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Les mères québécoises craignent la boîte à lunch

Confusion, embarras, dégoût et stress sont les quatre principales émotions que ressentent les mères québécoises lorsqu’elles préparent le lunch des enfants.

Certaines confirment même que la confection de la boîte est une réelle corvée, tant que l’enfant, l’école et la société imposent leurs contraintes en matière de bonne nutrition, d’allergies ou autres.

Il semblerait que l’enfant est trop souvent le maître décisif du dossier sac à lunch. Plusieurs jeunes confirment faire du troc à l’école, à l’insu de leurs parents, échangeant ainsi de bons aliments pour ceux qui sont salés et riches en calories.

À l’achat d’une boîte à lunch, les parents disent rechercher la durabilité et la facilité de lavage, tandis que les enfants poussent pour avoir celle qui a un look.

Certains élèves disent également avoir peur des surveillants (débordés dans les services de garde) qui sont contrariés parce qu’il y a « encore » un dîner à faire réchauffer.

Sur ce, l’étude a démontré que seuls 30 à 40 % des enfants, selon les groupes d’âge, mangent des repas faits maison et non du commercial ou surgelé.

Cette étude, qui vient d’être réalisée par Julie-Michèle Mondou dans le cadre de sa maîtrise en nutrition à l’Université de Montréal, révèle que presque la moitié (46 %) des élèves de 5 à 12 ans, au Québec, apportent leur repas à l’école.

Cependant, la majorité des écoles n’ont pas de cafétéria et pas suffisamment de micro-ondes. Les enfants sont d’ailleurs souvent obligés de manger en classe, au gymnase ou même dans les corridors.

Et il arrive fréquemment que les petits doivent casser la croûte à toute allure. Malgré une recommandation du ministère de l’Éducation qui suggère de réserver au moins 20 minutes au dîner, 31 % des écoles n’offrent pas ce temps.

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Le divorce est plus douloureux pour les jeunes

Le Social Science & Medicine dévoile une étude réalisée sur 1282 personnes âgées de 25 à 83 ans pendant 15 ans. On y constate que les jeunes souffriraient plus d’un divorce que les plus vieux.
 
« Je pensais que le divorce était moins stressant pour la jeune génération, puisque le divorce est plus répandu pour eux », mentionne la sociologue Hui Liu de l’Université du Michigan, qui a dirigé les travaux.
 
La façon dont le divorce est vécu n’est donc pas seulement influencée par notre caractère, mais aussi par notre âge.
 
Peut-être que les plus vieux ont été amenés à penser qu’il fallait demeurer unis envers et contre tout. Donc, lorsque ceux-ci divorcent, certains peuvent se sentir soulagés de ne plus être coincés dans une union qui les rendait malheureux. Ils vivraient cette rupture définitive beaucoup mieux que les jeunes, qui ont moins d’années et d’expériences reliées au mariage.
 
Toutefois, peu importe l’âge, un divorce aura toujours un impact sur la santé, ne serait-ce que par le stress qu’il occasionne d’être dans cette transition d’amour-haine et de vivre parfois des tensions durant cette rupture. Puis, c’est connu depuis longtemps, le stress fait des ravages sur la santé.
 
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La santé des enfants influence celle des parents

Une nouvelle étude en Ohio, publiée en ligne dans le Journal of Pediatrics, a évalué le taux de cholestérol, la tension artérielle, les triglycérides et le poids de 852 écoliers.

Ils ont été réévalués 26 ans plus tard, âgés dans la quarantaine, afin de connaître l’impact que cet examen avait eu sur leur santé et celle de leurs parents, maintenant âgés d’environ 65 ans.

Les résultats ont prouvé que, globalement, les parents des 852 anciens écoliers examinés étaient environ deux fois plus susceptibles de souffrir de maladies cardiaques ou d’AVC au début de la soixantaine lorsque leur enfant avait fait de la haute pression sanguine ou avait eu des niveaux élevés de cholestérol lipoprotéines de basse densité ou de triglycérides à l’âge de 12 ans.

Et quand les enfants souffraient d’un surpoids, les chances que leurs parents développent un diabète ou de l’hypertension artérielle doublaient. Même principe pour les enfants devenus grands.

