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Le lait ne serait pas un aliment santé

Le Harvard Centre for Education and Public Health a soumis un guide alimentaire pour le Département américain de l’agriculture et les experts en nutrition.
 
Selon le Healthiest World News, les experts ont dû s’expliquer sur l’absence de produits laitiers dans leurs suggestions.
 
Selon les nutritionnistes de Harvard, les produits laitiers ne seraient pas des aliments sains.
 
« Un apport élevé en lait peut augmenter le risque de cancer de la prostate et possiblement le cancer des ovaires également », disent les experts.
 
La teneur élevée en matières grasses du lait a aussi été pointée du doigt.
 
Afin d’obtenir un bon apport en calcium, les experts recommandent plutôt les feuilles de moutarde, le lait de soja et les haricots, qui sont des aliments plus sûrs pour la santé et qui apportent le calcium nécessaire à la bonne santé des os.
 
Le guide favorise également la consommation de fruits et légumes. Pour avoir des protéines, on privilégie les noix et le poisson.

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De mauvaises nuits aggravent la santé des jeunes diabétiques

Un manque de sommeil, pour ceux qui ont le diabète de type 1, conduit à une augmentation des problèmes de santé et de comportement, selon une récente étude.

Ces jeunes n’arrivent pas à contrôler leur glycémie et voient leurs résultats scolaires en baisse, selon les conclusions de la Dre Michelle Perfect et ses collègues de l’Université de l’Arizona à Tucson, publiées dans la revue Sleep.

« Même s’ils adhèrent à des recommandations pour une bonne santé, les jeunes diabétiques avec le diabète de type 1 ont des difficultés à maintenir le contrôle de leur glycémie », a indiqué l’auteure.

« Nous avons constaté que cela pourrait être dû à des anomalies dans le sommeil, telles que la somnolence, un léger sommeil et l’apnée du sommeil. Tout cela fait qu’il est plus difficile d’avoir un bon contrôle de la glycémie », a-t-elle ajouté.

Pour leur étude, les chercheurs ont suivi l’état de santé du sommeil de 50 jeunes diabétiques de type 1, âgés de 10 à 16 ans.

Selon les experts, ces enfants pourraient être aidés par un professionnel pour obtenir une meilleure qualité de sommeil.

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Les femmes obèses devraient perdre du poids avant d’avoir un bébé

Comme le taux d’obésité est à la hausse, davantage de femmes tombent enceintes en étant déjà en surpoids. Ces kilos superflus mettent en danger leur santé et celle de leur futur bébé.

The Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG) recommande aux femmes de maigrir avant d’être enceintes et déconseille de faire un régime pendant la grossesse.

L’organisme indique que près de 40 000 femmes sont considérées comme obèses, avec un indice de masse corporelle de 35 ou plus, et accouchent chaque année.

L’obésité augmente notamment le risque de fausse couche, de caillots de sang, de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle. Les femmes obèses sont d’ailleurs plus susceptibles d’avoir besoin d’une césarienne d’urgence.

Les risques pour le bébé sont également importants. Les petits peuvent souffrir d’obésité et de diabète plus tard dans leur vie.

Le RCOG explique qu’en mangeant équilibré pendant la grossesse, on peut même perdre une petite quantité de poids.

Soulignons qu’il n’est pas nécessaire de manger pour deux. Les femmes enceintes n’ont pas besoin de calories supplémentaires avant le troisième trimestre. Un supplément de 200 calories par jour, l’équivalent de deux morceaux de pain grillé, est suffisant.

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Un nouveau système de santé qui sauve des vies et de l’argent

On apprend dans le journal Obstetrics & Gynecology que ce programme — qui vise à améliorer la santé maternelle et réduire les dépenses de soins de santé — a une façon d’approcher directement et de façon préventive les femmes qui consomment drogues, cigarettes et alcool.

L’analyse coûts-avantages du programme Early Start Kaiser Permanente a été réalisée en 2008 auprès de 49 261 femmes enceintes. Cette étude a démontré que les femmes toxicomanes et les bébés à risque pouvaient améliorer leur sort et arriver à des résultats de santé similaires à ceux et celles qui ne consomment pas.

