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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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La polémique concernant les produits bios fait rage

De plus en plus de gens se tournent vers les produits alimentaires biologiques depuis quelques années. Le nombre de gens résistant à l’idée est tout aussi nombreux, et la polémique entourant le concept bio fait toujours rage.

Une super étude sur le sujet risque d’alimenter les débats, puisqu’elle conclut que les aliments biologiques ne seraient pas « meilleurs » que les autres sur le plan nutritionnel, selon Lanutrition.fr.

Voilà qui a de quoi surprendre et qui mettra sans le doute le feu aux poudres dans le camp des pro-bio, qui vantent constamment les mérites de ces produits.

Les chercheurs ont donc sélectionné 237 études sur le sujet et analysé les résultats. Ils concluent qu’aucun effet significatif ne distingue l’agriculture biologique de l’agriculture conventionnelle, excepté le fait que les produits ne contiennent pas ou peu de pesticides.

Aussi, les aliments biologiques contiendraient moins de bactéries résistantes aux antibiotiques. Des avantages, certes, mais qui ont moins de poids que ce nous aurions pu croire. De plus, les aliments « normaux » contenaient en majorité des résidus de pesticides sous les normales obligatoires en alimentation.

Le bio serait un choix idéal pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées aux prises avec des problèmes de santé chroniques.

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Les antioxydants encore en vedette dans la lutte contre le cancer

Les antioxydants se retrouvent encore cités dans une nouvelle étude, eux qui sont déjà abondamment mis en vedette dans la lutte contre le cancer, cette fois en lien avec le cancer de la prostate.

Ces recherches tendent à démontrer que les hommes qui consomment des fruits, des légumes et du thé (et les antioxydants qu’ils contiennent) sont moins à risque de développer la forme la plus agressive de cancer de la prostate.

Les taux de survie seraient donc augmentés dans le cas d’un diagnostic de cancer de la prostate, rapporte www.nlm.nih.gov. Cependant, de l’aveu même des chercheurs, ces résultats sont partiels et limités. Il faudra donc attendre avant de pouvoir conclure qu’un régime alimentaire à base de fruits, légumes et autres végétaux protège vraiment contre le cancer.

Par contre, à la suite de l’examen de 1900 patients atteints, ceux qui avaient une meilleure diète et consommaient des fruits et légumes (et/ou du thé) avant l’apparition de la maladie ont donc réduit de 25 % leurs chances de développer la forme la plus ravageuse du cancer de la prostate.

« Nous voyons bien que même si cela ne vous prévient pas du cancer, les antioxydants permettent de se protéger de sa version la plus agressive », conclut la professeure Susan Steck de l’University of South Carolina’s Arnold School of Public Health.

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Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.

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La médication pour le cholestérol fonctionne

Il appert que les nouveaux médicaments qui contrôlent le taux de cholestérol dans le sang fonctionnent bien, selon les statistiques récentes.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de plusieurs patients (près de 38 000) et, en faisant une moyenne, ont calculé les variations enregistrées entre 1988 et 2010.

Les résultats sont clairs et encourageants : les niveaux de mauvais cholestérol sont en baisse, du moins aux États-Unis. On peut déduire qu’il s’agit de statistiques similaires au Canada, puisque les traitements sont sensiblement les mêmes.

Ainsi, la moyenne des taux de cholestérol a chuté de dix points, passant de 206 à 196. Plus précisément, la moyenne du taux LDL (mauvais cholestérol) est passée de 129 à 116.

Ces chiffres permettent aux chercheurs d’affirmer, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, que la médication moderne prescrite aux gens qui ont des problèmes de ce type fonctionne, et bien.

Étonnamment, on suggère aussi que de diminuer sa consommation de cigarettes par jour peut contribuer à améliorer son taux de cholestérol dans le sang. Éliminer les gras trans et autres aliments nocifs peut également jouer un rôle déterminant.

