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Le rappel de boeuf contaminé en épicerie : la vague se poursuit

Rien n’indique que la vague de rappels de bœuf contaminé au Québec soit sur le point de s’essouffler. Au contraire, le problème prendrait de l’ampleur.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a publié ce mardi 2 octobre la liste des produits touchés par le rappel, et on dénombre de nouveaux cas.

Ainsi, en plus du bœuf haché rappelé depuis quelques jours, on parle de différentes coupes de viandes vendues, entre autres, dans la région des Îles-de-la-Madeleine. Co-op, ValueFoods et Village Mart sont visés par cet avertissement.

Du bœuf vendu chez Loblaws et Provigo est aussi visé par la démarche, et on avise qu’il faut éviter les produits dont la date d’expiration se situe entre le 5 septembre et le 1er octobre.

L’Agence recommande, même si vos épiciers ne se retrouvent pas sur cette liste, de prendre le temps de demander les informations concernant la provenance des viandes de bœuf avant de les acheter.

Les rappels sont plus massifs dans l’Ouest canadien et en Ontario, mais ils sont très présents également au Québec. Des noms ciblés par l’ACIA, on retrouve Super C, Métro, AMI, l’Entrepôt de Viandes et Walmart.

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La nutrition pour célibataires endurcis

C’est bien connu que de manger seul est moins motivant que de préparer des plats pour deux. Manger à deux apporte une dynamique d’échange et de partage des plaisirs qu’une personne seule pourra difficilement ressentir, bien assis devant son téléviseur.

Ainsi, il faut contrer cela par des techniques et astuces de « célibataires » (qui s’appliquent aussi si vous ne l’êtes pas!), explique www.extenso.org.

Fini les repas congelés, les céréales en boîte ou encore le poulet rôti livré directement chez vous. Il faut d’abord bien préparer son plan de match. La préméditation est la clé, puisqu’il est décourageant de contempler un réfrigérateur et des armoires vides lorsqu’on a très faim.

On suggère donc de toujours avoir de bons aliments chez soi, des aliments qu’on aime et qui s’apprêtent de plusieurs façons. Salades, poissons en conserve, œufs, pains (réguliers, pitas, etc.), fromages et légumes frais sont tous des ingrédients faciles à apprêter, et ce, rapidement.

Vous devez d’abord penser à ce que vous aimez vraiment manger, et en faire des provisions. Ensuite, il est conseillé de ne pas attendre à la dernière minute pour penser à son repas, puisqu’une faim trop puissante vous poussera vers des solutions rapides et peu efficaces.

Faites aussi congeler vos repas favoris!

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Les mécanismes de la bêta-amyloïde, liée à la maladie d’Alzheimer

Le site nih.gov publie une étude qui confirme de nouveau le lien entre la protéine bêta-amyloïde et la maladie d’Alzheimer. Les recherches suggèrent cependant qu’un autre mécanisme est aussi un facteur de risque pour les gens plus âgés, combiné avec ce qu’on sait déjà à propos de la bêta-amyloïde.

Il s’agit du gène CR-1, relativement nouvellement connu par la communauté scientifique et associé directement à l’Alzheimer. Ainsi, l’étude démontrerait que les patients possédant la variante de ce gène ont également moins d’amyloïde au cerveau.

« Les hypothèses qui prévalent ont impliqué des facteurs qui augmentent le taux de bêta-amyloïde dans le cerveau, ce qui devient un élément intégral dans l’étude de la pathologie de la maladie », tente d’expliquer le directeur du National Institute on Aging, Richard J. Hodes.

En étudiant des patients âgés sans problème cognitif et en évaluant leur taux de bêta-amyloïde, combiné aux facteurs de risques génétiques, les chercheurs peuvent ainsi mieux comprendre les processus de cette maladie dévastatrice.

On comprend donc maintenant qu’il est possible que le gène CR-1 ne soit pas simplement alimenté par un taux élevé de bêta-amyloïde au cerveau, un indicateur d’Alzheimer, mais probablement par une série de facteurs.

D’autres études doivent s’effectuer pour tenter de comprendre quels mécanismes viendraient contribuer aux gènes à risques de l’Alzheimer.

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La folie des antioxydants : danger?

Les antioxydants font la manchette dans toutes les sections santé du Web, des magazines et des bulletins télévisés. Tout le monde est d’accord pour confirmer les vertus protectrices des antioxydants contre plusieurs maladies (cardiovasculaires, diabète, cancer, etc.)

Plusieurs chercheurs n’ont pas hésité à conseiller à la population d’ingérer des suppléments d’antioxydants, comme moyen de prévention.

La folie des antioxydants est maintenant partout, et voilà que d’autres experts pensent que des effets négatifs potentiels d’une prise élevée de ces produits doivent être nommés et étudiés.

Ainsi, selon des propos rapportés par www.extenso.org, des études démontrent que la consommation massive de bêta-carotène chez les fumeurs pourrait augmenter les risques de cancer du poumon.

Une autre étude, effectuée auprès de 13 000 personnes (hommes et femmes de 35 à 60 ans) consommant quotidiennement des suppléments d’antioxydants, démontrerait que l’effet est maximal à faible dose seulement, et uniquement chez les hommes.

Les femmes qui ont déjà une quantité adéquate d’antioxydants dans leur organisme ne gagneraient rien à prendre des suppléments. On parle d’un « effet seuil ».

Toutes les études dressent cependant un tableau similaire qui mènerait à cette conclusion : la supplémentation d’antioxydants à fortes doses nuirait carrément aux gens en phase pré-cancer (sans symptôme) et serait tout bonnement inutile pour les autres.

Donc, peu importe la situation, une dose modérée est requise.

