Différents thés bons pour la santé
Le calcul de l’IMC n’est pas une mesure assez fiable pour déterminer l’obésité infantile, selon les chercheurs de la Leeds Metropolitan University.
Les scientifiques ont comparé les résultats de trois tests sur plusieurs enfants. D’abord, avec l’IMC, plus de 20 % des garçons et plus de 18 % des jeunes filles étaient considérés comme à risque de développer de l’obésité.
Pour ce qui est de la mesure du tour de taille, ces chiffres s’élevaient à 26 % chez les garçons et à 36 % chez les filles.
Finalement, pour le rapport tour de taille/taille, les résultats obtenus ressemblaient plus au test du tour de taille qu’à l’IMC.
Les experts croient donc qu’il serait mieux de revoir et de mieux définir les méthodes de mesure pour prévenir plus efficacement l’obésité infantile.
De plus, on peut lire sur Santélog.com que la prise en compte de l’adiposité centrale de l’enfant serait plus représentative et pertinente.
Rappelons que la majorité des parents ne sont pas conscients de ce qui cause l’embonpoint chez leurs enfants. Cependant, de récentes études ont révélé que les enfants d’âge préscolaire sont sédentaires 85 % du temps.
Une étude de l’Université de Louisville, au Kentucky, a permis d’associer au tabagisme un risque plus élevé de développer l’entérocolite nécrosante chez les poupons nés prématurément.
Cette maladie, la plus commune des affections gastro-intestinales chez les prématurés, détruit les tissus de la paroi intestinale des nouveau-nés.
Sept à dix pour cent des enfants américains souffrent de cette maladie.
Plusieurs facteurs après la naissance ont été associés avec la maladie à ce jour — comme les infections bactériennes ou l’allaitement artificiel —, mais cette fois, les experts se sont tournés vers des facteurs en lien avec le développement du bébé avant sa naissance.
« En fait, le seul facteur qui a été statistiquement significatif était le tabagisme chez la mère qui, je pense, donne plus de crédibilité aux obstétriciens et aux pédiatres qui avertissent les femmes de cesser de fumer durant la grossesse », explique Cynthia Downard, auteure de la recherche et professeure adjointe en chirurgie pédiatrique à l’Université de Louisville.
Rappelons également que le risque de développer une maladie mentale est accru chez les enfants nés prématurément. En effet, ces bébés sont plus à risque de souffrir d’un trouble bipolaire, de dépression et de psychose.