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Avis contraires sur l’alimentation de maman

De façon générale, en regard aux dernières découvertes, on s’entend pour dire qu’une pauvre alimentation durant la grossesse augmente les risques pour le bébé de naître avec un faible poids de naissance. Des dangers pour sa santé future ont aussi été reconnus, dont des problèmes cardiaques.

Or, une toute nouvelle recherche, menée par la London School of Hygiene and Tropical Medicine, avance que la prise de suppléments alimentaires durant la grossesse n’offre pas une telle protection, une fois que l’enfant a atteint l’adolescence.

Ayant porté sur 1 300 enfants de 11 à 17 ans de la Gambie, en Afrique, l’étude consistait à évaluer certains des premiers risques de diabète et de maladies cardiaques. Pour la moitié d’entre eux, la mère avait pris des suppléments alimentaires équivalant à 1000 calories par jour, et ce, à partir de la 20e semaine de grossesse.

On n’a pu prouver une différence entre ce groupe et le deuxième, qui jouait ici le rôle de témoin, quant à leur indice de masse corporelle, leur pression sanguine, leur taux de cholestérol ou leur taux d’insuline.

De plus, la prise de calcium durant la grossesse n’a pas non plus eu d’impact sur la pression sanguine des enfants, une fois qu’ils ont eu de 5 à 10 ans.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Dangers des rayons X pour les enfants

On présente, dans la revue médicale Deutsches Arzteblatt International, des façons de réduire l’intensité des rayons X passés sur les enfants, sans compromettre pour autant la valeur du diagnostic.

Par exemple, on peut réduire le temps d’exposition au maximum et employer les systèmes de stockage CTP actuels.

Sinon, les mesures préventives d’usage doivent encore être suivies à la lettre. L’emploi correct des empiècements dédiés aux rayons X peut en lui seul constituer la meilleure des préventions.

En effet, nous savons que les rayons X sont plus dangereux pour les enfants que les adultes. Comme les petits ont des tissus à plus forte division cellulaire, cette procédure médicale peut entraîner des dommages aux cellules.

De plus, le corps des enfants étant composé d’une plus grande quantité d’eau, il absorbe plus, de ce fait, les radiations.

Les dommages encourus peuvent toucher jusqu’aux gènes.

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Marcher pour aller à l’école

Une étude parue dans Pediatrics lève le voile sur les conditions entourant le transport écolier ainsi que ses répercussions sur la santé en général. Bien qu’il y a quelques années, il était très courant que les enfants se rendent à l’école à pied ou à bicyclette, il semble que cette bonne habitude se perde.

Afin de mieux comprendre les tenants et aboutissants de cette situation moderne, l’étude longitudinale dont il est ici question a porté sur des enfants canadiens, dès l’âge de 6 ans et jusqu’à 16 ans.

Au cours de ces années, les parents des jeunes participants étaient invités à compléter un sondage quant au transport scolaire de ces derniers. On a ainsi remarqué, de prime abord, que si l’utilisation d’un transport actif (la bicyclette ou la marche, par exemple) croissait constamment jusqu’à l’âge de 10 ans, elle diminuait ensuite.

D’autre part, on a relevé que les enfants vivant au sein d’une famille à plus faible revenu étaient plus enclins à utiliser un moyen de transport actif pour se rendre à l’école. La même constatation a été faite chez les enfants grandissant en milieu urbain.

Les chercheurs de l’étude ont conclu que les enfants seraient plus encouragés à se rendre à l’école à pied ou à vélo – ce qui encourage de bonnes habitudes futures quant à leur santé – si leur famille comprenait mieux les enjeux liés à de tels transports.

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Encore aux prises du pipi au lit?

Les pipis au lit sont très courants chez les jeunes enfants. Certains requièrent plus de temps que les autres à apprendre à se retenir durant leur sommeil. Parfois, cela s’étale sur quelques années, d’où le désarroi de certains parents.

On pense à tort, dans ce cas, à un comportement à corriger, voire à la paresse, selon l’American Academy of Familiy Physicians. Des problèmes de santé peuvent, en vérité, en être la source.

La même association fait donc part de certains symptômes et indices à relever pour savoir si notre enfant a des raisons sérieuses de mouiller son lit continuellement. Ils sont parus dernièrement sur Health Day.

Ainsi, avant de penser au comportement, on doit vérifier si notre enfant n’aurait tout simplement pas de la difficulté à s’extirper du sommeil, ou encore si son système nerveux central se développe plus lentement que les autres.

Il peut aussi souffrir d’une infection, avoir un débalancement hormonal ou avoir vécu un grand stress. Un historique familial peut aussi expliquer le problème. Sinon, notre enfant peut simplement avoir une petite vessie ou une anomalie à la moelle épinière qui affecte sa valve urinaire.

Dans tous les cas, on n’omet pas la routine des toilettes pendant celle du soir, pour y retourner juste avant de dormir. Souvent, on réduit ou l’on règle le problème de cette façon.

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Le gène de la minceur est plutôt nocif pour la santé

Alors que l’on proclame depuis toujours que la minceur est meilleure pour la santé, le DailyMail rapporte que le gène de la minceur peut causer l’effet inverse.
 
Ce gène aide à perdre du poids chez une personne, mais il accentue le risque de diabète de type 2 et de maladies cardiaques. Les hommes sont les plus touchés par ce phénomène.
 
