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Comment résister efficacement aux aliments malsains

David Kessler, médecin et professeur à l’École de médecine de l’Université de Californie à San Francisco, explique les méthodes pour résister aux mauvais aliments, propos rapportés par passeportsante.com.

Les aliments gras, sucrés et salés sont très populaires, et ce n’est pas sans raison : la plupart sont délicieux. Dans ce paradoxe alimentaire auquel l’humain est quotidiennement confronté, les mets les plus prisés sont souvent les plus malsains pour l’organisme.

Alors, comment lutter? Voici quelques trucs.

D’abord, Dr. Kessler recommande une bonne structure, un plan de match alimentaire préétabli. Déterminez ce que vous allez manger lors de vos prochains repas. Bien sûr, il ne faudra pas y déroger le moment venu.

La modération est aussi conseillée, donc prévoir les portions nécessaires. Il est presque certain que ce système réduira la taille des portions ingérées, puisque nos décisions alimentaires de dernière minute ne reflètent pas nos besoins réels.

Le contrôle est primordial en alimentation. Trop souvent, nos choix proviennent de nos émotions, qui s’avèrent des ennemis en nutrition. Il est important de reconnaître les émotions qui déclenchent des fringales ou des envies de sucre, par exemple.

N’oubliez pas que vous êtes maître de vos pensées, alors il vous est possible de chasser les images d’aliments néfastes qui vous trottent dans la tête. Placez votre esprit sur autre chose ou associez votre tentation à des images mentales repoussantes. Tout est dans la tête!

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Et si cette grippe était en fait une allergie d’automne

Plusieurs parents se plaignent que dès la rentrée scolaire, leur enfant attrape inévitablement une grippe. Cependant, nlm.nih.gov explique qu’il est également possible que ce qui semble être le virus de l’influenza puisse parfois n’être en réalité que des allergies d’automne!

« Il est facile de conclure qu’un nez qui coule est le symptôme d’une grippe, mais souvent, il ne s’agit que du rhume des foins, causé par les mauvaises herbes », lance le Dr Joseph Leija, un allergologue du Loyola University Health System, basé au Chicago Memorial Hospital.

Le spécialiste met d’abord en garde contre les spores de moisissures, qui voyagent par les vents d’une région à une autre. Un climat sec et l’absence de moisissures visibles à l’œil nu n’est donc gage d’aucune garantie.

L’allergie automnale aux mauvaises herbes est commune et peut frapper dès le milieu de l’été jusqu’aux premiers jours de gel au sol, avant l’hiver. Les périodes peuvent varier selon la zone géographique.

Les symptômes sont trompeurs, puisqu’ils sont presque identiques à ceux de la grippe : nez qui coule, yeux irrités, migraine, sinus bloqués, etc.

Il est conseillé de bien analyser la situation afin de savoir si votre enfant ou vous-même bénéficieriez d’un traitement contre les allergies.

Dans un tel cas, il est préférable de prendre les médicaments à cet effet avant que les symptômes ne se développent, car ils prennent quelques jours avant d’agir complètement.

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Le suicide plus mortel que les accidents de voiture

Selon nlm.nih.gov, une nouvelle étude fait passer le suicide devant les accidents de voiture comme cause de mortalité principale aux États-Unis.

Dans les dix dernières années, le nombre d’accidents automobiles aurait diminué, rapporte l’étude. Le suicide demeure un fléau grandissant dans bon nombre de régions du monde, et les statistiques ne seraient pas encore exactes, selon Ian Rockett, professeur d’épidémiologie à l’Université West Virgina.

« Le suicide est mal répertorié dans nos recherches, par le fait que tous ne sont pas rapportés. Je crois que le problème est encore plus grave que ce que les données officielles indiquent », affirme Rockett.

Il croit que jusqu’à 20 % des suicides ne sont pas rapportés. De plus, les morts par empoisonnement sont en hausse, et plusieurs de celles-ci pourraient en fait s’agir de suicides. Cette statistique comprend également les morts par surdose de médicaments d’ordonnance, toujours nébuleuses.

Le professeur poursuit : « La situation est devenue hors de contrôle, et j’aimerais voir autant d’efforts mis dans cette cause que dans celle des accidents de la route ».

Le rapport publié utilisait les données compilées par le U.S. National Center for Health Statistics.

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Une nouvelle tendance : fractionner ses repas

Plusieurs études affirment que de se confectionner plusieurs petits repas serait plus bénéfique que les classiques trois repas par jour que l’homme connaît depuis la nuit des temps.

Une nouvelle surprenante s’il en est une, alors que les amateurs de régimes se voyaient contraints de ne pas manger « entre les repas », il n’y a pas si longtemps. Selon topsante.com, cette tendance serait possiblement révolue.

