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La langue liée au niveau de la santé

Selon la spécialiste en santé des populations, Louise Bouchard, les francophones ou les anglophones qui sont en minorité dans leur communauté seraient en moins bonne santé que les gens majoritaires. 

Selon l’étude réalisée à l’Université d’Ottawa, cela serait dû notamment au fait qu’il peut y avoir des problèmes de communication avec les médecins. D’autre part, parfois, ces minorités linguistiques vivraient plus en milieu rural, où l’accès aux services de santé est moins facile. De plus, on note un plus grand taux de vieillissement de la population chez ces personnes.
 
Toujours selon cette recherche, les minorités linguistiques pourraient également être moins éduquées, ce qui veut donc dire des salaires moins élevés, et par conséquent une moins bonne santé.
 
Cela dit, d’autres experts ne partagent pas tous les arguments de Mme Bouchard, même s’ils mentionnent également que le vieillissement et parfois les problèmes de communication jouent en défaveur.
 
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Blâmer les autres pour ses malheurs ne fait que rendre malade

Le professeur de psychologie de l’Université Concordia, Carsten Wrosh, s’intéresse aux effets des émotions négatives sur la santé. Selon lui, l’amertume peut entraîner des problèmes de santé. 

Les gens amers ont tendance à blâmer les autres (patron, conjoint, famille, etc.) pour leurs échecs et leurs malheurs, mais au bout du compte, ils risquent fort bien de se rendre malades.
 
« On peut présumer qu’elle augmente le taux de cortisol [l’hormone du stress]. Si l’amertume devient chronique, cela peut causer des dérèglements biologiques et rendre vulnérable aux maladies », explique le chercheur qui rappelle que ce sentiment est souvent accompagné de colère et d’hostilité.
 
Le professeur a étudié les pensées, l’humeur et la santé de 300 couples pendant 3 ans pour en arriver à ce constat.
 
Apparemment, 1 à 2 % de la population souffre d’amertume chronique. Pour vaincre ce sentiment, il est important de valoriser la persévérance et apprendre à lâcher prise. D’autre part, si nous n’atteignons pas nos objectifs malgré nos efforts, il faut alors s’en fixer des nouveaux.
 
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Asthme mal soigné : les répercussions

Lorsqu’un enfant n’est pas suivi adéquatement quant à son asthme, les conséquences sont nombreuses. Selon une recherche de la National Jewish Health, les coûts relatifs à la santé sont doublés dans le cas de cette maladie.

De plus, l’enfant asthmatique qui n’est pas bien soigné sera plus enclin à être absent de l’école, ce qui va à l’encontre de sa réussite scolaire. On parle ici d’une moyenne de 18 jours d’absentéisme par année, contre 2 jours pour les autres patients asthmatiques.
 
Cette étude a été faite auprès de 628 enfants qui souffraient d’un asthme sévère ou difficile à soigner. Les sujets étaient divisés en trois sous-groupes, soit : très pauvrement suivis, pas très bien suivis et bien suivis. Ils étaient âgés de 6 à 12 ans.
 
Semble-t-il que c’était la première fois que l’on se penche sur les coûts engendrés par un traitement efficace ou non de l’asthme.
 
Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’édition d’août 2011 des Archives of Allergy, Asthma & Immunology.
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La naissance déciderait de la vie future

Une étude parue dans l’American Journal of Epidemiology fait part d’un lien entre l’état de santé d’un nouveau-né et ce qu’il adviendra de ce dernier une fois l’âge adulte atteint. Il semble que même la réussite professionnelle pourrait en être affectée.

On a en effet remarqué, à la suite de cette étude longitudinale ayant porté sur 8 300 travailleurs de 1991 à 2004, que le poids de naissance et le temps passé à l’hôpital en raison de problèmes de santé demeuraient influents jusque dans la vie adulte.
 
Ainsi, les sujets qui avaient un faible poids de naissance et qui étaient restés à l’hôpital quatre semaines ou plus durant leur enfance avaient moins tendance à obtenir des promotions et gagner beaucoup d’argent. Ces derniers étaient aussi plus enclins à développer une maladie cardiaque durant la vie adulte.
 
On remarque qu’une pauvre santé infantile peut souvent baisser la qualité de vie et empêcher l’accès à une carrière réussie plus tard dans la vie, une relation que l’on avait déjà soulevée par le passé.
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Les soins particuliers nuiraient à la réussite scolaire

Une récente étude parue dans Pediatrics fait la lumière sur la vie sociale et la réussite scolaire d’enfants nécessitant des soins de santé particuliers. Il semble que les enfants ayant de tels besoins en soient discriminés.

En effet, après que l’on ait ajusté certains segments, on a remarqué que les enfants recevant des soins particuliers en milieu scolaire étaient plus souvent victimes d’intimidation et affichaient un comportement dérangeant dans une plus grande proportion.
 
De plus, ils démontraient une moins grande motivation et obtenaient de moins bons résultats scolaires. Parmi les enfants de 34 écoles, 33 % ont été reconnus comme nécessitant des soins particuliers.
 
Ceux-ci comprenaient les limites physiques dues à une maladie chronique et les problèmes de comportement. La seule prise de médicaments ne faisait pas partie des raisons, du moins dans cette recherche. Au total, 1 457 enfants de la 4e à la 6e année ont été évalués.
 
On recommande, à la suite des résultats obtenus, que les enfants ayant des besoins particuliers soient mieux soutenus dans le milieu scolaire.
 
