Catégories
Uncategorized

Les catastrophes naturelles affectent la santé mentale des enfants

Ils ont aussi conclu que de les aider à gérer les facteurs stressants durant et après l’évènement améliorerait leur fonctionnement psychologique.

« Les enfants peuvent avoir à déménager ou à changer d’école. Leur quartier peut ne plus être assez sécuritaire pour qu’ils jouent dehors et ils peuvent ne plus être en mesure de passer du temps avec leurs amis. Les enfants ont besoin d’aide pour gérer cela et d’autres facteurs de stress post-traumatiques », explique l’une des scientifiques ayant pris part à l’étude, Annette M. La Greca.

Publiée dans le Journal of Affective Disorders, la recherche a permis de découvrir que les enfants victimes d’une catastrophe naturelle continuaient de présenter des symptômes de dépression et de stress post-traumatique, et ce, plus de 15 mois après les évènements.

Avec des collègues, La Greca a écrit un guide pour aides les parents à soutenir leurs enfants dans cette période difficile. Le guide suggère aux parents des trucs pour garder leurs enfants en forme et en santé, maintenir une routine normale, gérer les facteurs de stress et leurs émotions.

Rappelons que l’ouragan Katrina, survenu en 2005, a été l’un des plus puissants de l’histoire des États-Unis. Plus de 1836 personnes en sont mortes, et les autorités du pays avaient été critiquées pour le temps d’attente avant l’envoi de secours.

Catégories
Uncategorized

Les enfants de race noire et latine en moins bonne santé

En fait, davantage de mauvaises habitudes de vie et de comportements dangereux seraient recensés parmi les jeunes de race noire et latine de dix ans.

De plus, les scientifiques croient que l’école fréquentée par les enfants, l’éducation des parents et leur revenu influencent la santé des enfants.

Les experts ont étudié plusieurs facteurs de la vie de ces enfants, notamment la violence dont ils étaient témoins. Ils ont découvert, entre autres, qu’un enfant de race noire sur cinq et qu’un enfant de race latine sur dix avaient été témoins d’une situation de menace ou d’une blessure par arme à feu. Chez les enfants de race blanche, ce chiffre était d’un sur vingt.

Les enfants de race noire étaient également plus susceptibles de fumer ou de boire de l’alcool. Puis, un enfant de race noire ou latine sur trois était obèse, peut-on lire dans l’étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Les experts croient que les écoles seraient le meilleur endroit où inculquer de bonnes habitudes aux enfants.

Rappelons que les enfants de race noire ont plus de fractures aux bras puisque leur mode de vie, souvent, ne leur permet pas d’absorber assez de vitamines D. La densité de leurs os est donc moins bonne.

Catégories
Uncategorized

Les mères plus âgées mettraient au monde de meilleurs bébés

Selon l’étude publiée dans le British Medical Journal, l’âge maternel plus élevé serait bon pour la santé de l’enfant ainsi que son développement jusqu’à l’âge de cinq ans.

Les chercheurs ont évalué le nombre de blessures, d’hospitalisations, l’indice de masse corporelle ainsi que le développement de plus de 30 000 enfants dont les mères étaient âgées de 13 à 57 ans.

Ils ont découvert que plus les femmes donnaient naissance à un enfant tard dans leur vie, moins la santé de ce dernier était à risque.

De plus, le nombre de difficultés sociales pour ces enfants serait moins important que chez les enfants nés de mères plus jeunes.

Ces résultats réjouissent les docteurs puisque de plus en plus de femmes fondent une famille plus tard dans leur vie.

Rappelons que les pères plus âgés, quant à eux, transmettraient leur longévité à leurs enfants. Des télomères plus longs — ces sections de l’ADN qui protègent les extrémités des chromosomes de la détérioration — ont été trouvés chez les gens dont les pères ou les grands-pères avaient fondé plus tardivement leur famille.

Catégories
Uncategorized

Les chicanes de couple sont bénéfiques à long terme

Une étude présentée lors de la convention de l’American Psychological Association démontre qu’au sein d’un couple, il n’y a pas de formule magique. Toutefois, la colère serait parfois plus profitable que l’indulgence pour la santé de chacun.
 
À long terme, les crises de colère peuvent être souhaitables pour la survie du couple. Les chercheurs ont suivi 225 couples de jeunes mariés pour en arriver à ces conclusions.
 