Des chercheurs britanniques affirment qu’il pourrait être mieux de fractionner ses repas, les faisant ainsi passer de trois à neuf par jour. Pour étayer cette théorie, la Medical Research Council’s Human Nutrition Research Unit lance une étude qui suivra 50 patients souffrant d’hypertension.

La moitié ingurgitera neuf petits repas par jour, alors que les autres poursuivront avec les trois repas traditionnels. On pourra ainsi vérifier les effets escomptés sur la pression artérielle, entre autres.

Il semble que ce soit également un bon moyen de perdre du poids, les chercheurs alléguant que l’on doit brûler des calories durant la digestion. Donc, plus de digestion durant la journée signifie non seulement une perte calorique, mais aussi un risque moins élevé de fringales et, donc, de tricher son régime.

Cette théorie, bien sûr, ne change pas le fait que les aliments ingérés doivent être de qualité, soulignent les experts.

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Le son d’avoine, un allié de taille

Même s’il n’est pas très glamour, le son d’avoine pourrait connaître un phénoménal gain de popularité dans les prochaines années, puisque plusieurs études confirment ses propriétés de « mange-graisses ».

C’est du moins ce que rapporte topsante.com, et vu l’intérêt marqué des gens partout dans le monde pour contrer l’obésité et rester en bonne santé, il semble évident que le son d’avoine n’est plus réservé qu’aux animaux.

Le son d’avoine est l’enveloppe externe du grain d’avoine, extrêmement riche en fibres (solubles). Agissant comme une éponge et pouvant absorber jusqu’à 30 fois son volume en eau, il permet de gélifier les aliments que vous consommez.

Ils contribuent à une digestion et une élimination saines des sucres, en plus d’avoir un apport calorique très faible. Il est donc une arme redoutable dans votre combat minceur, et il est recommandé d’en consommer tous les jours pour un effet maximal.

D’ailleurs, à ce sujet, les spécialistes recommandent de commencer par une simple cuillère à café par jour, puis deux, puis trois grosses cuillères, progressivement. Il est déconseillé de dépasser cette posologie quotidienne.

Également, on suggère aux personnes qui consomment le son d’avoine d’ajouter des suppléments de vitamines à leur régime, car ces dernières sont éliminées plus rapidement de l’organisme, en même temps que les sucres.

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Des jeux vidéo excellents pour la santé des jeunes

Selon une nouvelle étude reprise par nlm.nih.gov, les jeunes qui jouent à des jeux vidéo considérés « actifs » (Kinect sur XBOX 360, Nintendo Wii, etc.) font augmenter leur rythme cardiaque, utilisent plus d’oxygène et dépensent plus d’énergie. Résultat : ils sont plus en forme.

Qui aurait cru que les jeux vidéo viendraient à la rescousse d’un problème qu’ils ont largement contribué à faire émerger : l’obésité chez les jeunes. Cette nouvelle vague de jeux, possible grâce aux technologies modernes de reconnaissance de mouvements, permet d’encourager l’activité physique chez les jeunes, affirment Stephen Smallwood et ses collègues de l’Université Chester, en Angleterre.

« Même s’il est peu probable que ces jeux puissent procurer, à eux seuls, la quantité recommandée d’exercice physique pour contrer l’obésité et assurer le bien-être physique, ils sont un facteur majeur à court terme », concluent les chercheurs.

L’étude a été réalisée sur 10 garçons et 8 filles âgés de 11 à 15 ans, qui jouaient sur des systèmes de reconnaissance de mouvements, comme la Kinect (Microsoft, XBOX 360).

Même s’ils ne peuvent faire le travail à eux seuls, ces jeux sont plus recommandables que les jeux traditionnels avec contrôle par manette, qui demandent d’être assis.

Par exemple, Dance Central et Kinect Sports: Boxing, ciblés durant l’étude, augmentaient le niveau d’énergie déployé par ces jeunes de 150 et 263 % respectivement, par rapport aux jeux traditionnels.

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L’abus de drogues prescrites en baisse chez les jeunes adultes américains

L’utilisation massive des drogues de prescription chez les jeunes de 18 à 25 ans est en baisse de 14 % aux États-Unis, rapporte nlm.nih.gov.

Cette statistique provient d’un rapport fédéral américain rendu public lundi dernier (24 septembre), qui couvre la période entre 2010 et 2011. Durant cette année, le nombre de jeunes adultes admettant utiliser des médicaments d’ordonnances pour des usages autre que médical serait passé de 2 millions à 1,7 million.

Toutefois, la donne n’a pas changé en ce qui concerne les jeunes de 12 à 20 ans, ainsi que la tranche des 26 ans et plus. Autre fait surprenant, selon le National Survey on Drug Use and Health, le taux de consommation d’alcool chez les mineurs est aussi en baisse depuis 2002.

