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L’alimentation reliée au QI à trois ans

Il semble que l’alimentation de l’enfant a un impact important sur son intelligence. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de Bristol en Angleterre.

Les résultats de cette étude réalisée sur 4 000 enfants portent à croire que les petits qui ont une alimentation riche en gras, en sucre et en nourriture transformée vers l’âge de trois ans accusent une baisse de quotient intellectuel un peu plus tard.

À l’inverse, les participants qui avaient une alimentation santé, composée de pâtes, de salades, de fruits et de légumes en grande partie, ont eu des résultats plus élevés aux tests d’intelligence de la recherche.

Ainsi, les enfants qui avaient une alimentation plus pauvre démontraient une baisse de QI de 1,67 point à l’âge de 8 ans et demi. Ceux qui avaient une alimentation plus saine avaient un gain de 1,20 point dans leur QI au même âge lors des mêmes tests.

Selon les chercheurs, l’association entre l’alimentation d’un enfant à trois ans et son intelligence future pourrait s’expliquer facilement. En effet,  la croissance du cerveau est la plus rapide de l’existence durant les trois premières années de vie.

Des études antérieures ont démontré que la croissance de la tête lors de cette période avait des impacts cognitifs. Il est donc possible qu’une alimentation saine durant cette période puisse soutenir le développement optimal du cerveau.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans la revue en ligne Journal of Epidemiology and Community Health.

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S’exercer en milieu naturel est plus bénéfique

C’est connu, il est important de bouger et de faire des exercices physiques. Toutefois, les personnes qui préfèrent s’entraîner en milieux naturels plutôt que dans les salles de gym bénéficient d’un plus grand bienfait.
 
En fait, les effets positifs ne sont pas seulement physiques, mais ils influencent aussi la santé mentale.
 
Après avoir étudié 833 adultes, des chercheurs affirment que les exercices en milieux naturels sont associés à un plus grand sentiment de revitalisation, à une énergie plus grande et à un sentiment positif.
 
Ainsi, la tension, la confusion, la colère et les sentiments dépressifs sont diminués lorsque l’on s’entraîne en milieux naturels.
 
Depuis quelques années déjà, le lien entre la nature et une bonne santé mentale retient l’attention des chercheurs. Cette fois encore, l’Environnemental Science and Technology rapporte que les exercices en nature sont encore plus bénéfiques que ceux que l’on pratique uniquement dans une salle de sports.
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Une étreinte peut avoir les mêmes effets qu’une anesthésie

Il a déjà été démontré que de caresser, étreindre et toucher une personne que l’on aime aide à diminuer le stress, soulager la douleur et permet d’entretenir une relation. Des chercheurs ont maintenant constaté que cela pouvait avoir les mêmes effets qu’une anesthésie.
 
Avec 25 participantes, on a découvert que pour une femme, le simple fait de toucher ou de voir son partenaire, même en photo, était similaire à des anesthésiants. Pour les essais, on a soumis les femmes à de légères brulures. Elles ressentaient moins d’inconfort lorsqu’elles regardaient les photos de leur amoureux et si elle lui tenait la main, l’effet étant similaire à une anesthésie.
 
Ceci expliquerait également pourquoi une mère peut soulager la douleur de son enfant si efficacement.
 
Caresser un animal de compagnie aide également à soulager la douleur, ajoute le Telegraph.
 
Selon le Dr Ludwig Lowenstein, le secret d’un mariage heureux serait d’au moins quatre étreintes par jour.
 
De plus, après avoir questionné des amoureux, on mentionne que pour durer, un couple doit s’accorder au moins sept soirées en amoureux par mois, dont une sortie sans enfants ni amis, seulement en tête à tête.
 
Aussi, les hommes devraient donner des fleurs ou un autre cadeau à leur femme une fois par mois. On ajoute qu’il est important également que le couple s’accorde au moins une soirée par mois séparément afin de faire ses propres activités.
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Les repas en famille sont importants pour la santé des enfants

Il a déjà été reconnu que les repas en famille, où l’on se renseigne réellement sur les activités de la journée de ses enfants, influençaient positivement le bien-être et la santé de ces derniers.
 
Alors que l’on notait moins d’abus de substances à l’adolescence, moins de troubles alimentaires et moins d’obésité, une nouvelle étude révèle que pour les enfants asthmatiques, on remarque une différence notable dans la gravité des symptômes de la maladie.
 
