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Quatre habitudes clés pour vieillir en beauté

Intégrer quelques habitudes de vie saines à son quotidien lorsqu’on commence à vieillir pourrait bien augmenter les chances de le faire en beauté, mieux et plus longtemps.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude qui abonde en ce sens.

Et seulement quatre étapes ou habitudes pourraient changer le portrait de votre avenir, et de votre santé. Vous devinez sans doute de quelles habitudes il s’agit, puisqu’on nous les martèle depuis le tournant du nouveau millénaire : l’exercice, cesser de fumer, boire avec modération et manger des fruits et légumes.

Rien de nouveau sous le soleil, mais un simple rappel que ces petits gestes, si parfois agaçants, peuvent vous aider à vieillir en beauté. Cette étude anglaise a suivi 5100 participants, des hommes et des femmes âgés de 42 à 63 ans, sur une période de 16 ans.

Du nombre, 550 sont malheureusement décédés, 950 ont été classés comme « vieillissant bien », et le reste comme « vieillissant normalement ».

Les conclusions sont claires, ces quatre habitudes (exercice, alcool, cigarette et fruits et légumes) peuvent jouer un rôle direct sur votre santé à venir.

L’étude est basée sur des gens de plus de 40 ans, alors si vous êtes plus jeune, ceci vous concerne tout autant. Il est temps de commencer à penser tout de suite à faire quelques changements, pour mettre toutes les chances de votre côté. Plus les comportements sont adoptés tôt, plus ils ont de chance d’être efficaces.

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L’eau en bouteille : un choix pas si évident

S’il semble simple de choisir une eau embouteillée lorsqu’on fait son marché, on constate en regardant de plus près que les options sont nombreuses et varient selon le type et la marque.

Donc, quel type d’eau choisir? Voici quelques informations pertinentes à ce sujet, entre autres rapportées par Conseilsnutrition.tv.

D’abord, plusieurs voudront sans doute faire un choix local et acheter de l’eau québécoise. C’est possible de le faire, en optant pour les bouteilles Amaro, Labrador ou Aqua Nature, par exemple.

Maintenant, différents types d’eau s’offrent à vous. Le bon choix dépend de vos besoins et de vos goûts, bien entendu. Ainsi, si vous souhaitez faciliter votre digestion, les eaux pétillantes ou gazéifiées sont indiquées, de même que certaines eaux minérales.

Pour les gens aux prises avec des problèmes aux os ou un manque de calcium, certaines eaux qui contiennent de hauts taux de magnésium et de calcium existent sur le marché.

Finalement, la bonne vieille eau de source conventionnelle vient elle aussi avec son lot de choix et de marques. Après avoir fait votre choix en matière de type d’eau, ce n’est plus qu’une question de goût personnel!

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Les interactions entre médicaments et suppléments à éviter

Les gens qui consomment des médicaments d’ordonnance sont de plus en plus nombreux, et la mode des suppléments alimentaires atteint son paroxysme. S’il n’y a aucun problème dans le fait que les gens se soignent ou s’occupent de leur organisme, certains peuvent survenir lorsqu’on mélange les deux.

C’est ce qu’affirme une étude chinoise que rapporte santelog.com. Ainsi, les spécialistes s’inquiètent d’un nouveau phénomène lié aux interactions entre médicaments et suppléments alimentaires, comme les vitamines en capsule.

Les chercheurs chinois ont étudié 54 articles et 31 études afin de déterminer les effets néfastes possibles de ces interactions. De façon plus précise, on cible les gens traités pour des problèmes neurologiques et cardiovasculaires, ainsi que les consommateurs de médicaments et suppléments contenant du millepertuis, du magnésium, du calcium, du fer ou du ginkgo.

Les résultats tendent à confirmer les craintes de l’équipe de chercheurs. Quelque 882 interactions potentiellement risquées ont été dénombrées. Les principes actifs warfarine, insuline, digoxine et ticlopidine sont des éléments cernés, et il faudrait éviter de les mélanger avec des suppléments.