Puisque la plupart des adultes ne vont pas fréquemment rencontrer un médecin, les chercheurs pensent que certains problèmes de santé chez les parents pourraient être évités grâce aux examens annuels de leurs enfants.

Selon de nouvelles directives approuvées par les Instituts nationaux américains de la santé, les enfants devraient d’ailleurs avoir un test pour le cholestérol entre 9 et 11 ans, et de nouveau entre 17 et 21 ans.

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Moins de gaspillage et des portions restreintes et saines pour les enfants américains

Selon de nouvelles règles du département américain de l’Agriculture (USDA), les portions des cafétérias scolaires seront davantage surveillées et calculées, et plus de fruits, de légumes et de grains entiers seront servis aux enfants.

Cette mise à niveau, qui rendra service à plus de 32 millions d’enfants à travers les États-Unis, est une première en 15 ans et a été largement applaudie par la première dame des États-Unis, Michelle Obama.

Lors d’une conférence de presse, Kevin Concannon, sous-secrétaire de l’USDA pour les services d’alimentation, de nutrition et des consommateurs, a mentionné que le département était préoccupé par le gaspillage de nourriture dans les écoles.

Avec les nouvelles normes, l’USDA espère, d’ici les cinq prochaines années, réduire ses coûts de gaspillage en passant de 6,8 milliards à 3,2 milliards.

Pour y arriver, les enfants devront concevoir leur repas grâce à un menu à la carte. De plus, pour la première fois en 30 ans, le gouvernement augmentera de 6 % par repas les remboursements aux fins d’impôt.

Pour la santé des enfants, le nombre de calories dans les repas servis sera calculé selon leur âge. Les nouvelles normes prévoient réduire également le sodium et les gras saturés dans les repas scolaires, tout en favorisant le lait écrémé et les aliments sains.

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Les effets de la pensée positive confirmés

Voilà une étude qui confirme une fois de plus les effets bénéfiques de la pensée positive.
 
Trois études, réunissant 756 personnes, ont demandé aux volontaires de penser à quelque chose qui les faisait sentir bien dès le lever du lit, par exemple des enfants avec un chapeau, un lever de soleil, etc. Cette pensée pouvait aussi revenir au cours de la journée.
 
Puis, lorsque les personnes rencontraient des obstacles ou des instants plus difficiles, elles devaient penser à des moments où elles avaient été fières d’elles, par exemple leur remise de diplôme.
 
Cette approche s’est avérée fructueuse chez les patients, qui ont ainsi vu leur santé s’améliorer, notamment par une réduction de la pression sanguine.
 
Aussi, ce positivisme leur a apporté des bienfaits, comme le fait de vouloir faire plus d’activités physiques et mieux suivre les traitements médicaux qu’on leur avait prescrits.
 
Penser à des images agréables permet donc d’avoir une meilleure santé et de surmonter les obstacles avec le sourire.
 
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Les effets de la pensée positive confirmés

Voilà une étude qui confirme une fois de plus les effets bénéfiques de la pensée positive.
 
Trois études, réunissant 756 personnes, ont demandé aux volontaires de penser à quelque chose qui les faisait sentir bien dès le lever du lit, par exemple des enfants avec un chapeau, un lever de soleil, etc. Cette pensée pouvait aussi revenir au cours de la journée.
 
Puis, lorsque les personnes rencontraient des obstacles ou des instants plus difficiles, elles devaient penser à des moments où elles avaient été fières d’elles, par exemple leur remise de diplôme.
 
Cette approche s’est avérée fructueuse chez les patients, qui ont ainsi vu leur santé s’améliorer, notamment par une réduction de la pression sanguine.
 
Aussi, ce positivisme leur a apporté des bienfaits, comme le fait de vouloir faire plus d’activités physiques et mieux suivre les traitements médicaux qu’on leur avait prescrits.
 
Penser à des images agréables permet donc d’avoir une meilleure santé et de surmonter les obstacles avec le sourire.
 
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Le chocolat noir aurait aussi des vices cachés

Depuis des années, on vante les mérites du chocolat noir, au plus grand plaisir des amateurs.
 
On le dit aussi bénéfique pour le cœur que le vin rouge, et il aiderait à abaisser la pression artérielle en raison des nombreux antioxydants qu’il contient.
 