Après avoir observé l’interaction familiale au cours des repas de 200 familles avec des enfants de 5 à 12 ans ayant un asthme persistant, on constate que les jeunes dont les repas en famille étaient de qualité et non perturbés par la télévision ou le téléphone avaient moins de symptômes de leur maladie et leur qualité de vie était nettement améliorée, contrairement aux autres enfants qui n’avaient pas la chance d’avoir du temps de qualité avec leurs parents lors des repas.
 
Les effets positifs se faisaient voir même si les repas duraient en moyenne 18 minutes.
 
Voici donc une autre raison de fermer tous les appareils électroniques, de ne pas répondre au téléphone et de prendre le temps de discuter autour d’un bon repas avec vos enfants, leur bien-être n’en sera que meilleur, rappelle le journal Child Development.
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Les Canadiens nient la réalité au sujet de leur santé

Selon le bulletin annuel de la Fondation des maladies du cœur, les Canadiens nient la réalité au sujet de leur santé. Ils croient avoir des comportements sains, alors que ce n’est pas le cas, en plus de se voir plus minces qu’ils ne le sont.
 
« Près de 90 % des Canadiens se croient en bonne santé. En réalité, 9 personnes sur 10 affichent au moins un facteur de risque associé aux maladies du coeur et aux AVC (accidents vasculaires cérébraux) », mentionne le rapport.
 
Les résultats ont de quoi surprendre. 31 % des Canadiens admettent être sédentaires, alors qu’en réalité, cette proportion est plutôt de 48 %. 18 % se disent obèses, alors que dans les faits, 24 % le sont.
 
Selon les experts, ce qui est le plus inquiétant est que non seulement les personnes réduisent ainsi leur espérance de vie avec de mauvaises habitudes, mais plusieurs années de leur vie seront remplies de problèmes de santé, diminuant ainsi leur qualité de vie. Peu de gens en sont conscients toutefois.
 
« Ça ne nous a pas surpris. On est inondé avec des informations tous les jours. Les Canadiens savent ce qu’ils doivent faire pour mener des vies saines et actives. Ils s’aperçoivent qu’il ne faut pas fumer, qu’il faut mieux manger, qu’il faut être plus actif. Alors ça, c’est très rassurant. Mais les gens ne savent pas exactement quoi faire : à quel niveau faut-il être actif, combien de fruits et légumes faut-il manger par jour? » mentionne le Dr Marco Di Buono, directeur de la recherche de la Fondation des maladies du coeur de l’Ontario
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Un peu de saleté pour leur santé?

Les femmes seraient plus à risque de développer certaines maladies parce qu’on leur impose trop de propreté lorsqu’elles sont petites, apprend-on dans le Social Science and Medicine.

L’asthme, la maladie de Crohn, la polyarthrite rhumatoïde et les allergies seraient liés aux jeux choisis par les petites filles, qui en souffriraient plus souvent.

On sait, par exemple, que l’asthme est plus fréquent chez la femme que chez l’homme, de même que les maladies auto-immunes qui sont trois fois plus présentes.

Plusieurs études américaines convergent vers le fait que les femmes souffrent plus souvent de ces maladies sans que l’on sache pourquoi. Il semblerait que le type de jeux que l’on impose aux petites filles – soit de jouer surtout à l’intérieur, d’être toujours propres et jolies – influencerait leur développement.

En effet, c’est que jouer à l’extérieur expose plus souvent les garçons à certains microbes, ce qui les aiderait à se protéger de plusieurs maladies. Il faudrait donc encourager les fillettes, de même que tous les enfants, à jouer plus souvent et plus longtemps dehors.

Le lien entre l’exposition aux bactéries et le développement des maladies a plus d’une fois été relevé. On savait déjà que cette exposition est inversement reliée à l’apparition de l’asthme, par exemple.

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Le mariage est bon pour la santé!

Les couples mariés vivraient plus longtemps que les célibataires et les bénéfices pour la santé de la vie à deux augmenteraient au fil du temps. Il semble aussi que le divorce peut avoir un impact dévastateur sur la santé.

C’est ce qu’a démontré une récente étude parue dans Student BMJ. On souligne aussi qu’il faut attendre quelques années avant de remarquer ces présumés avantages.

Ainsi, les sentiments amoureux à l’adolescence sont plus liés à un état dépressif et les jeunes adultes ne remarquent pas de différence sur leur santé en étant en couple.

Pourtant, la vie de couple a bel et bien un effet positif sur la santé. Les hommes tendent à se maintenir dans un meilleur état physique, étant influencés par les habitudes de leur épouse, tandis que les femmes sont comblées émotionnellement en vivant une relation durable.

