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Les mères de jumeaux vivent plus longtemps

Le fait d’avoir des jumeaux serait lié à une meilleure espérance de vie. Une femme serait aussi plus fertile et plus forte. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Utah.

Ils ont analysé les données concernant près de 60 000 femmes, lesquelles étaient nées dans cet État entre 1807 et 1899, avaient vécu au moins jusqu’à l’âge de 50 ans et avaient eu au moins 1 enfant. Parmi elles, 4 600 avaient eu des jumeaux.
 
En regard de cette étude, les chercheurs ont pu statuer que les femmes qui mettent au monde des jumeaux courent 7,6 % moins de risque de mourir au cours d’une année donnée.
 
Bien sûr, il s’agit encore d’une corrélation, car l’espérance de vie, la santé et le vieillissement sont causés par de nombreux facteurs. De plus, dans cette étude, on n’a pas tenu compte des risques de décès pour la mère lors d’une naissance multiple.

Les résultats complets de cette analyse sont parus dernièrement dans Proceeding of the Royal Society B.

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Herbes médicinales : lesquelles sont données?

Ces derniers jours, nous avons appris que plusieurs mères donnaient des suppléments naturels et des tisanes à base d’herbes médicinales à leur bébé.

En fait, sur environ 3 000 nouvelles mamans, un peu moins du dixième a donné de telles substances à leur enfant de moins de 12 mois. Certains questionnements sur la santé et les répercussions sur celle-ci sont bien entendu nés de ces données.
 
Or, il semble que nous puissions brosser un tableau des herbes les plus souvent employées par les mamans. En voici quelques-unes.
 
Sans surprise, l’échinacée y figure, car elle est reconnue pour renforcer le système immunitaire. D’autre part, la camomille serait la meilleure herbe à utiliser avec les enfants. Elle contient des huiles anti-inflammatoires et elle serait bénéfique pour le système nerveux, en plus de soulager les coliques. Quelques gouttes avant de nourrir l’enfant l’aideraient à digérer.
 
Finalement, la valériane (ou herbe à chat) et le fenouil auraient aussi de bons effets. Alors que le premier aiderait les bébés surexcités à s’endormir, le deuxième réduirait les gaz. Les deux seraient bénéfiques sur la digestion en général.

Bien entendu, on recommande aux parents de demander un avis médical avant d’administrer des produits naturels à leur enfant.

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L’exercice, la solution des petits poumons

Une équipe de chercheurs offre un nouvel espoir aux enfants atteints de fibrose kystique. Il semble que pratiquer un exercice léger est suffisant pour diminuer fortement les infections pulmonaires, les problèmes respiratoires et la baisse des fonctions pulmonaires de ces enfants.

Selon Medical News Today, les chercheurs du Johns Hopkins Children’s Center ont pu arriver à ces conclusions après avoir suivi 58 enfants âgés de 6 à 16 ans. Ils étaient tous atteints de fibrose kystique. Après que l’on ait questionné les enfants sur leur style de vie, on leur proposait une activité sportive modérée.
 
Par exemple, les enfants pouvaient faire des exercices individuels, jouer au basketball dans l’entrée de la maison, participer à un cours de danse ou encore jouer à la Wii. Les fonctions pulmonaires des enfants ont été évaluées avant et après ce programme de deux mois.

Ainsi, les enfants qui avaient réussi à augmenter leur capacité d’exercice de 10 fois, en pratiquant la marche, avaient présenté une amélioration marquée de leur capacité pulmonaire, soit de 5 % ou plus.

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Les repas en famille préviennent l’obésité

Selon Pediatrics, on aurait démontré que les repas en famille font en sorte que les enfants mangent plus de légumes et se nourrissent en général de manière plus santé.

En fait, les enfants qui mangent avec leurs parents au moins 3 fois par semaine sont 12 % moins à risque de développer un surpoids, selon une recherche ayant porté sur près de 183 000 jeunes âgés de 2 à 17 ans. Elle a été dirigée par l’Université de l’Illinois.
 