L’usage des drogues illicites, quant à lui, demeure stable chez les jeunes Américains. On parle ici de 8,7 % des jeunes de 12 ans et plus, comparativement à 8,9 % l’an dernier.

La drogue illégale la plus utilisée demeure la marijuana, qui a été consommée par 7 % des Américains en 2011, comparativement à tout juste 6 % en 2007.

Le fait le plus inquiétant de ce rapport concerne l’héroïne, qui a vu sa clientèle augmenter de presque le double depuis 2007 (373 000 en 2007, 620 000 en 2011).

À noter cependant que la classique cigarette passe de 15 % d’usagers pour 2002 à 10,7 % en 2010, pour s’établir à 10 % tout juste en 2011.

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La pizza peut-elle être bonne pour votre santé?

La pizza est un des aliments les plus populaires partout sur la planète, spécialement en Amérique du Nord, où ses habitants en sont friands. Cependant, il est connu de tous qu’il s’agit là d’un plaisir coupable, qui sort du four avec son lot de matières grasses, de sel et d’éléments divers pas toujours recommandables pour votre système. Mais est-elle toujours à éviter?

Après tout, en y pensant bien, une pizza peut contenir plusieurs éléments qu’on nous recommande pourtant abondamment, comme les légumes, le fromage et même le pain!

Bien sûr, la façon dont elle sera apprêtée et cuisinée viendra changer la donne radicalement, mais selon topsante.com, il est possible de créer une pizza bonne pour la santé, à recommander.

D’abord, il faut éviter les viandes grasses et se tourner un peu plus du côté des légumes. Cependant, le poulet blanc et les fruits de mer sont vos alliés.

Pour le fromage, on recommande la mozzarella, moins calorique que d’autres fromages. On suggère aussi comme alternative de la faire cuire sans fromage, puis d’ajouter du parmesan dès la sortie du four.

Bien entendu, si l’on veut vraiment faire le choix santé, il faudra éviter d’accompagner notre pizza de pommes de terre frites! Les légumes sont encore recommandés comme accompagnement, bien qu’il s’agisse d’un choix difficile…

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Le taux de survie après une anesthésie générale s’améliore grandement

Le nombre de personnes qui survivent à une opération sous anesthésie générale s’améliore constamment depuis les 50 dernières années, estime un rapport canadien repris par le site nlm.nih.gov.

L’amélioration s’est fait sentir à travers le monde entier, même si les statistiques s’appliquent davantage aux pays les plus développés. Ainsi, il semble que le pourcentage de mortalité relié à l’anesthésie générale ait chuté de 90 % depuis 1970.

« Les anesthésies sont de plus en plus sécuritaires, et cela ne devrait que continuer de s’améliorer », affirme le Dr Daniel Bainbridge, du département d’anesthésie de l’Université Western Ontario.

Du même souffle, il note qu’il est de la responsabilité mondiale de s’assurer que de telles statistiques puissent également s’appliquer aux pays en voie de développement. « Les efforts sont en route, mais devraient être appuyés de façon plus convaincante », ajoute-t-il.

L’étude analysait plus de 21,4 millions de cas d’anesthésie générale dans le monde entier. Les conclusions tirées démontrent que même si de plus en plus d’opérations complexes et potentiellement mortelles sont pratiquées, les chances de mourir sous anesthésie générale sont 90 % moins grandes qu’auparavant.

De meilleurs traitements et médicaments, une science de la médecine qui avance constamment et le souci de sécurité des patients de la part des médecins et praticiens sont tous des facteurs qui contribuent à augmenter les chances de survie durant une anesthésie générale.

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Le diabète et son régime

Le site topsanté.com a tenté de répondre à cette question, et il semble que plusieurs mesures alimentaires peuvent être observées afin de réduire les risques de développer cette maladie.

Bien sûr, comme pour la plupart des maladies graves, l’hérédité est un facteur important. Bien que l’on ne puisse changer sa ligne d’ADN, on peut néanmoins être doublement vigilant lorsque vient le temps de s’alimenter. Et les autres ne sont pas en reste, car il est bien sûr conseillé à tout un chacun de bien manger.

D’abord, on parle de « sucres lents ». Il semble que contrairement aux perceptions de la population, le sucre retrouvé dans les aliments ne provoque pas toujours le diabète de la façon qu’on pourrait le croire. Certains sucres, les lents, sont à favoriser. On les retrouve notamment dans les pâtes de blé dur et les légumineuses.

Pour ce qui est des pâtes traditionnelles, du riz et du pain, auxquels on accolait le terme « sucre lent », il semble que cela dépende de la façon dont ils sont apprêtés.

Pour le reste, des tests de dépistage sont conseillés, que vous soyez à risque de façon héréditaire ou non.

Les trois autres principaux éléments de risque concernant le diabète sont l’âge (plus de 45 ans), le surplus de poids et l’hypertension.