Ces conclusions ne sont pas tirées au hasard. Elles proviennent d’une très vaste étude ayant porté sur un milliard de personnes réparties dans sept pays européens.

On a aussi pu statuer que les personnes mariées avaient une espérance de vie de 10 à 15 % plus élevée que la population en général. Il semble donc que se marier signifie bien de se dire oui pour la vie.

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Première étude longitudinale sur les phtalates

Selon Le Figaro, une étude vient d’être entreprise afin de voir les effets des phtalates, des pesticides, du bisphénol A et des métaux lourds sur la santé humaine. Pour ce faire, 20 000 enfants seront suivis durant 18 ans.

Les futurs participants ont été tirés au sort. L’étude sera entamée sous peu, à partir de la naissance de chaque enfant.

On pourra ainsi reconnaître certains des effets de ces polluants chimiques. Différents impacts seront évalués, tels que les problèmes de développement fœtal, la croissance déficiente des organes génitaux, les allergies et la puberté précoce.

Des impacts sociaux seront aussi évalués. On entend par là que l’on tentera de faire un lien entre les difficultés d’apprentissage et l’exposition aux substances à l’étude.

Pour les biens de la recherche, dès la naissance d’un poupon, des analyses seront faites sur le sang de son cordon ombilical et ses selles. La nouvelle maman sera aussi invitée à remplir un questionnaire.

Pendant les deux premières années de vie des enfants à l’étude, on joindra leur mère par téléphone afin de suivre leur développement. Les questions porteront alors sur l’alimentation, la croissance, les ententes de garde, la vie familiale, etc. Des visites à la maison suivront, soit à trois ans et vers sept ou huit ans.

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Maîtrise de soi de l’enfant : le meilleur indicateur?

Selon des chercheurs de l’Université Duke en Caroline du Nord, certains paramètres comportementaux de l’enfant prévoiraient sa vie adulte.

Dans cette étude, 1 000 enfants de la Nouvelle-Zélande on été suivis pendant près de 30 ans.

Les participants ont été évalués par des adultes s’occupant d’eux, comme leurs parents et leurs enseignants notamment. Ils se sont aussi évalués eux-mêmes.

Parmi les critères de l’évaluation, on devait relever des signes d’hyperactivité, d’incapacité à maîtriser sa colère, de manque de motivation, d’agitation et d’impulsivité, par exemple.

Selon les corrélations observées dans cette recherche, les enfants qui ont accusé les plus faibles résultats ont plus souvent eu des problèmes respiratoires, d’hypertension artérielle et de cholestérol ainsi que des MTS à l’âge adulte.

Il semble même que ces enfants deviendraient plus fréquemment des parents seuls et qu’ils auraient plus de problèmes d’alcool, de drogue et judiciaires.

Les résultats de cette étude sont parus dernièrement dans le Proceedings of the National Academy of Sciences.

Le problème à la source relevé dans cette recherche semble être la maîtrise de soi, un facteur qui peut facilement être amélioré.

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Sommeil et obésité chez l’enfant

Des chercheurs de l’Université de Chicago ont effectué une recherche ayant porté sur 308 enfants âgés de 4 à 10 ans.

Parmi ces derniers, il s’est avéré que ceux qui cumulaient le moins d’heures de sommeil et qui avaient des horaires irréguliers de sommeil avaient 4,4 fois plus tendance à souffrir d’obésité.

Les enfants obèses tendaient à dormir moins, et ce, de plus en plus jusqu’à la fin de la semaine. Toutefois, si leur temps de sommeil était compensé durant le week-end, leur risque d’obésité chutait à 2,2.

De plus, selon cette étude parue dans Pediatrics, il semble que dormir un peu plus chaque nuit serait bénéfique pour la santé des enfants en général.

En effet, une demi-heure quotidienne de sommeil influence l’indice de masse corporelle et réduit les effets métaboliques pouvant entraîner le diabète et les maladies vasculaires.

Finalement, la moyenne d’heures de sommeil était de 8,5 par jour chez les participants de cette étude. La norme recommandée correspond pourtant à une moyenne quotidienne de 10 heures.

On suggère donc fortement de proposer des horaires les plus stables possible aux enfants afin qu’ils profitent des bienfaits d’une bonne nuit de sommeil.

Dormir suffisamment, rappelons-le, est associé à de meilleures habiletés d’apprentissage, une meilleure mémoire et une plus grande attention.