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Le Botox prometteur pour contrer les douleurs au cou

Longtemps utilisé pour contrer les effets du vieillissement comme les rides, le controversé Botox pourrait se trouver une nouvelle utilité. C’est ce que proposent des chercheurs, dans une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

En effet, il semble que les personnes qui souffrent de douleurs chroniques au cou et aux épaules pourraient obtenir soulagement et espoir de la part du Botox.

Ce genre de douleur, aux dires du Dr Robert Suarte, qui dirige le Pain Center of Cushing Neuroscience Institute dans l’État de New York, en est un commun et persistant, qui peut causer de sérieux problèmes chez le patient.

De plus, ces symptômes sont souvent accompagnés de maux de tête, ce qui ajoute à l’inconfort ressenti par les victimes de douleurs chroniques.

Dans l’étude, 118 patients aux prises avec ces maux (depuis plus de deux mois minimum) ont reçu du Botox ou un placebo. Ceux qui ont reçu le « médicament » ont démontré des signes encourageants de rémission, ou à tout le moins des douleurs moins sévères que ceux qui ont reçu le placebo.

Les patients « botoxés » ont également vu le nombre de migraines diminuer, augmentant ainsi de beaucoup leur qualité de vie.

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Les effets bénéfiques d’un lien parental fort sur le comportement

Si vous tenez à ce que votre progéniture soit sujette au bonheur, tout en assurant son efficacité sociale, il serait important de prendre le temps de bien créer des liens lors de la jeune enfance, selon une étude rapportée par medicalnewstoday.

En effet, il semble que les jeunes enfants qui ont la chance d’avoir un lien fort et intime avec leurs parents sont moins enclins à être confus, anxieux, troublés ou agressifs en vieillissant.

Les chercheurs de l’étude conduite en Iowa affirment également qu’il est plus bénéfique pour un enfant d’avoir un tel lien avec un seul de ses deux parents, ce qui a de quoi surprendre.

Voilà qui ajoute au débat musclé qui fait rage concernant le rôle du parent sur le développement à long terme d’un enfant en bas âge.

Les auteurs de l’étude, Dr Sanghag Kim en tête, expliquent : « Il y a une période fort importante dans laquelle la mère (ou le père) doit former une relation forte avec l’enfant, et elle se situe dans les deux premières années de sa vie. Cette période semble critique pour son développement social et émotionnel futur ».

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Une étude suggère aux ophtalmologistes d’être plus vigilants envers les aînés

Les spécialistes des yeux devraient-ils être plus vigilants envers les aînés, afin de détecter les situations potentiellement dangereuses au volant?

C’est ce que suggère une étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui presse les ophtalmologistes et autres experts à bien questionner leurs patients concernant leurs habiletés à prendre le volant.

Plusieurs accidents sont causés par des gens plus âgés, parfois sans mauvaise volonté, qui tardent trop à accepter de ne plus conduire. Très souvent, le problème en est un de vision, et c’est là que les spécialistes peuvent intervenir.

Ils en auraient même le mandat, poursuit l’étude, en avançant qu’il s’agit d’un « sérieux problème de santé publique ». Après tout, il est vrai que d’ici 2020, le nombre de gens en âge d’or aura bien grossi (on parle de 40 millions aux États-Unis), puisque cette statistique de « vieillissement de la population » est toujours en hausse.

Les cas de conduite dangereuse risquent donc d’augmenter en conséquence. Les conclusions de l’étude sont claires : prendre le temps de poser des questions approfondies sur le sujet aux patients à risque lors des examens visuels peut sauver des vies.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Quoi manger pour une santé cardiaque optimale

On parle beaucoup de la santé cardiaque dans les dernières années, et pour cause. En effet, les maladies cardiovasculaires sont les causes de mortalités principales au Canada.

Il est cependant possible de contrer le phénomène en faisant des choix alimentaires et nutritifs intelligents. Alors, quoi choisir et quels sont nos alliés? Voici quelques suggestions.

D’abord, on doit bien sûr parler des matières grasses. Conseilsnutrition.tv conseille d’ailleurs de limiter les mauvais gras et de carrément éliminer les gras trans, par exemple.

Un bon truc est de commencer par troquer le beurre (ou la margarine) pour l’huile végétale en cuisson. L’huile d’olive semble être le choix le plus optimal lorsqu’on veut améliorer sa santé cardiaque.

Lorsque l’on choisit de la margarine (meilleure que le beurre), il faut s’assurer que celle-ci soit non hydrogénée.

Ensuite, il faut éviter de consommer trop de viandes rouges de façon hebdomadaire, et de mettre plutôt l’emphase sur les poissons. Ceux-ci sont une excellente source d’oméga-3, en plus de contenir de bons gras mono-insaturés.

Pour conclure, on suggère de continuer d’ajouter des fruits et légumes abondamment à notre alimentation, entre autres pour leurs apports en antioxydants.

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Un bon régime et l’exercice pour hausser son « bon cholestérol »

Les bénéfices d’un changement de style de vie vont au-delà de la simple perte de poids, affirment des experts. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, dans une étude qui parle entre autres de patients souffrants de diabète et aux prises avec des problèmes de poids.