Des contre-indications sont aussi émises dans le cas de la graine de lin, de l’échinacée et de la yohimbine.

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Boeuf contaminé : le bilan

Le Canada a connu l’un de ses pires épisodes de viandes contaminées de son histoire récemment, entre autres avec la fermeture temporaire de XL Foods.

La bactérie E. Coli a beaucoup fait parler d’elle dans les médias dans les dernières semaines, et la population est en droit de se demander si la consommation de bœuf est redevenue sécuritaire.

Selon extenso.org, le premier problème réside dans le fait qu’il n’existe pas de processus uniforme de suivi des bovins au Canada. Seul le Québec tient des données concernant chaque animal, tout au long de sa vie, afin d’assurer un contrôle de qualité supérieur.

Cependant, malgré tout, lorsqu’une bête est abattue, on perd facilement la trace de la suite des choses. On ne sait pas exactement où se retrouvera une pièce de bœuf après la découpe, ce qui rend impossible le suivi. C’est exactement ce qui s’est produit dans le cas de XL Foods, qui possède un volume de production imposant.

Bien qu’il soit impossible d’enrayer le phénomène complètement et à jamais (même en devenant végétarien, des cas de toxi-infections ayant déjà été rapportés dans des fruits et légumes), on suggère néanmoins de revoir ses habitudes alimentaires (moins de viande, manger bio, etc.) et d’être très vigilant.

N’hésitez pas à questionner votre épicier ou votre boucher local pour connaître l’origine de vos viandes.

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Les Canadiens s’alimentent mal

Les habitudes alimentaires des citoyens du Canada sont pointées du doigt dans un rapport, selon lapresse.ca.

Ce dernier, intitulé Les adultes canadiens comblent-ils leurs besoins en nutriments uniquement grâce à l’alimentation?, publié par Santé Canada, tenait à déterminer si les Canadiens mangent suffisamment bien pour combler tous les besoins de leur organisme.

Et il semble que non, puisque les résultats placent le régime alimentaire canadien moyen au box des accusés. Manque de calcium, de magnésium, de vitamines A et D, bref, la liste des déficiences alimentaires au pays est longue.

Et ce serait vrai pour plus de la moitié des jeunes Canadiens (19 ans et moins) ainsi que pour 39 % des adultes.

Ainsi, si l’on se voit dans l’incapacité de suivre un régime alimentaire équilibré, on suggère aux citoyens de se doter de suppléments, après avis médical. Des tests permettent de déterminer les carences de l’organisme, qui varient selon l’individu.

Santé Canada urge les citoyens de consommer plus de produits laitiers, de poissons, de légumes, de fruits, de volailles et de fruits de mer.

Le rapport décrit une situation fort décevante pour un pays à l’avant-plan au niveau économique mondial.

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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

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Votre corps peut-il pressentir l’avenir?

De récentes recherches tendent à démontrer que le corps possède la capacité de ressentir des événements qui sont sur le point de se produire, avance www.nlm.nih.gov.

Il semble que le cerveau n’aurait rien à y voir, le corps possédant des facultés qui lui sont propres. Ce sont les conclusions des chercheurs de la Northwestern University, qui ont analysé 26 études publiées sur le sujet entre 1978 et 2010.

« S’il a déjà été démontré que le subconscient en sait souvent plus que le conscient, il reste à déterminer si les humains ont la capacité de prédire l’avenir sans aucun indice préalable. Notre analyse démontre que si vous êtes au diapason parfait avec votre corps, il vous est possible de pressentir certains changements ou événements à survenir prochainement », explique Julia Mossbridge, chercheuse associée au laboratoire de neuroscience et de perceptions cognitives de la Northwestern University.

Elle ajoute, à la blague, que ce système pourrait même vous permettre de prédire quand votre patron franchira la porte de votre bureau, et ainsi vous donner le temps de fermer le jeu vidéo que vous êtes en train d’essayer au lieu de travailler.