« Ce programme, qui consiste au dépistage des femmes enceintes par des tests toxicologiques dans l’urine et des questionnaires de dépistage d’abus de substances, a su prouver la diminution de la morbidité maternelle et néonatale », a déclaré l’auteure de l’étude, Nancy C. Goler.

Les experts croient que sur 4 millions de naissances, près de 2 milliards de dollars pourraient être épargnés chaque année. Pour arriver à ces résultats, le programme de santé devrait être implanté à l’échelle nationale.

Le tout peut être réaliste si le programme est accessible aux patientes. Les chercheurs suggèrent que ce dernier se retrouve facilement et rapidement dans les cliniques prénatales que fréquentent les femmes durant la grossesse.

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D’autres confirmations des bienfaits du chocolat

En cette période de fêtes, les amateurs de chocolat pourront se permettre de petits plaisirs, alors que sept nouvelles études sur les bienfaits du chocolat ont été réalisées, totalisant 114 000 personnes.
 
Cinq des études confirment les bienfaits du chocolat. On constate qu’une consommation régulière réduit de 37 % les risques de maladies cardiovasculaires, de 29 % les risques d’accidents vasculaires cérébraux, et de 31 % les risques de diabète.
 
Le chocolat aurait de nombreuses propriétés. Selon Cerin, il serait à la fois antioxydant, anti-inflammatoire, anti-hypertenseur, anti-athérosclérose, anti-thrombose et anti-insulinorésistance.
 
Ceci notamment en raison des flavonoïdes du cacao qui réduisent la pression sanguine, le mauvais cholestérol et augmentent le bon cholestérol.
 
De plus, une étude suédoise affirme que bien que le chocolat noir soit le plus bénéfique, on a remarqué les mêmes bienfaits avec le chocolat au lait, qui est le type le plus consommé dans le monde.
 
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Manger moins peut stimuler votre cerveau

Faire l’impasse sur le flan et autres douceurs est bon pour le cerveau. Une nouvelle étude italienne met en lumière les bienfaits de la « restriction calorique ». De petites portions amélioreraient la santé et l’espérance de vie, surtout.

Des chercheurs ont décidé de se concentrer sur une protéine appelée CREB1, qui est connue pour être importante pour la mémoire et l’apprentissage.

Lors de leurs expériences sur des souris, les scientifiques ont notamment démontré que la réduction de calories stimule l’apprentissage.

Une tasse de café peut aussi être bénéfique, si l’on regarde les résultats de récentes études qui mettent en évidence le rôle de la caféine. Cette dernière augmenterait la quantité de CREB1 dans le corps.

Finalement, on comprend mieux pourquoi les résidents de l’île d’Okinawa, au Japon, vivent longtemps. En effet, ces personnes consomment peu de calories.

« Cette découverte a des implications importantes pour développer des thérapies futures afin de garder notre cerveau jeune et prévenir la dégénérescence du cerveau et du processus de vieillissement », a indiqué un des chercheurs, le Dr Pani de l’Université catholique du Sacré-Coeur de Rome, dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Accouchement : l’enquête nationale sur les maternités du Canada fait le point

Si l’on compare aux années 90, l’enquête nationale sur les maternités du Canada a constaté qu’au cours des dernières années, il y a 7 % moins d’hôpitaux qui acceptent les conjoints ou autres personnes de soutien dans la salle pendant le travail de la future mère.

Cette statistique à la baisse serait probablement due à l’épidémie du SRAS en 2004 qui en a effrayé plus d’un. Cependant, selon les chercheurs, il faudrait remédier à cette situation en encourageant à nouveau la présence du partenaire, car cela favorise de meilleures naissances et fait vivre une plus belle expérience au couple.

L’étude a également démontré que la fréquence cardiaque foetale de routine de surveillance est de plus en plus utilisée et qu’on limite davantage le temps accordé aux femmes pour passer au deuxième stade du travail. Deux pratiques qui, selon l’enquête, peuvent augmenter le risque de césarienne et d’autres interventions.

Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, la césarienne est aujourd’hui trop normalisée. Malgré les risques de complications et un temps de récupération plus exigeant pour la mère à la suite d’une intervention chirurgicale, plus d’un enfant sur quatre nait tout de même par césarienne.

L’étude, qui est parue dans le Journal d’obstétrique et de gynécologie du Canada, ne démontre pas seulement des points à améliorer ou à modifier dans les hôpitaux lors d’un accouchement, mais aussi des points positifs.