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L’alcoolisme plus mortel que le tabagisme

De nouvelles recherches suggèrent que l’alcoolisme est plus ravageur que le tabagisme quant à l’espérance de vie, entre autres.

Ces résultats, rapportés par www.nlm.nih.gov, tendent à démontrer que la durée de vie serait raccourcie de plus d’années chez un alcoolique que chez un fumeur. On affirme aussi que cette statistique s’applique d’autant plus chez les femmes aux prises avec un problème d’alcool.

Voilà qui a de quoi surprendre, puisque la cigarette est devenue l’ennemi public numéro un en matière de santé au fil des dernières années.

Les chercheurs allemands à l’origine de ces recherches sont convaincus de ce qu’ils avancent : le taux de mortalité est 4,6 fois plus élevé chez les femmes alcooliques, et 1,9 fois plus chez les hommes, en comparaison avec le reste de la population dite « générale ».

Il s’agit d’une super-étude, puisque des données concernant plus de 4000 individus ont été compilées pour arriver à ces résultats.

Le directeur de l’Institute of Epidemiology and Social Medicine de l’University Medicine Greifswald urge les gens qui ont des problèmes d’alcool à consulter le plus rapidement possible afin d’obtenir de l’aide.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.

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Un soutien-gorge dépisteur de cancer

Topsante.com rapporte la création d’un soutien-gorge « dépisteur de cancer », par une compagnie américaine.

Il s’agit d’un soutien-gorge de type sport, tout ce qu’il y a de plus commun, mais qui contient un système peu banal. L’objet serait en mesure de détecter les signes précoces d’un cancer du sein, jusqu’à six ans avant qu’une mammographie puisse y parvenir!

C’est énorme, si l’on prend en considération que le dépistage sauve des vies, et que plus le diagnostic de cancer est fait tôt, plus les chances de survie sont excellentes.

Portant le nom de Breast Self Exam, le soutien-gorge est muni d’un système de capteurs qui peut analyser les changements de température des seins, indicateurs de la création de nouveaux vaisseaux sanguins, utiles à la prolifération de tissus cancéreux.

Tout un concept, qui semble futuriste, mais qui s’avère génial dans son intention. Des essais cliniques ont conclu à un taux d’efficacité de 90 %, mais plusieurs autres sont à venir pour assurer le fonctionnement total de l’appareil.

En attendant, les spécialistes conseillent vivement aux femmes de subir des tests de dépistage pour le cancer du sein dès 50 ans, mais plusieurs suggèrent maintenant de le faire dès la quarantaine.

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Les effets de ne pas déjeuner sur le cerveau

Lorsqu’une personne est aux prises avec des problèmes de poids, il est facile pour elle de décider de ne plus manger du tout, ce qui est une très mauvaise idée.

C’est particulièrement vrai en ce qui a trait au petit déjeuner, selon ce qu’affirme une étude rapportée par Santelog.com.

Sauter le déjeuner aurait un impact puissant sur le bon fonctionnement du cerveau, expliquent les chercheurs qui dirigent l’étude.

Cette dernière, effectuée à l’Imperial College London et présentée devant la Society for Neuroscience lors de l’événement Neuroscience 2012, suggère que de ne pas déjeuner peut mener à de sérieux dérèglements de l’organisme.

De plus, on serait plus enclins à craquer pour de mauvais aliments, les gras surtout, plus tard dans la journée.

L’étude a été effectuée sur 22 personnes, 17 hommes et 5 femmes d’environ 24 ans. On numérisait les réponses cérébrales lors de différentes situations, soit avec un petit déjeuner ou sans. L’exercice a été répété à plusieurs reprises.

Les chercheurs concluent qu’une personne qui ne déjeune pas va consommer en moyenne 20 % de calories de trop quotidiennement, en plus de choisir les mauvais aliments.

Il serait donc plus facile, pour les gens qui se soucient de leur poids, de surveiller leur silhouette en déjeunant simplement.