Voilà toutefois que le Daily Mail s’est penché sur la question, et le chocolat noir ne serait pas sans reproche.
 
Bien qu’il soit meilleur que le chocolat au lait ou le chocolat blanc, le chocolat noir comporte toutefois plus de calories et de graisses saturées qui ne sont pas bénéfiques pour la santé.
 
Par exemple, pour 40 g de chocolat à 85 % de cacao, on retrouve 227 calories et 12 g de graisses saturées, soit l’équivalent de 60 % de la limite recommandée par jour.
 
Pourtant, la même quantité de chocolat au lait comporterait 207 calories et 7 g de graisses, soit 37 % de la limite quotidienne suggérée.
 
Le débat est donc relancé.

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L’affection d’une mère favorise la santé des enfants

Une étude récente de l’Université de la Californie, publiée dans la revue Psychological Science, révèle que bien des enfants qui sont élevés dans des familles à faible statut socioéconomique (SSE) sont plus aptes à développer des maladies chroniques à l’âge adulte. Par contre, une minorité appréciable reste en bonne santé tout au long de leur vie.

La recherche a étudié si l’affection parentale peut atténuer les facteurs socioéconomiques durant l’enfance.

C’est dans le but de favoriser les relations saines et d’éduquer les parents vulnérables à faire preuve de gestes gratuits et être bons pour leurs enfants que l’étude a été élaborée.

Les contraintes de l’enfance, comme la pauvreté et le manque d’éducation des parents, peuvent laisser un résidu biologique qui apparaît dans la quarantaine, confirment les spécialistes. Cependant, il semblerait que les enfants qui n’ont pas manqué d’amour, de soins et d’attention de la part de leur mère ont eu moins de chances d’avoir un diagnostic du syndrome métabolique, qui est un précurseur de la maladie coronarienne, du diabète de type 2 et des accidents vasculaires cérébraux.

L’étude se poursuivra, puisque celle-ci a examiné 1205 personnes qui sont nées à la fin des années 70, une époque où les pères étant moins présents dans les relations interpersonnelles. Pour le moment, rien n’indique que le rôle du père aimant a eu une influence sur la santé des enfants devenus grands.

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La papaye pour une peau éclatante

Le rêve de toutes les femmes est d’avoir une peau, saine, lisse et éclatante. Il existe toutes sortes de moyens pour y parvenir, que ce soit avec des trucs anciens ou des traitements coûteux.
 
Le Times of India rapporte que la papaye est non seulement bonne pour votre corps, mais aussi pour votre peau.
 
La papaye regorge de vitamines et nutriments importants qui, ensemble, peuvent procurer une peau éclatante de santé. De plus, ce fruit est reconnu pour avoir des propriétés anti-cancer.
 
Qu’elle soit crue ou cuite, la papaye convient à tous et à tous les types de peau. Pour un petit rajeunissement, voici donc une petite recette simple :
 
½ tasse de papaye mûre écrasée
¼ tasse de lait de noix de coco
¼ de flocons d’avoine
 
Mélangez le tout et appliquez-le sur le visage et le cou pendant cinq minutes, puis rincez bien à l’eau. Ensuite, évitez d’exposer votre peau aux rayons du soleil.
 
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La position assise augmente les risques de troubles de santé et psychologiques

Une autre étude, présentée à l’Annual Occupational Conference de la British Psychological Society, vient confirmer des données précédentes. Rester trop longtemps assis présente un risque pour la santé, non seulement physique, mais psychologique également.
 
Les chercheurs ont interrogé 1000 employés. 70 % d’entre eux ne respectaient pas les recommandations quotidiennes d’activité physique.
 
De plus, on observe que plus vous restez assis à votre bureau, plus vous risquez de rester assis également lors de vos temps libres. Les gens passent en moyenne 5 h 41 assis tous les jours, pour huit heures de sommeil, ce qui est trop.
 
On recommande encore de se lever, de marcher un peu et même de se lever pour parler à des collègues.
 
Dans les études précédentes, on mentionnait également le risque de problèmes de santé accru en demeurant trop longtemps assis, notamment les risques de maladies cardiaques qui se trouvaient à être deux fois plus grands.