De plus, les enfants étaient 20 % moins portés à consommer de la malbouffe et 24 % plus enclins à manger des aliments sains, comme des légumes. Il semble finalement que les jeunes couraient 35 % moins de risque d’avoir des troubles de l’alimentation.

Certains soutiennent toutefois qu’il ne s’agit ici que d’une simple corrélation. Malgré tout, s’asseoir en famille semble constituer une bonne avenue pour régler les problèmes de santé que sont le surpoids et l’obésité dans la société actuelle. Rappelons qu’en 2008, aux États-Unis, 1 fille sur 7 et 1 garçon sur 6 étaient considérés comme obèses.

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Impacts métaboliques de la nutrition en bas âge

Des chercheurs soutiennent que la nutrition d’un très jeune bébé pourrait mener à un effet de programmation métabolique. Cela revient à dire que ce que mange un poupon peut avoir des répercussions à long terme sur sa santé, comme nous pouvons le lire sur Medical News Today.

La programmation métabolique consiste en diverses expériences nutritionnelles, à certains stades cruciaux en début de vie, qui influenceront le métabolisme d’une personne.
 
Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont suivi 234 enfants durant 3 ans. Il semble que l’allaitement exclusif durant les premières semaines suivant la naissance implique un schéma métabolique différent que celui apporté par une alimentation à base de lait maternisé.
 
On croit jusqu’ici que les protéines contenues dans le lait maternisé auraient tout à voir avec cette différence. Durant les deux premières semaines de vie, les bébés allaités avaient donc un taux d’insuline plus bas que les autres, mais cette différence n’était plus remarquable au bout de neuf mois.
 
Même chose pour les schémas de croissance. Ils différaient durant la première année, mais une fois l’âge de trois atteint, on ne remarquait plus de distinctions quant au poids, à la grandeur et à la composition corporelle. Toutefois, à cet âge, les enfants nourris au biberon présentaient une pression sanguine plus élevée, entre autres.

Finalement, les chercheurs ont pu statuer que le lait maternisé impliquait certaines différences hormonales par rapport au lait maternel. D’autres recherches devront suivre afin de mieux comprendre de possibles impacts sur la santé.

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Une nouvelle barbotine santé

La Presse rapporte qu’après avoir été refusée dans les écoles, la compagnie Slush Puppie est revenue à la charge, mais avec un produit plus « santé », la Slush Puppie Plus.
 
Cette nouvelle barbotine est faite à 99 % de jus de pomme concentré, auquel on a ajouté des vitamines, des acides citriques, des saveurs et du colorant.
 
Les Slush Puppie Plus, qui n’arborent plus le célèbre logo du chien vedette de la marque, ont donc fait leur entrée dans les écoles et centres récréatifs. De plus en plus de commerçants sont intéressés par ce nouveau produit.
 
Les barbotines sont offertes en différentes essences, comme orange, cerise, lime, limonade aux fraises ou pomme surette. Elles sont proposées en formats de 250 ml, 353 ml et 955 ml.
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L’aspartame augmente les risques de cancer et d’accouchement prématuré

Depuis le début de 2011, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) en Europe garde l’œil ouvert sur les effets néfastes de l’aspartame et les mesures à entreprendre pour diminuer sa consommation par les futures mamans. Une fois de plus, Magic maman nous met au parfum des derniers développements.

En janvier, on apprenait, à la suite des résultats de deux études menées sur les effets néfastes de l’aspartame, que la consommation de cet édulcorant artificiel favorisait la naissance prématurée des enfants et les risques de cancer.

Par la suite, en février dernier, une nouvelle étude renchérissait les conséquences négatives de l’aspartame en affirmant que la consommation régulière pouvait mener à des risques d’accident cardiovasculaire.

L’aspartame est l’édulcorant le plus utilisé mondialement (plus de 6000 produits). Il se retrouve entre autres dans les produits dits « légers », tels que les sodas et les yogourts. Ainsi, en Europe prochainement, la mention « Peut ne pas convenir aux femmes enceintes » devrait se retrouver sur tous les produits concernés.