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La folie des antioxydants : danger?

Les antioxydants font la manchette dans toutes les sections santé du Web, des magazines et des bulletins télévisés. Tout le monde est d’accord pour confirmer les vertus protectrices des antioxydants contre plusieurs maladies (cardiovasculaires, diabète, cancer, etc.)

Plusieurs chercheurs n’ont pas hésité à conseiller à la population d’ingérer des suppléments d’antioxydants, comme moyen de prévention.

La folie des antioxydants est maintenant partout, et voilà que d’autres experts pensent que des effets négatifs potentiels d’une prise élevée de ces produits doivent être nommés et étudiés.

Ainsi, selon des propos rapportés par www.extenso.org, des études démontrent que la consommation massive de bêta-carotène chez les fumeurs pourrait augmenter les risques de cancer du poumon.

Une autre étude, effectuée auprès de 13 000 personnes (hommes et femmes de 35 à 60 ans) consommant quotidiennement des suppléments d’antioxydants, démontrerait que l’effet est maximal à faible dose seulement, et uniquement chez les hommes.

Les femmes qui ont déjà une quantité adéquate d’antioxydants dans leur organisme ne gagneraient rien à prendre des suppléments. On parle d’un « effet seuil ».

Toutes les études dressent cependant un tableau similaire qui mènerait à cette conclusion : la supplémentation d’antioxydants à fortes doses nuirait carrément aux gens en phase pré-cancer (sans symptôme) et serait tout bonnement inutile pour les autres.

Donc, peu importe la situation, une dose modérée est requise.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Où se cache le fer?

Que vous soyez anémique ou non, tout le monde a besoin de fer. Il s’agit d’un élément important pour la santé, ainsi que pour assurer une belle énergie tout au long de la journée.

Mais manger des épinards suffit-il à apporter la quantité de fer nécessaire à l’organisme? Selon topsante.com, la réponse est non. Encore plus, il semble que les épinards contiendraient somme toute très peu de fer!

En effet, on compte 3 milligrammes de fer pour 100 grammes d’épinards, ce qui n’est pas très élevé. Il semble qu’une erreur de typographie lors de la rédaction d’un rapport médical, en 1890, soit à l’origine de ce mythe.

Alors, où le fer se cache-t-il? Dans les aliments qui proviennent des animaux, semble-t-il. On parle ici de « fer héminique » (absorbé par l’organisme), retrouvé dans les poissons, le foie, les abats, le boudin, etc.

L’autre fer, non héminique (moins bien absorbé par l’organisme), serait plus présent dans les aliments végétaux.

En outre, les spécialistes conseillent d’ajouter de la vitamine C à ceux qui désirent augmenter leur taux de fer. Le jus d’orange, par exemple, favoriserait l’absorption du fer dans le corps lors des repas. Il en va de même pour les fruits et légumes.

Une autre bonne raison d’ajouter une part de légumes dans votre assiette.

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Les unités d’observation des hôpitaux pourraient épargner des milliards

Selon une étude récente, rapportée par nlm.nih.gov, les centres d’observation des hôpitaux pourraient faire épargner des milliards de dollars au système de santé.

Une unité d’observation est un lieu situé tout près des urgences, où l’on surveille les gens qui ne sont pas officiellement admis comme patients ou ceux qui sont sur le point de sortir, pour une période de 24 heures. On réduit ainsi les risques de complications ou de mauvaises surprises.

On rapporte que seulement le tiers des hôpitaux aux États-Unis possèdent ce genre de centre, et qu’il serait grandement bénéfique pour les autres de se doter d’un tel système.

Les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston analysent les données et publient les résultats sous forme de coûts moyens épargnés par les hôpitaux qui utilisent une unité d’observation.

Ainsi, ils concluent qu’en moyenne, 1572 $ par patient (par visite) seraient épargnés lorsqu’on place celui-ci en observation. Un hôpital réduirait donc ses coûts de 4,6 millions par année, et le système de santé gagnerait 3,1 milliards par an.

Il s’agit de chiffres astronomiques, mais réalistes quand on considère les hôpitaux qui reçoivent 50 000 visites et plus par année dans leurs urgences.

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Qu’est-ce que la chrono-nutrition?

Le site topsante.com rapporte les propos du Dr Alain Delabos, qui vante les mérites de sa « chrono-nutrition », un terme que plusieurs risquent d’entendre pour la première fois, mais pas la dernière.

La chrono-nutrition, c’est l’art de manger ce que l’on veut, mais seulement à des moments déterminés dans la journée. Un régime alimentaire qui permet de manger presque n’importe quoi? Cela a de quoi surprendre.

Médecin concepteur de cette méthode, le Dr Delabos affirme : « La chrono-nutrition, c’est le fait de manger chaque aliment au moment où il sera le plus utile pour l’organisme, et le mieux assimilé ».

Il ajoute : « Lorsqu’on s’appuie ainsi sur le fonctionnement naturel du corps, ses besoins en énergie sont satisfaits, son métabolisme fonctionne au mieux, et le stockage est évité ».

Ainsi, au déjeuner, vous aurez le feu vert pour consommer des pains et céréales, des sucres et des matières grasses (beurre, lait, fromage), des œufs, ainsi que des viandes comme le jambon blanc.

Le midi, c’est le moment de jouer léger. Si le déjeuner a été suffisamment consistant, on prétend que le dîner, lui, sert plutôt de pause que de véritable repas. On propose donc des viandes maigres, des fruits et des légumes.

Le soir venu, on suggère les féculents. Des pâtes en salade, du riz, des lentilles, des légumes, du poisson et des pommes de terre sont des options suggérées.