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Le sirop d’érable bénéfique pour le foie

Une équipe de chercheurs, dirigée par la Dre Keiko Abe de l’École supérieure des sciences de l’agriculture et de la vie de l’Université de Tokyo, a découvert que le sirop d’érable canadien serait un atout précieux pour la santé hépatique.
 
Des rats en bonne santé qui ont eu une alimentation contenant du sirop d’érable pur à 100 % du Canada ont obtenu de meilleurs résultats hépatiques que leurs congénères qui n’avaient pas le sirop.
 
La Fondation canadienne du foie mentionne qu’il existe une centaine de maladies du foie différentes, et elles touchent en moyenne un Canadien sur dix.
 
Les personnes obèses, diabétiques ou souffrant d’une insulinorésistance sont le plus à risque d’avoir des problèmes de foie.
 
Selon les chercheurs, le sirop d’érable serait le meilleur édulcorant, car il contient beaucoup d’antioxydants polyphénoliques, des vitamines et des minéraux.
 
« Cette recherche contribue à notre compréhension grandissante du remarquable potentiel du sirop d’érable pour la santé », mentionne Serge Beaulieu, président de la Fédération des producteurs acéricoles du Québec.
 
« Nous avons appris précédemment que le sirop d’érable contient des composés antioxydants pouvant contribuer à réguler le métabolisme du glucose et à stimuler la sécrétion d’insuline, favorisant peut-être la gestion du diabète de type 2. À l’heure actuelle, Dre Abe étudie les corrélations entre la consommation de sirop d’érable et la santé du foie. Ses toutes dernières conclusions nous offrent encore plus de raisons de savourer notre sirop d’érable », ajoute-t-il.
 
Les résultats de l’étude seront publiés dans l’édition de novembre du Bioscience, Biotechnology, and Biochemistry.
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Glaçons dans les boissons : dangers pour la santé

Une recherche effectuée dans 88 établissements (pubs, restaurants, cafés) en Angleterre démontre que les glaçons que l’on met dans les boissons exposent les clients à des risques pour leur santé.
 
Les experts y ont retrouvé plusieurs bactéries, provenant notamment du fait que les gens ne se lavent pas correctement les mains après être allés à la salle de bain.
 
Ainsi, les taux de bactéries coliformes, entérocoques et E. coli étaient inacceptables.
Sur les 88 établissements, 30 % avaient une mauvaise hygiène quant aux machines à glace et aux instruments.
 
Cela expliquerait en partie pourquoi le nombre de personnes avec des troubles gastriques a grimpé de 50 % depuis 1990, mentionne le Daily Mail.
 
Même si cette étude a été réalisée en Angleterre, on croit fortement qu’il en est de même dans les établissements du monde entier. Une étude américaine avait également dévoilé que les machines à glace étaient réellement susceptibles d’être contaminées.
 
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Prévenir la violence avant la naissance

On pourrait prévenir la violence dès la vie prénatale, selon des chercheurs de l’University of Pennsylvania School of Nursing. Il ne s’agit pas ici de reconnaître des liens génétiques; il est question de certains facteurs liés à la santé.

Par exemple, une déficience nutritionnelle peut, selon les chercheurs, entrer en conflit avec le processus biologique. D’autres facteurs sont, en plus de la nutrition prénatale et postnatale, le tabagisme durant la grossesse, la dépression maternelle et le stress, entre autres.

La grossesse, la naissance et les premiers moments de vie seraient cruciaux quant au développement neural.

Les facteurs de risque de délinquance et de crime puiseraient aux sources de la vie, et le moment crucial quant au développement du cerveau serait les 36 premiers mois. On comprend donc l’urgence d’une intervention hâtive.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans Aggression and Violent Behavior.

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Le jus d’orange : un allié de choix

Selon une équipe du INRA, l’orange est l’un des fruits les plus consommés dans le monde entier, surtout sous forme de jus. Mais saviez-vous qu’il offre notamment une bonne protection au niveau cardiovasculaire?
 