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Danger : siège d’auto

Selon Le Figaro.fr, il ne serait pas si prudent d’asseoir bébé dans son siège en voiture. Un organisme américain, Ecology Center, soutient qu’environ la moitié des sièges d’auto de ce pays contiendraient des produits chimiques présentant un danger pour la santé.
 
L’organisme en question a réalisé une étude sur 150 sièges avant de présenter cette conclusion. Il soutient aussi que les rayons ultra-violets accéléreraient le processus desdites substances dangereuses.
 
Du brome, du chlore ou des PVC ont été identifiés dans 60 % des sièges d’auto testés. Ces substances font toutes parties des produits cancérigènes reconnus aux États-Unis, pouvant représenter un danger pour le système reproductif et immunitaire. Rappelons que le brome est aussi pointé du doigt pour entraver le bon développement du cerveau.
 
Les bébés se retrouvent donc très exposés à ces substances, étant plus vulnérables parce que leur corps est encore en développement. Ecology Center demande aux entreprises fabriquant les sièges d’auto d’éviter les produits chimiques.
 
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Le sport, c’est la santé : voyons-y

Le changement de saison qui approche signifie que votre enfant verra ses activités sportives se transformer. Aussi, comme on le lit dans Pediatrics News & Children’s Health News, on procède à une inspection en règle.
 
Car les risques de blessures sont grands dans la pratique sportive des plus jeunes. On estime qu’aux États-Unis seulement, près de 3 millions d’enfants de moins de 14 ans se font mal en pratiquant un sport ou une activité récréative.
 
On commence par la tête. Le casque protecteur de votre enfant lui fait-il adéquatement? De nombreuses blessures à la tête sont dues à un mauvais ajustement. Rappelez bien à votre enfant, de plus, qu’il doit aviser immédiatement son entraîneur s’il se sent étourdi ou perdu à la suite d’un accident de ce type.
 
Même si la température extérieure baissera au cours des prochains mois, on demeure aux aguets quant aux coups de chaleur. En tout temps, un enfant doit s’hydrater aux 10 à 15 minutes lorsqu’il pratique un sport extérieur.
 
Votre enfant peut aussi se préparer à la reprise de ses entraînements extérieurs en passant graduellement un peu plus de temps dehors, dans la chaleur et l’humidité actuelles, et ce, pendant environ deux semaines.
 
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Le sport, c’est la santé : voyons-y

Le changement de saison qui approche signifie que votre enfant verra ses activités sportives se transformer. Aussi, comme on le lit dans Pediatrics News & Children’s Health News, on procède à une inspection en règle.
 
Car les risques de blessures sont grands dans la pratique sportive des plus jeunes. On estime qu’aux États-Unis seulement, près de 3 millions d’enfants de moins de 14 ans se font mal en pratiquant un sport ou une activité récréative.
 
On commence par la tête. Le casque protecteur de votre enfant lui fait-il adéquatement? De nombreuses blessures à la tête sont dues à un mauvais ajustement. Rappelez bien à votre enfant, de plus, qu’il doit aviser immédiatement son entraîneur s’il se sent étourdi ou perdu à la suite d’un accident de ce type.
 
Même si la température extérieure baissera au cours des prochains mois, on demeure aux aguets quant aux coups de chaleur. En tout temps, un enfant doit s’hydrater aux 10 à 15 minutes lorsqu’il pratique un sport extérieur.
 
Votre enfant peut aussi se préparer à la reprise de ses entraînements extérieurs en passant graduellement un peu plus de temps dehors, dans la chaleur et l’humidité actuelles, et ce, pendant environ deux semaines.
 
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La santé mentale des enfants-soldats

On estime que dans le monde, 250 000 enfants (soit âgés de moins de 18 ans) sont soldats. Ils participent à des conflits armés au sein de 14 pays et territoires. Comment soutenir ces enfants, une fois qu’ils sont sortis de cette situation?
 
Une étude parue dans JAMA fait état d’une thérapie ciblée qui pourrait leur venir en aide. Elle a été évaluée auprès d’anciens enfants-soldats ougandais.
 
Basée sur la réponse au traumatisme, elle s’étale sur un court laps de temps. Son utilisation auprès des enfants a démontré des résultats probants.
 
En effet, les anciens enfants-soldats qui l’avaient suivie ont vu leurs symptômes liés au stress post-traumatique réduit grandement, en comparaison de ceux qui avaient reçu une autre forme d’aide thérapeutique.
 
Vu l’étendue de la guerre, on prévoit que l’Ouganda fera face à de grands enjeux quant à ses enfants-soldats, au cours des prochaines années.
 
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5 bonnes raisons de manger des noix

Les noix représentent la collation idéale pour combler un petit creux en attendant le repas.
 
Selon MedicMagic, elles contiennent des graisses saines, naturelles. De plus, les noix ont un taux très élevé en protéines, ce qui permet de vous sentir rassasié plus longtemps.
 
Elles sont également bonnes pour la santé du coeur en faisant baisser le niveau du mauvais cholestérol, un des déclencheurs des maladies cardiaques. Les noix aident également à réduire les risques de caillots de sang, menant souvent aux AVC.
 
Elles peuvent facilement être combinées à d’autres aliments et finalement, elles contiennent aussi un taux élevé de sélénium qui active les substances antioxydantes qui conjurent les radicaux libres, ceux-ci favorisant le développement du cancer.