Les chercheurs ont constaté que les patients qui appliquaient un nouveau style de vie, c’est-à-dire en mangeant mieux et en faisant de l’exercice régulièrement, perdaient non seulement du poids, mais favorisaient la création d’une hormone que l’on croit responsable de la production de « bon cholestérol ».

L’étude, publiée par l’hôpital méthodiste de Houston, comprend des statistiques recueillies sur deux groupes de patients. L’un était pris en charge radicalement, avec des programmes intensifs d’exercices et d’alimentation, alors que l’autre groupe n’était suivi que psychologiquement.

Après un an, le groupe pris en charge complètement montrait des taux de sucre dans le sang corrects, et des niveaux de gras et de tissus adipeux beaucoup moins élevés. Les taux de mauvais cholestérol n’ont pas changé significativement, mais c’est le LDL (bon cholestérol), et le taux d’apiponectine (hormone) qui ont réjoui les spécialistes. On parle de 12 % d’amélioration, ce qui est significatif.

Au final, c’est tout le cœur qui se voit grand gagnant de cette progression, ce qui signifie une espérance de vie plus grande pour les patients qui décideraient d’opter pour un tel changement.

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La vérité sur les boissons énergétiques

Dire que les boissons énergétiques sont populaires de nos jours serait en dessous de la vérité. En fait, elles sont omniprésentes partout, reléguant le bon vieux café au rang de « vieille méthode » pour se ragaillardir.

Beaucoup de gens, encore plus vrai chez les jeunes, boivent régulièrement des boissons énergétiques comme Red Bull, Guru et autres sur le marché. Elles font maintenant partie du régime alimentaire de beaucoup de citoyens, et elles comprendraient leurs lots de dangers, si l’on en croit les propos entendus un peu partout.

Pour savoir à quoi s’en tenir, Conseilsnutrition.tv s’est penché sur la question et suggère d’abord, bien sûr, la modération. On parle d’une à deux consommations de ces boissons par jour, pour éviter tout problème.

Il est donc vrai que ces boissons sont puissantes, caloriques et peuvent entraîner des problèmes à long terme. Les jeunes sont également à risque de développer des problèmes de palpitations cardiaques, étant donné qu’ils sont moins habitués de boire du café, par exemple, au contraire des adultes.

Une boisson pour se réveiller une fois de temps en temps ne causerait aucun problème, mais l’ajouter à son régime alimentaire quotidien est une autre affaire. Encore une fois, on devrait privilégier l’eau, sans calorie et excellente pour l’organisme.

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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Trucs pour éviter de manger ses émotions

Le phénomène qui implique de « manger ses émotions », ou stress eating, est de plus en plus répandu.

D’abord parce que le stress est omniprésent dans notre style de vie moderne, tout comme la nourriture, et pas toujours la bonne.

Lanutrition.fr rapporte les propos de Susan Albers, une psychologue américaine qui tente d’aider les femmes (plus touchées par ce phénomène) à contrer les troubles alimentaires liés au stress et aux émotions.

D’abord, elle suggère d’éviter d’embouteiller ses émotions. Il faut les affronter, les avouer et les évacuer. Écrire ce que l’on ressent sur papier s’avère un excellent truc, selon la psychologue.

Ensuite, prenez le temps de cerner les niveaux d’intensité de vos émotions et de réfléchir à comment vous pourriez les ramener à un niveau inférieur. Par exemple, elle suggère d’utiliser une échelle de 0 à 20. Situez votre émotion (exemple : 17/20), puis réfléchissez à comment il serait possible de la ramener à 10.

En terminant, on explique de ne plus essayer de lutter contre les émotions ressenties et de laisser aller vos pensées comme elles arrivent. En combattant, on emprunte une voie qui mène inévitablement à la perte de contrôle… et peut-être au pot de crème glacée!

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Des secrets de l’hypnose révélés

Des tests de résonnance magnétique effectués sur des patients sous hypnose révèlent certains secrets de cet art, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il appert que le cerveau des gens qui sont sensibles à l’hypnose est différent de celui de ceux qui ne sont pas « hypnotisables », affirme cette étude récente.

Les chercheurs ont utilisé des tests de résonnance magnétique (MRI) afin d’examiner l’activité de trois zones du cerveau sur 12 adultes réceptifs à l’hypnose, et sur 12 qui ne le sont pas.

Les trois zones, ou réseaux, du cerveau analysées étaient le mode « pause », le mode « exécutif », utilisé lors d’une prise de décision, et le mode « saillie », utilisé lorsque l’on veut choisir entre deux options.

Ainsi, on a constaté que les deux groupes avaient le même système cérébral de « pause », mais que ceux qui s’avéraient de meilleurs sujets d’hypnose avaient des systèmes « exécutif » et de « saillie » plus coopératifs.

L’hypnose permet d’aider les gens aux prises avec des problèmes de douleur, d’angoisse, de stress et phobiques.

Le Dr David Spiegel conclut : « Jamais une signature cérébrale d’hypnose n’a été obtenue, et nous sommes sur le point d’y arriver ».

Un tel accomplissement pourrait jeter beaucoup de lumière sur l’obscur processus de l’hypnose sur le cerveau humain.