Le jus d’orange est riche en flavanones et en vitamines, surtout en vitamine C. Ce jus contient aussi peu de calories.
 
En boire un demi-litre par jour diminue la pression sanguine, en plus d’améliorer la capacité des vaisseaux sanguins à se dilater.
 
Les plus grands consommateurs de jus d’orange sont les enfants. Il s’agit en effet d’une excellente habitude à prendre dès le plus jeune âge.
 
La consommation de jus d’orange aide à prévenir le développement de pathologies cardiaques à l’âge adulte. De plus, cela offre une protection de la santé à long terme.
 
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Influence surprenante du mois de naissance

Le mois de naissance aurait une influence marquante sur le déroulement de la vie d’une personne. C’est ce que soutient une récente étude de l’Office britannique des statistiques nationales (ONS).

Il semble donc que les bébés nés en janvier ont plus de chances de devenir médecins ou agents de recouvrement. Les pilotes et les artistes, quant à eux, seraient plus nombreux à être nés en février ou mars, alors que les meneurs sportifs naissent plus souvent en avril ou mai, et les dentistes en décembre.

Surprenant? L’ONS affirme même, selon les résultats de son étude, que le moment de la naissance influencerait la santé, l’intelligence et la longévité d’une personne. Il semble que le printemps soit alors une saison où plus d’enfants souffrant d’autisme ou d’asthme voient le jour.

L’explication scientifique de telles corrélations résiderait en l’exposition au soleil de la femme enceinte. Mais il ne faudrait pas trop prendre ces observations au sérieux et programmer sa grossesse en fonction de la saison de la naissance : cette étude n’a été menée qu’auprès de 19 personnes.

Ajoutons tout de même que les tueurs en série naîtraient le plus souvent en novembre.

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La circoncision est moins usuelle qu’avant

Selon des données des U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la circoncision serait une pratique de moins en moins habituelle en milieu hospitalier. On a d’ailleurs remarqué une baisse marquée de cette pratique au cours de la dernière décennie.

En regard à trois sondages nationaux, les CDC ont pu relever la fréquence de cette intervention consistant à retirer la peau superflue du pénis des bébés garçons au sein d’hôpitaux américains.

Ainsi, selon un premier sondage, le taux de circoncision à l’hôpital était de 62,9 % en 1999, puis est passé à 56,9 % en 2008. Les résultats d’un deuxième sondage donnent 58,4 % en 2001 contre 54,7 % en 2010. Finalement, le troisième sondage a récolté des taux de 63,5 % en 1999 et 56,3 % en 2008.

Toutefois, cela ne veut pas nécessairement dire que le taux général de circoncision chez les garçons a baissé. La raison en est que l’on ne tient pas compte ici des pratiques respectées au sein de différentes religions, notamment chez les juifs et les musulmans.

Rappelons que la pratique de la circoncision a fait l’objet de nombreux débats, malgré ses possibles avantages sur la santé. À cet effet, il semble que de récentes études auraient démontré que cette intervention pourrait diminuer la transmission du VIH, de l’herpès et du virus du papillome humain, entre autres.

Crédit : Sura Nualpradid / FreeDigitalPhotos.net

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Les enfants sont-ils tous égaux?

On lit dans le Bulletin hebdomadaire épidémiologique que les inégalités sociales, en ce qui a trait à la santé, seraient visibles dès la maternelle. Les enfants de cinq ans vivraient de telles différences selon la région qu’ils habitent.

Selon sa situation socio-économique, un enfant serait plus enclin à souffrir d’un surpoids, voire d’obésité, et il serait plus vulnérable à avoir des caries dentaires. Par exemple, on a remarqué qu’un enfant de la maternelle avait moins tendance à accuser un surpoids si son père occupait un poste de cadre que s’il était ouvrier.

D’autre part, les petites filles seraient plus nombreuses à avoir un surpoids (14 %) que les petits garçons (10 %). S’ils vieillissent un peu, cet écart s’amenuise toutefois (20 % contre 19 %).

En général, on estime que les inégalités sociales liées à la santé ici observées chez des enfants de la maternelle prendraient leur source dans les habitudes de vie, surtout en ce qui concerne l’alimentation.

