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Un examen du côlon plus simple et aussi efficace pour les femmes

Les femmes de moins de 70 ans ont un risque plutôt faible de voir apparaître une grosseur anormale dans la partie supérieure du côlon, suggère une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ainsi, toujours selon les chercheurs de l’étude, plusieurs femmes pourraient opter pour des tests de dépistage du cancer du côlon plus simples, moins intrusifs et tout aussi efficaces.

Même si plusieurs autres types de tests sont offerts, et même si les spécialistes américains ne recommandent une colonoscopie que tous les dix ans pour les femmes âgées de 50 ans et plus (en plus d’autres tests sporadiques), il semble que le choix de prédilection dans le domaine demeure le plus invasif et onéreux.

Thomas Imperiale, un gastro-entérologue de l’Université de l’Indiana, met en garde contre ce choix. Selon lui, les gens croient trop aisément que de subir une colonoscopie est suffisant, et qu’aucun autre test n’est nécessaire.

Il explique : « Plusieurs personnes ne subissent aucun autre test de dépistage du côlon, car ils croient qu’une colonoscopie est suffisante et indispensable. Il existe d’autres avenues ».

Ainsi, il est suggéré d’en discuter avec son médecin, afin de trouver les meilleures solutions de dépistage pour vous.

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Statistiques alarmantes de consommation chez les adolescents

La plus récente étude de l’Institut de la statistique du Québec concernant les habitudes de consommation diverses de nos adolescents renferme certaines statistiques alarmantes, rapporte radio-canada.ca.

D’abord, les chiffres sont toujours élevés en matière de surplus de poids, quoi que la courbe de progression, elle, ait ralenti.

La drogue, l’alcool et les produits du tabac sont toujours aussi prisés par la jeunesse québécoise, bien que l’on n’enregistre pas de hausse massive récente.

Il faut aussi noter qu’il s’agit de la première étude d’importance du genre dans le domaine, et qu’il est difficile de comparer avec des données précédentes, recueillies par d’autres méthodes. Ainsi, même si l’on semble constater que les courbes de progression sont stables, les chiffres n’en demeurent pas moins très élevés, surtout pour de jeunes humains encore en croissance.

En voici quelques-uns : 1 adolescent sur 5 présenterait des problèmes de poids (surplus), alors que la moitié (49 %) affirme ne pas être à l’aise avec son apparence corporelle.

En matière de consommation, l’alcool semble être le choix de prédilection du groupe visé, avec un taux de 60 % des répondants qui affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois.

La drogue fait partie de la vie du quart des répondants, qui avouent en avoir consommé dans l’année en cours. La marijuana est encore le choix numéro un des amateurs de stupéfiants dans nos écoles.

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Le manque de calcium lié à des problèmes hormonaux chez la femme

Les femmes qui ont une carence en calcium dans leur alimentation sont plus à risque de développer une condition hormonale causée par une suractivité des glandes parathyroïdes. Ces problèmes peuvent affaiblir les os et ainsi mener à des fractures et autres problèmes divers.

C’est ce qu’affirme www.nlm.nih.gov, qui reprend les constats d’une étude menée par la Dre Julie Paik et ses collègues du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Aux fins de l’étude, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 dossiers de patientes, âgées de 39 à 66 ans, qui n’avaient pas de problèmes connus liés aux glandes parathyroïdes.

Les participantes ont été divisées en cinq groupes distincts, basés sur leurs habitudes de consommation de calcium. Les données compilées sont celles observées chaque quatre ans, sur une période de 22 ans.

Les résultats sont clairs : après un certain âge, les femmes qui consomment régulièrement des sources de calcium voient diminuer de 44 % leurs chances de développer des problèmes liés aux glandes parathyroïdes.

Un indicatif clair de l’importance du calcium. Les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium fait le travail, et que 500 milligrammes quotidiennement font chuter les risques jusqu’à 59 % de moins.

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Visiter des proches à l’étranger comporte des dangers

On le sait, chaque visite en sol étranger comporte son lot de risques. Cependant, saviez-vous que les gens qui voyagent pour visiter des parents ou des amis dans un autre pays courent plus de dangers que les autres?

Les CDC américains tiennent à faire cette précision, car les statistiques concernant les problèmes et maladies liés aux voyages outre-mer sont plus inquiétantes pour ceux qui visitent des proches que pour ceux qui s’offrent un simple voyage touristique.

Si ce raisonnement semble surprenant, il est cependant très logique. En effet, les gens en visite chez des connaissances ont tendance à demeurer plus longtemps en terre étrangère, ce qui augmente le risque de contracter des maladies locales.

De plus, ils sont plus à même de consommer nourriture et eau locales, aussi un facteur de risque.

Plusieurs précautions d’usage prises par les touristes « traditionnels » seraient aussi laissées de côté lorsqu’on est hébergé chez des gens que l’on connait, vu l’impression de « sécurité ». Or, les moustiques et autres insectes, par exemple, n’en sont pas moins dangereux dans certains pays.

On recommande donc aux voyageurs en visite de prendre les mêmes précautions que s’ils étaient en mode touristes, c’est-à-dire vaccins, crèmes, lotion contre les insectes, etc.