Le degré d’attachement est lié au niveau de cortisol de chacun, une hormone qui augmente avec le stress. Lors des crises de colère, elle s’accentue, pour ensuite retomber.
 
La colère peut être un signal important chez le partenaire qui agit incorrectement. Cela peut l’inciter à cesser le comportement indésirable à long terme.
 
Le psychologue James McNulty explique que le pardon peut parfois être nocif. « Nous avons tous fait l’expérience de la “trahison” dans notre relation de couple. Un partenaire peut être financièrement irresponsable, infidèle ou dans de mauvaises dispositions. Quand c’est le cas, nous devons décider si nous devons nous mettre en colère, garder en nous cette colère ou pardonner ».
 
En fait, ce sont les circonstances qui pourront déterminer l’efficacité du pardon, mais idéalement, il faut aussi se montrer assez flexible dans la résolution des conflits.
 
La donnée à retenir est le fait que la colère peut être profitable à long terme pour les couples.
 
Catégories
Uncategorized

Les mères qui ne travaillent pas chez elles sont en meilleure santé

Les mères qui travaillent à temps plein hors de la maison seraient en meilleure santé à l’âge de 40 ans que les mères au foyer, celles qui travaillent à temps partiel ou celles qui se retrouvent fréquemment sans emploi.

« Le travail est bon pour la santé, mentalement et physiquement. […] Cela donne aux femmes un sens du but, de l’auto-efficacité, du contrôle et de l’autonomie. Elles ont un endroit où elles sont expertes en quelque chose et reçoivent un salaire », explique l’aide-professeure en sociologie Adrianne Frech.

Selon les chercheurs, les choix que font les femmes tôt dans leur carrière pourraient avoir des répercussions sur leur santé plus tard dans leur vie.

Ainsi, les femmes qui retournent au travail après avoir eu un enfant disent être en meilleure santé physique et mentale, ayant une meilleure mobilité, plus d’énergie et moins de dépression à 40 ans.

Rappelons toutefois que les femmes enceintes qui passeraient trop de temps debout auraient plus de chances d’avoir un bébé de plus petite taille que les autres.

Celles qui travaillent en position debout, comme les vendeuses ou les enseignantes, devraient donc se préoccuper de leur position.

Catégories
Uncategorized

L’obésité nuit à la santé mentale à long terme

C’est l’Inserm, en collaboration avec l’University College London et les National Institutes for Health (NIH), qui ont réussi à établir des résultats concluants à la suite de cette recherche.

Ainsi, l’obésité, combinée à la présence d’un facteur de risque métabolique, aurait un impact direct sur la dégénérescence du cerveau. Les tests ont été effectués sur un groupe de 6401 fonctionnaires britanniques, dont la majorité était composée d’hommes de 39 à 63 ans.

Les facteurs étudiés étaient notamment ceux de la mémoire, du raisonnement verbal et mathématique et de la fluidité verbale. Les résultats ont été publiés dans la revue Neurology du 21 août.

Il a été démontré que l’obésité, en tant que facteur unique, ne contribue pas nécessairement à un déclin accéléré de la réponse cognitive. Sur une période d’étude s’échelonnant sur 10 ans, seuls les participants obèses et comportant déjà des facteurs de risque métabolique ont vu leurs fonctions cérébrales chuter plus rapidement.

En résumé, la mémoire, le raisonnement et la logique sont affectés surtout en présence de niveaux élevés de triglycérides, d’hypertension artérielle, de glycémie irrégulière ou élevée et d’une carence en bon cholestérol. Le fait est que ces facteurs sont souvent le lot des gens en surpoids.

Catégories
Uncategorized

La sédentarité est le plus grand problème de santé infantile aux États-Unis

En fait, les chercheurs ont sondé les Américains afin de connaître leurs dix plus grandes préoccupations concernant la santé des enfants de leur communauté.

Plus de 39 % des adultes ont avoué s’inquiéter du manque d’exercice de leurs jeunes. 38 % d’entre eux s’inquiétaient de l’obésité infantile, tandis que 34 % s’inquiétaient de leur consommation de tabac.

« L’obésité infantile demeure une préoccupation importante, et les adultes savent qu’elle est certainement liée à un manque d’exercice », explique le directeur du C.S. Mott Children’s Hospital National Poll on Children’s Health, Matthew M. Davis.

