Bébé aussi fait du yoga
C’est ce que révèlent deux livres qui viennent d’être publiés, 100 postures de yoga pour mon bébé de Sophie Dumoutet et Babyyoga de Françoise Barbira Freedman.
C’est scientifiquement prouvé, augmenter sa consommation de fruits et légumes procure un teint radieux et éclatant de santé, surtout ceux contenant des caroténoïdes.
La cardiopathie ischémique touche 9,6 % des femmes qui ont accouché à terme d’un enfant de petit poids, soit moins de 5 livres 8 onces, après 37 semaines de gestation, comparativement à 5,7 % chez la mère qui donne la vie à un bébé de poids normal.
Tenant compte de divers facteurs environnementaux (tabagisme, alcool, etc.) et d’antécédents médicaux familiaux, le faible poids du bébé né à terme, qui touche d’ailleurs 10 % des naissances, demeure l’élément indépendant le plus puissant pour un risque de maladie cardiaque chez la femme.
Entre 1999 et 2006, les données de 6600 femmes ont servi aux chercheurs de l’University of Texas Medical Branch à Galveston qui ont publié leurs résultats dans la revue PLoS One en mars.
Il a été noté qu’à long terme, la maladie cardiaque ischémique conduisait généralement à des changements cardio-vasculaires qui augmentent le risque de maladies cardiaques à long terme chez une mère. De plus, le poids du bébé influencerait également le développement de diabète et de problèmes de tension artérielle.
Mentionnons que la maladie cardiaque est la principale cause de décès chez les femmes aux États-Unis (un décès sur trois).
D’ailleurs, il semblerait que la majorité des gens qui ont fait un enfant après 40 ans disent que cela n’a pas été un choix, mais plutôt le résultat de troubles d’infertilité. Autrement, ils auraient préféré avoir un bébé avant.
Malgré ce constat alarmant, le Collège royal européen des obstétriciens et gynécologues a exhorté les femmes à continuer de prendre leurs médicaments, en dépit de l’enquête en cours, et à parler à leur médecin si elles sont inquiètes.
La Dre Marian Bakker du Centre médical universitaire de Groningen, aux Pays-Bas, a d’ailleurs affirmé qu’il est encore difficile d’établir si des médicaments sont dangereux ou non pour le bébé pendant la grossesse.
En Europe, des milliers de femmes enceintes qui doivent prendre des médicaments pour contrer l’asthme, l’épilepsie, le diabète et la dépression sont le principal sujet d’une enquête appelée Euromedicat,dont les résultats devraient être publiés en 2013.
Près de quatre millions de naissances sont examinées de plus près pour connaître les effets de l’insuline, des inhalateurs pour l’asthme, des nouveaux antiépileptiques et des antidépresseurs ISRS sur les nouveau-nés.
Les dossiers médicaux sont appariés avec les registres nationaux d’anomalies congénitales chez les nourrissons, y compris les cas de fente palatine, de spina-bifida et de malformations cardiaques.
Rappelons qu’environ une femme sur cinq souffre de dépression et doit être traitée durant la grossesse. De plus, les inhalateurs pour la prévention de l’asthme, qui contiennent des stéroïdes, ont récemment été liés à un risque légèrement accru de troubles hormonaux et métaboliques chez les bébés.
Une enquête plus approfondie sur cette dernière révélation a toutefois été demandée par des spécialistes qui ont écrit dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.
Un tiers des Américains sont au sein de familles qui ont du mal à payer leurs soins de santé, explique un rapport du gouvernement publié cette semaine.