dévoilait récemment des chiffres démontrant que l’arrêt du tabagisme avant la quarantaine pouvait entrainer un gain de neuf années supplémentaires chez les femmes, et même dix pour une personne qui arrête avant 35 ans.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont étudié les cas de 1,2 million de femmes recrutées entre 1996 et 2001, puis suivies jusqu’en 2011.

Le constat est évident pour le coauteur de l’étude, Richard Peto, de l’Université d’Oxford, qui déclare : « Qu’ils soient hommes ou femmes, les fumeurs qui arrêtent de fumer à un âge moyen vont gagner en moyenne 10 ans de vie ».

Le nombre de cigarettes par jour est également un facteur, selon le chercheur, une statistique que l’on entend de moins en moins récemment.

La courbe graphique de cette étude massive est on ne peut plus claire : plus on arrête le tabagisme tôt dans sa vie, plus le gain sur l’espérance de vie est élevé.

Catégories
Uncategorized

Des boissons énergies qui cachent la vérité

Certaines marques de boissons énergisantes vendues sur le marché ne seraient pas toujours tout à fait honnêtes avec le consommateur, rapporte www.nlm.nih.gov, par le biais d’une étude.

C’est que les taux de caféine contenus dans ces boissons ne sont pas toujours divulgués, et quand ils le sont, les chiffres ne seraient pas toujours exacts. Voilà qui n’est pas rassurant.

Le magazine Consumer Reports publie donc que 11 des 27 plus grandes marques de boissons n’inscrivent pas le taux de caféine retrouvé dans le produit, et que des 16 qui l’inscrivent, 5 en contiennent plus qu’indiqué… une « erreur » de parfois 20 %.

Cette étude tombe à pic, puisque cinq cas de décès ont été rapportés récemment à la suite d’une consommation de boissons de type énergisantes. C’est la marque Monster qui a cette fois été pointée du doigt.

Lorsque testées, plusieurs boissons bien connues renfermaient des taux de caféine ahurissants, semant la consternation chez les chercheurs. Des lois souples en matière d’étiquetage et de publication d’élément nutritionnels sur ces produits sont à l’origine du problème.

On conseille fortement de limiter la consommation de ces produits à un ou deux par jour.