Les autres répondants ont affirmé qu’ils s’inquiétaient de la consommation de drogue, de l’intimidation, du stress, de l’abus d’alcool, de la grossesse chez les adolescentes, de la sécurité sur Internet ainsi que des sévices et de la négligence d’enfants.

M. Davis ajoute, en observant la relation entre ces principales préoccupations, qu’il est important de créer des programmes publics pour prévenir la sédentarité des jeunes.

Rappelons que les parents peuvent avoir un impact sur la vie de leurs jeunes pour faire en sorte qu’ils pratiquent plus d’activités physiques. Les enfants qui ont un suivi parental plus élevé bougent plus et passent donc moins de temps devant l’écran de télévision, d’ordinateur ou les jeux vidéo.

Catégories
Uncategorized

La fumée secondaire nuit à la santé respiratoire des enfants

Les chercheurs du Monell Center ont découvert que l’exposition des enfants à la fumée secondaire diminuerait leur sensibilité à des irritants qui, normalement, provoquent la toux.

Ces enfants sont plus susceptibles de souffrir d’une pneumonie, d’une bronchite ou d’autres maladies des voies respiratoires.

« La toux protège nos poumons de menaces environnementales potentiellement dangereuses pour nos poumons. Vivre avec un parent fumeur affaiblit ce réflexe, l’un des plus vitaux du corps humain », déplore une biologiste du Monell Center, Julie Mennella.

Cela signifie que plus d’irritants sont nécessaires pour déclencher la toux.

De plus, l’étude a permis d’affirmer que les jeunes insensibles aux irritants seraient davantage à risque de développer une dépendance au tabac à l’adolescence.

Rappelons aussi que la fumée secondaire serait responsable de problèmes urinaires chez les enfants. En effet, il a récemment été prouvé que la fumée secondaire de la cigarette était associée à des troubles d’irritation de la vessie de gravité modérée à sévère chez les enfants.

Catégories
Uncategorized

L’anesthésie générale nuit à la santé des enfants de moins de trois ans

L’anesthésie générale avant l’âge de trois ans est reliée à des déficits au niveau du langage à l’âge de dix ans ainsi qu’à une moins bonne capacité de raisonnement.

En fait, les enfants ayant subi une anesthésie générale avant d’avoir trois ans auraient eu de moins bons résultats lors d’un test évaluant l’expression, la compréhension du langage et le raisonnement abstrait.

L’étude, publiée dans l’édition de septembre de la revue Pediatrics, soutient que la plupart de ces anesthésies sont faites pour des chirurgies mineures.

Toutefois, ce genre d’anesthésie devrait être utilisé seulement lorsque nécessaire, et les médecins ne devraient administrer qu’une faible dose d’anesthésiant.

L’étude a été effectuée sur davantage de petits garçons de type caucasien et auprès de familles avec un revenu plus élevé, ce qui limite les résultats.

Rappelons que de multiples expositions à l’anesthésie lors de chirurgies en bas âge sont associées à des taux plus élevés de développement de troubles de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

Catégories
Uncategorized

Attention à l’épilation du bikini

Alors que l’épilation bikini est en vogue, et ce, même dans son intégralité, le Dr Emily Gibson de l’Université de Washington met en garde les femmes contre cette pratique.

En fait, selon elle, l’épilation du bikini augmente les risques d’infection et de maladies transmises sexuellement. Pour elle, les poils ont leur utilité, car ils agissent comme une barrière de protection pour les muqueuses génitales.

« L’épilation pubienne irrite et déclenche une inflammation des follicules pileux, laissant des plaies microscopiques ouvertes. Une épilation fréquente […] a pour effet d’entraîner une irritation régulière de la zone rasée ou épilée à la cire. Combiné à la lumière et à l’environnement humide des organes génitaux, cela devient un milieu propice à la multiplication des plus mauvaises bactéries pathogènes », dit-elle.

Selon TopSanté, il y aurait donc des risques accrus d’herpès, pustules, furoncles, abcès, cystites, mycoses et autres.

Mais si les femmes tiennent à s’épiler, elles doivent le faire avec le matériel adéquat, soulager la zone après l’épilation et hydrater régulièrement afin d’éviter d’avoir des poils incarnés.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net