D’après le professeur à la tête de l’étude, Randolph Barker, emmener un chien au travail « peut faire une différence très positive » dans la vie d’un employé.
L’étude menée par l’École de commerce de la Virginia Commonwealth University de Richmond a évalué le quotidien de 75 personnes divisées en trois groupes. D’abord, celles qui emmenaient leur chien au travail étaient regroupées, puis celles ayant un animal et le laissant à la maison, et finalement celles n’ayant pas d’animal.
Durant la journée, le niveau de stress a diminué chez les employés du premier groupe, tandis qu’il a augmenté pour ceux des deux autres groupes.
En fait, qu’il s’agisse de son propre chien ou de celui d’un collègue, sa présence au bureau réduirait le stress et serait bonne pour le moral des travailleurs.
Les résultats démontrent que les chiens représentent « des solutions de bien être à bas coût et accessibles très facilement pour les entreprises », selon le professeur Barker.
« Avoir un chien dans un environnement de travail peut contribuer aux performances et à la satisfaction des employés », termine-t-il.
Sa présence au festival, qui se déroule les 11 et 12 mai prochain, a été annulée un peu plus d’une semaine après qu’elle ait également annulé deux performances à Buenos Aires.
La chanteuse islandaise a annoncé la nouvelle sur Facebook.
« Je suis désolée de vous dire que je ne pourrai pas me produire au Sónar. Ce qui est honteux, puisque le programme est incroyable et j’aime le Brésil. Ma voix va déjà un peu mieux après le repos (je suis devenue imbattable en langage des signes). L’affection est passée d’un nodule à un polype, mais pas tulipe, donc plus de repos durant le mois de mai », a-t-elle écrit.
Selon un commentaire du docteur de l’artiste sur le site internet du festival, Björk pourrait ne pas chanter de sitôt. Il dit que de précipiter sa prochaine prestation pourrait causer des dommages permanents à sa voix.
Son dernier album, Biophilia, est sorti en 2011. Il s’agit du huitième opus de la chanteuse au style électronique avant-gardiste.
Des chercheurs de la revue Rutgers ont révélé de nombreux avantages pour les enfants qui mangent fréquemment en famille, comme l’apport accru en fruits, légumes, fibres et aliments riches en calcium et vitamines.
En effet, il a été démontré que plus une famille mangeait ensemble, moins les enfants consommaient des composantes alimentaires nocives pour la santé, comme des boissons gazeuses.
Bien que les chercheurs aient constaté un faible lien entre les repas en famille et le risque d’obésité, les enfants qui partageaient le repas avec leurs parents avaient tendance à avoir un indice de masse corporelle plus faible que les autres qui avaient l’habitude de se nourrir en solo.
Il a également été prouvé que le repas familial est un moment privilégié dans la journée pour fraterniser et discuter. La santé morale de tous s’en porterait d’ailleurs mieux la plupart du temps.
En Amérique du Nord, 40 % du budget alimentaire d’une famille typique s’écoule à l’extérieur de la maison (cafétéria, restaurants, etc.).
En plus de l’effet négatif sur le budget familial, ce choix de vie est mauvais pour la santé des parents et des enfants.
De plus en plus de familles ne mangent pas ensemble. Faute de temps, de volonté et d’outils, les repas familiaux sont souvent signes d’occasions spéciales et de vacances, maintenant.
Des boissons pour remplacer le café
C’est ce qu’une étude publiée dans le journal Environmental Health Perspectives révèle.
D’autres études ont également démontré que les phtalates — des corps gras acides utilisés pour augmenter la flexibilité, la longévité et la transparence du plastique — transpercent les aliments par les équipements, les gants des emballeurs, les encres des étiquettes ou encore les plastiques utilisés par les agriculteurs eux-mêmes.
Il y a longtemps que les gouvernements sont au courant de ce phénomène. Pourtant, la Food and Drug Administration (FDA) considère ces produits comme « additifs alimentaires indirects » et en a approuvé plus de 3000 depuis 1958.
En fait, la FDA juge ces substances selon la quantité qui serait susceptible d’aboutir dans l’assiette de quelqu’un. Si cette quantité est assez faible, aucun test supplémentaire n’est effectué.
« Ça n’a pas de sens de réguler la sécurité des aliments si on les vend dans des emballages non sécuritaires », déplore la directrice du programme et de la politique du Breast Cancer Fund, Janet Nudelman.
De plus, le fait que certains de ces produits aient été validés par les scientifiques dans les années 60 inquiète les experts, qui affirment que leurs connaissances sur la santé ont bien changé depuis.