Selon son milieu social et son environnement, un enfant serait plus ou moins enclin à consommer des boissons gazeuses, à écouter la télévision et jouer à des jeux vidéo, ou jouer à l’extérieur. Toutefois, on n’a pu vérifier, dans la présente enquête, si les enfants pratiquaient ou non un sport de façon régulière.

Ces constats ont été faits selon une enquête menée auprès de 23 000 jeunes enfants de 2005 à 2006.

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Les enfants en exemple

On lit sur Medpage Today qu’une petite étude ayant porté sur une école privée du Brésil démontre que les enfants peuvent avoir un impact important sur la santé de leurs parents.

Précisément, les parents d’enfants à qui l’on offre un soutien éducatif visant à encourager de saines habitudes de vie ont beaucoup moins de risques de souffrir d’une maladie cardiovasculaire que les autres. Le comparatif est ici de 91 % moins de risques contre 13 %.

Ainsi, intervenir auprès de l’enfant quant à sa santé et son mode de vie aura des répercussions sur toute sa famille. À la suite de ces premiers résultats, on vise maintenant à étendre le programme au sein des écoles publiques.

Ce dernier consistait à accorder une heure par semaine à faire suivre aux enfants des leçons, spécialement conçues pour eux, qui portaient sur l’alimentation, les dangers du tabac et l’activité physique.

Les enfants qui suivaient ce programme, âgés de 6 à 10 ans, participaient à des jeux, écoutaient des films éducatifs, prenaient part à des ateliers culinaires et discutaient de ce qu’est un mode de vie sain.

Au total, 197 enfants et 323 parents ont fait partie de cette recherche, qui s’est étalée de mars à décembre 2010. D’autres suivront pour qualifier les effets à long terme de cette intervention.

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De plus en plus de diabétiques

Le nombre de personnes diabétiques a plus que doublé ces trente dernières années.
C’est ce que dévoile une étude conjointe de l’Imperial College de Londres et de l’Université Harvard.
 
En 1980, on comptait 153 millions de diabétiques dans le monde. En 2008, il y en avait 347 millions, et ce nombre ne cesse de grimper, mentionne The Lancet. De 85 à 95 % des cas sont du diabète de type 2.
 
Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, comme le vieillissement de la population, la croissance démographique. Toutefois, c’est surtout le taux d’obésité continuellement en croissance que l’on associe également au nombre accru de diabétiques.
 
Une mauvaise alimentation et la génétique sont aussi des facteurs qui peuvent favoriser le développement de la maladie.
 
L’Organisation mondiale de la santé affirme que le diabète est responsable de trois millions de décès chaque année.
 
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A-t-on encore peur des vaccins?

L’Institute of Medicine (OMI) des États-Unis vient de démontrer, après avoir passé en revue plus de 1 000 études sur le sujet, que les vaccins ne sont liés en rien à l’apparition de l’autisme ou du diabète de type 1 chez les enfants.

Cela en réconfortera plus d’un, car de nombreuses rumeurs avaient couru sur le sujet. Les experts ajoutent même que s’il y a des problèmes de santé (au nombre de 14) existant en raison d’un vaccin, ils demeurent très rares, comme nous le lisons sur Medical News Today.

Parmi les vaccins les plus courants, on compte celui contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. On le connaît d’ailleurs sous le nom du vaccin RRO. Si quelques femmes et enfants peuvent en ressentir de la douleur, on ne compte que de rares cas de convulsions à la suite de fièvre.

Quant à celui prévenant contre la varicelle, un autre exemple de vaccin courant, on a relevé de rares cas de pneumonie, de méningites et d’hépatite, entre autres. Des boutons de varicelle peuvent aussi apparaître si le patient a un faible système immunitaire.

On conclut qu’en général, les vaccins peuvent affaiblir ou causer une inflammation à la hauteur de l’épaule. Le plus important est que le RRO n’entraînera pas le diabète ni l’autisme et que celui contre l’influenza n’augmente pas les symptômes de l’asthme.