Par exemple, le fait que l’accès à l’anesthésie péridurale pour le contrôle de la douleur pendant le travail et la naissance ait passé de 55 % en 1993 à 87 % en 2007 est une bonne chose, selon des médecins. Par contre, il y a encore trop d’hôpitaux qui utilisent à l’aveuglette la péridurale. Presque toutes les femmes ont recours à cette anesthésie et la plupart d’entre elles ne seraient pas en mesure de peser les pour et les contre.

Une baisse radicale (62 à 17 %) de l’utilisation de l’épisiotomie de routine (incision dans la paroi vaginale pour la tête du bébé) a également été remarquée. Il semblerait aussi qu’une plus grande liberté sur le choix de la position d’accouchement est accordée aux femmes. De moins en moins sont prisonnières des étriers. La position verticale (debout, accroupie ou assise) et la déviation de la tête du bébé pour permettre plus de mouvements dans le bassin sont encouragées par les médecins pour améliorer de beaucoup le travail.

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De plus en plus de restaurants américains prennent le virage santé

On tente non seulement de couper la quantité de sel dans les plats, mais aussi la quantité de graisse, de sucre, et maintenant de gluten, en raison des nombreuses allergies.
 
C’est ce que mentionne le rapport du groupe américain Technomic, qui affirme qu’entre 2010 et 2011, les plats servis sans gluten ont augmenté de 61 %. Ceci en raison d’une meilleure connaissance de la maladie cœliaque qui pose de sérieux problèmes aux intestins.
 
Les consommateurs demandent toutefois encore plus de transparence de la part des restaurateurs concernant les quantités de sucre et de graisse dans leurs plats.
 
Selon deux instituts britanniques, Leatherhead et Mintel, nous assisterons à une plus grande prise de conscience de ce genre en 2012 dans le monde. Les produits sans gluten, sans sucre, sans graisse et sans sel seront de plus en plus nombreux, de même que ceux sans lactose.
 
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De plus en plus de restaurants américains prennent le virage santé

On tente non seulement de couper la quantité de sel dans les plats, mais aussi la quantité de graisse, de sucre, et maintenant de gluten, en raison des nombreuses allergies.
 
C’est ce que mentionne le rapport du groupe américain Technomic, qui affirme qu’entre 2010 et 2011, les plats servis sans gluten ont augmenté de 61 %. Ceci en raison d’une meilleure connaissance de la maladie cœliaque qui pose de sérieux problèmes aux intestins.
 
Les consommateurs demandent toutefois encore plus de transparence de la part des restaurateurs concernant les quantités de sucre et de graisse dans leurs plats.
 
Selon deux instituts britanniques, Leatherhead et Mintel, nous assisterons à une plus grande prise de conscience de ce genre en 2012 dans le monde. Les produits sans gluten, sans sucre, sans graisse et sans sel seront de plus en plus nombreux, de même que ceux sans lactose.
 
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Plusieurs années avant la grossesse, mangez bien!

En octobre dernier, des spécialistes ont conclu qu’une saine alimentation avant, pendant et après la grossesse assurait le bon développement et les effets positifs à plus long terme chez l’enfant.

Cette constatation a été rendue publique lors du Colloque du Fonds français pour l’alimentation et la santé, ayant pour thème Les déterminants précoces de la santé future de l’enfant.

Du type de nutriments consommé par le père, qui pourrait avoir une influence sur la qualité du sperme, à la perte ou prise de poids importante avant la grossesse par la mère, en passant par le stress, l’alimentation excessive ou insuffisante au mode de vie et l’environnement, tous sont des facteurs déterminants sur la santé et le futur des enfants.

Plusieurs séries d’études le démontrent, une mauvaise alimentation peut avoir un impact tant sur la fertilité que sur le développement du fœtus, ou encore lorsque l’enfant deviendra adulte.

Selon la Dre Marie-Aline Charles, « le potentiel de croissance fœtale s’adapte à l’état nutritionnel maternel avant la grossesse ».

Il est donc important de prendre soin de soi et de bien se nourrir, même plusieurs années avant de tomber enceinte, car cela aura une grande influence. Le dicton « Il vaut mieux prévenir que guérir » s’applique plus que jamais dans ce cas-ci…