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Cellulaires et cancer du cerveau : un précédent

Le lien suspecté entre l’utilisation massive du téléphone cellulaire et certains cancers du cerveau n’est pas nouveau. Depuis les débuts de cet appareil moderne, les inquiétudes sont nombreuses quant à ses effets possibles sur le cerveau.

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’OMS publiait un communiqué indiquant que les fréquences des téléphones portables étaient effectivement potentiellement dangereuses.

Mais voilà qu’un véritable précédent dans ce dossier a été créé récemment en Italie. En effet, selon ce qu’annonce radio-canada.ca, un homme atteint d’une tumeur, monsieur Innocenzo Marcollini, a convaincu un tribunal italien que l’utilisation de son téléphone était responsable de son diagnostic.

Le plaignant affirme avoir utilisé son appareil de 5 à 6 heures par jour pendant 12 ans. Appelée à commenter cette décision, la professeure Magda Havas, de l’Université Trent en Ontario, se dit en accord.

Elle déclare : « On commence à reconnaître qu’on ne peut pas placer un émetteur d’ondes sur notre cerveau sans s’attendre à ce que cela ait des effets. »

Rappelons que le Canada (Santé Canada), quant à lui, ne reconnait pas la causalité du téléphone cellulaire pour des cas de cancer ou de tumeur.

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La nutrition automnale pour garder la forme

L’automne n’est pas la saison préférée de tout un chacun, malgré ses couleurs flamboyantes. De fait, plusieurs personnes ressentent les effets de la dépression saisonnière, entre autres à cause du manque de lumière progressif.

D’autres ressentent de la nostalgie simplement parce qu’ils doivent faire le deuil de l’été, alors que certaines personnes ont de véritables maux qui surviennent lors de la période automnale.

Si plusieurs pilules, gélules et boissons énergisantes existent sur le marché, et qu’il peut être tentant d’en consommer lorsqu’une baisse d’énergie se fait sentir aux abords de l’automne, topsante.com suggère qu’il peut vraisemblablement s’agir d’un mal « placebo », psychologique, qui s’apparenterait plus à de la nostalgie qu’à une réelle fatigue.

Il est donc conseillé de ne pas consommer ces produits en trop grande quantité, tout comme les suppléments de vitamines. Ces derniers sont cependant conseillés, modérément, pour ceux qui ressentent véritablement un effet physique dû au manque de lumière (plus vrai vers le mois de novembre).

On conseille aux gens sensibles à ces phénomènes automnaux de faire de l’exercice, de manger des fruits et légumes et de pratiquer des activités qui les passionnent. Bref, de prendre du temps pour soi et de s’occuper de son corps.

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Sourire : un allié puissant dans la guerre au stress

Une arme sans pareille pour lutter contre le stress est à la portée de tout un chacun, affirme une étude, et il s’agit du rire.

Selon ce que rapporte topsante.com, même le simple fait de sourire nous permettrait de contrer les effets du stress, ennemi numéro un de la santé en 2012. Un sourire abaisserait le rythme cardiaque de façon instantanée, première étape pour faire baisser son taux de stress quotidien.

La revue Psychological Science publiait récemment cette étude, menée par Sarah Pressman, qui poursuit ses conclusions en affirmant qu’il s’agit d’un truc efficace pour garder le moral en toutes circonstances, tout en ayant des vertus pour la santé cardiaque.

Pour étayer ses propos, la chercheuse a vérifié les réactions de 169 personnes, des étudiants, en situation stressante. On forçait les sourires à l’aide de baguettes et on plaçait ensuite les participants devant une épreuve qui peut rendre nerveux, comme se plonger les mains dans de l’eau glacée.

En conclusion, les gens qui souriaient pendant les tests enregistraient des pointes de stress moins élevées que leurs homologues qui gardaient un faciès neutre.

S’il n’est pas si facile de rire ou sourire sur commande, il semble que d’imiter le geste soit suffisant pour en obtenir les bienfaits.

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La consommation de viande et l’asthme

La viande vient de subir un blâme de la part de spécialistes, pour sa collaboration possible dans le développement de l’asthme et de maladies similaires, comme le rhume des foins, affirme une étude rapportée par Lanutrition.fr.

L’étude australienne rappelle que l’asthme est une maladie respiratoire, et que pour ce type de problème, les facteurs alimentaires ne sont que très peu connus. En fait, on pointe souvent du doigt le mode de vie, la pollution et, bien sûr, les gènes.

Ce sont toutes des raisons réelles, mais qu’en est-il du régime alimentaire? Ce que nous mangeons peut-il influencer notre système respiratoire? Les chercheurs pensent que oui, à commencer par la viande.

Après avoir suivi 156 053 adultes âgés de 45 ans et plus ayant connu des problèmes d’asthme et/ou de rhume des foins, et en les questionnant sur leurs habitudes alimentaires, les spécialistes n’hésitent pas à faire le lien.

Donc, le facteur de risque pour ceux qui mangent beaucoup de viande augmenterait de près de 20 %, en comparaison avec les gens qui en mangent moins ou pas du tout.

En contrepartie, on suggère aux patients asthmatiques de manger plus de légumes, jusqu’à deux ou trois portions de plus que ce que suggèrent les guides alimentaires.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.