C’est en comparant le code génétique de 75 000 personnes avec leur ratio de graisse et de muscles dans leur corps que les scientifiques ont découvert que le gène IRS1 lié à la minceur avait plutôt un vice caché.

Les personnes qui le possèdent présentent un niveau dangereux de lipides dans le sang et ont de la difficulté à transformer le sucre. Cela les expose à 20 % plus de risques de diabète de type 2 et de maladies cardiaques.

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Les adolescents boivent plus de boissons bonnes pour leur santé

Les élèves du secondaire ne consomment pas seulement des boissons sucrées, au contraire.

Selon un sondage publié dans Morbidity & Mortality Weekly Report, 72,4 % des jeunes ont déclaré avoir bu au moins un verre d’eau par jour dans les sept derniers jours.

Parmi les 11 429 répondants, 42 % buvaient au moins un verre de lait quotidiennement et 30,2 % prenaient un jus de fruits pur à 100 %.

24,3 % des répondants ont dit boire au moins un soda par jour. Les boissons sportives étaient populaires auprès de 16,1 % des jeunes, alors que 16,9 % des répondants ont dit boire d’autres types de boissons sucrées quotidiennement.

Les garçons étaient de plus grands consommateurs de lait et de jus de fruits que les filles et les blancs en buvaient plus que les noirs ou les hispaniques également.

Toutefois, les boissons diètes n’étaient pas très populaires, seulement 7,1 % des jeunes en consommaient.

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Les marques de la prématurité

Parmi celles-ci, on retient la plus vaste menée jusqu’ici, ayant porté sur des enfants maintenant âgés de 23 ans.

Dirigée par l’Université du Rhodes Island, elle nous apprend que les bébés prématurés connaissent plus de problèmes que les autres, plus tard dans la vie.
 
Ces enfants ont tout d’abord tendance à connaître une moins bonne santé et accusent de plus grands risques de maladies cardiaques à l’âge adulte.
 
Ils sont aussi plus enclins à vivre des difficultés dans leur vie en général, notamment des problèmes scolaires et sociaux.

Toutefois, les effets de la prématurité peuvent être renversés par le soutien et l’amour des parents, de même que par un milieu scolaire enrichissant. Dans ce cas, le bébé prématuré devient une personne résiliente qui a fortement tendance à connaître le succès.

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Effets à long terme d’un virus commun

Le virus syncytial (VRS), même si l’on connaît peu son nom, est pourtant très courant. La plupart des enfants le contractent avant d’avoir atteint l’âge de trois. Ce virus entraîne une infection des poumons et des voies aériennes.

Chez les bébés, le VRS peut entraîner la bronchiolite ou la pneumonie. Sinon, les symptômes les plus importants consistent en l’écoulement nasal et la congestion, la toux, le mal de gorge et la fièvre. Il peut parfois se conclure par une otite.
 
Or, un article vient d’être publié dans The Pediatric Infectious Disease Journal sur le virus syncytial. Selon ses auteurs, on devrait prendre le VRS plus au sérieux, car il peut engendrer des impacts importants sur la santé générale des enfants et des bébés.
 
Il faudrait donc resserrer les mesures de prévention de ce virus, car s’il en existe pour les enfants déjà à risque de développer une maladie grave, il y en a peu pour ceux qui sont en pleine santé.

L’hygiène est encore la meilleure des préventions, car aucun vaccin n’existe encore pour contrer le VRS. Se laver les mains et celles des enfants et des bébés est donc la meilleure option pour l’instant, car ce virus est présent dans le mucus et la salive, c’est-à-dire sur les mains, dans la bouche et dans le nez.

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À propos de la santé des enfants défavorisés

Une étude controversée menée en Espagne fait un lien entre la sédentarité des enfants et la situation socioéconomique de leur famille. Publiée dans l’European Journal of Public Health, elle confirme que les jeunes défavorisés étaient moins enclins à être actifs.

Elle soutient aussi que la sorte d’emploi que le parent occupe a une plus forte influence que l’éducation sur le temps passé par l’enfant à faire des activités sédentaires. Cela confirme, de plus, l’hypothèse selon laquelle les enfants dont la mère est à la maison sont plus sédentaires.
 
Des modèles comportementaux s’installeraient donc dès l’enfance et l’habitude de regarder la télévision ou jouer à des jeux vidéo demeurerait. Cela a des impacts sur le développement et sur la santé en général d’une personne.

L’étude en question a consisté en l’analyse des activités sédentaires que faisaient des jeunes, puis celles-ci ont été mises en corrélation avec le statut économique de leurs parents.

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Les fruits secs sont aussi bons pour la santé que les frais

Les chercheurs tentent de faire comprendre aux gens que les fruits secs sont tout aussi bénéfiques pour la santé que les fruits frais et qu’ils devraient également faire partie de l’alimentation quotidienne.
 
Certains de ces fruits secs aideraient même à combattre le cancer, les problèmes de cœur et les maladies métaboliques, indique l’étude rapportée par le Daily Mail.
 
Ils sont une excellente source de fibres, de vitamines et de minéraux. Comme leurs congénères frais, ils contiennent peu de calories.
 
Certains ont des niveaux élevés de polyphénols qui protègent contre les maladies cardiaques.
 
On croit également que plusieurs peuvent inhiber des formes de cancer. Bien que l’on ne connaisse pas exactement le mécanisme sous-jacent, on pense qu’ils freinent la propagation des cellules cancéreuses et suppriment l’inflammation.
 
Les recherches se poursuivent afin de mieux comprendre les mécanismes de protection encore méconnus.