Plusieurs personnes sont capables de pressentir certains événements, mais la spécialiste se garde de crier à la clairvoyance. Elle préfère appeler le phénomène « activité anticipatoire », précisant que plusieurs études restent à faire pour tirer des conclusions claires sur ce trait du corps humain.

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Comprendre l’effet placebo

L’effet placebo, soit la faculté de guérir par un médicament ou un remède qui n’en est pas un réellement, est l’un des mystères médicaux qui fascinent le plus.

Comment une pilule qui n’en est pas une peut-elle soigner? Comment un patient peut-il se croire traité alors qu’il ne l’est pas?

Des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center(BIDMC) et de la Harvard Medical Schoolont tenté de répondre à ces questions, et bien d’autres, concernant le mystère entourant « l’effet placebo », rapporte www.nlm.nih.gov.

Utilisée constamment dans des cliniques et centres pharmacologiques à travers le monde, la méthode du placebo permet entre autres de vérifier les effets d’un médicament sur un groupe de personnes en les comparant avec un autre qui reçoit un placebo.

Pourquoi certaines personnes réagissent alors comme si elles recevaient un médicament véritable? La réponse pourrait se trouver dans le bagage génétique de chaque individu. Certains, par exemple, produiraient plus de dopamine, ce qui contribue à hausser la réponse de ceux-ci devant un placebo.

On appelle ces gens des « placebos-répondeurs », et ces derniers pourraient jouer un rôle majeur dans la conception future de certains essais cliniques. Les chercheurs pensent que l’on pourra bientôt prédire quelles personnes sont des « placebos répondeurs ».

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Les amateurs de thé vert mieux protégés contre le cancer

Les amateurs de thé vert seraient mieux protégés contre le cancer, affirme une étude reprise par www.nlm.nih.gov.

Ce serait particulièrement vrai pour les femmes plus âgées qui en boivent régulièrement. Les risques pour cette tranche de la population, en consommant du thé vert, diminueraient considérablement en ce qui a trait aux cancers du côlon, de l’estomac et de la gorge

Les recherches, effectuées sur des femmes originaires de la Chine, démontrent que celles qui boivent du thé ont 14 % moins de chances de développer une de ces maladies, contrairement à celles qui n’en boivent pas.

Si les résultats semblent évidents, les chercheurs tiennent à mettre un bémol sur la question, puisque selon eux, les gens qui sont amateurs de thé sont aussi généralement plus conscients de leur santé en général. D’autres facteurs sont donc peut-être à considérer.

Malgré tout, selon le Dr Wei Zheng, chef du département d’épidémiologie de la Vanderbilt University School of Medicine de Nashville, les vertus du thé en matière de prévention du cancer sont tout de même prouvées et claires.

Il est donc suggéré d’intégrer cette boisson à notre régime alimentaire, même si l’effet de causalité n’est pas démontré entièrement.

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Les noix : des alliées dans la guerre contre le diabète

Les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent compter sur les noix comme alliée pour aider à maitriser les effets de cette terrible maladie.

En effet, selon extenso.org, la consommation de noix permet de diminuer le taux de LDL dans le sang, soit le mauvais cholestérol. On reconnait aussi une hausse probable du taux de bon cholestérol.

Les noix sont déjà recommandées aux patients aux prises avec des problèmes cardiovasculaires.

Partant de là, des spécialistes ont voulu vérifier les effets bénéfiques des noix sur des patients atteints de diabète, entre autres afin de tenter de maitriser les niveaux de sucre dans le sang.

L’étude, provenant de l’Université de Toronto, en Ontario, analyse les dossiers de 24 patients, dont 10 diabétiques et 14 en pleine santé. On a alors comparé les effets de la consommation de noix sur l’organisme à court terme.

Agissant sur le système gastrique, les matières grasses des noix ont en effet semblé agir sur les taux de sucre des sujets. Cependant, le principe a mieux fonctionné chez les sujets dits « normaux ».

Plusieurs autres facteurs viennent faire varier les données et résultats, mais il semble que la théorie de base s’avère exacte.