Quant à savoir si cette étiquette sera apposée sur l’ensemble des produits mondialement, il en revient aux agences de santé d’y voir et d’encourager cette nouvelle norme, pour la santé des futures mamans et de leur progéniture.

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Les antennes des TGV seraient nocives pour la santé

Le Réseau Ferré de France souhaite installer des antennes GSM le long des voies de TGV. C’est la compagnie Synerail qui sera responsable de ces installations, mais l’Association Robin des toits, qui a pour but de protéger les usagers contre les rayonnements des nouvelles technologies, sonne l’alarme.
 
L’association s’inquiète des conséquences sur la santé de ce réseau et compare celui-ci « au même risque que si vous soumettiez leur corps entier (des passagers) au rayonnement maximal d’un iPhone en communication pendant 3 h de trajet à une vitesse de 300 km/h, avec des pointes considérables en s’approchant des antennes », peut-on lire dans la lettre que Robin des toits a envoyée au président de Synerail.
 
Toutefois, l’entreprise responsable de l’installation se fait plutôt rassurante et mentionne qu’il n’y a aucun danger quant à ces rayonnements pour la santé.
 
Robin des toits regrette également qu’il n’y ait pas plus d’études sur les conséquences pour la santé d’une exposition aux cocktails d’interférences auxquels les citoyens sont soumis maintenant.
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L’exercice pendant la grossesse accroît la santé du coeur de l’enfant à naître

Voilà un argument de taille pour encourager les futures mamans à entreprendre un programme d’entraînement lors de la grossesse. Les faits sont rapportés par une nouvelle étude qui sera bientôt accessible au grand public, selon Parentcentral.

Il s’agit de la suite d’une étude pilote menée en 2008 auprès de deux groupes de femmes à 36 semaines de grossesse, le premier effectuant de l’exercice sur une base régulière et le second demeurant inactif. L’équipe de la Faculté de médecine de l’Université de Kansas City (États-Unis) a présenté les nouvelles données cette semaine à Washington, lors du congrès annuel Experimental Biology.

Les répercussions sur la santé du cœur du fœtus se poursuivent au moins un mois après la naissance, réduisant considérablement le rythme cardiaque du bébé. Le programme d’exercice doit demeurer modéré et compter 3 périodes de 30 minutes par semaine. 

Il est conseillé, pour la future maman, de consulter son médecin au préalable. Selon l’étude, la marche rapide, la natation, les appareils elliptiques ou les cours d’aérobie modérés et supervisés par un professeur font partie des exercices à privilégier. 

« J’aime mentionner aux mères que l’exercice qu’elles entreprendront, même léger, aura des effets bénéfiques directs sur la santé de leur enfant. Cette information a toujours l’impact souhaité », affirme Linda May, professeure d’anatomie et de physiologie qui a dirigé l’étude.

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Reprendre l’activité physique rapidement après une attaque est plus bénéfique

Alors que la majorité du temps, les médecins recommandent aux patients ayant subi une attaque cardiaque de relaxer et de se la couler douce pendant quelque temps, une nouvelle étude affirme qu’il serait préférable de se remettre à l’activité après une semaine seulement.
 
Une équipe de l’Université de l’Alberta, dirigée par Mark Haykowsky et Alex Clark, a analysé 20 ans d’essais. Selon le journal Trials, on a constaté que les patients avaient de meilleurs résultats de rétablissement et de performances cardiaques s’ils avaient repris l’activité avec un programme léger une semaine après leur attaque. Leur santé s’était considérablement améliorée, comparativement à celle des personnes qui avaient attendu au moins un mois.
 
Toutefois, cette étude n’a pas pour but de donner le feu vert à toutes les personnes qui subissent ce genre de malaise. Il est primordial de ne pas se lancer dans une activité physique sans supervision. On doit d’abord avoir l’accord formel du médecin traitant, qui saura mieux juger si l’activité physique précoce après une attaque représente ou non un danger.