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Les enfants du divorce plus à risques d’avoir une attaque

Les résultats d’une étude canadienne laissent croire que les enfants ayant vécu le divorce de leurs parents ont 2,2 fois plus de risques d’avoir une attaque. Les résultats de cette étude seront présentés à la rencontre annuelle de la Société américaine de gérontologie.

Une explication possible serait que le stress vécu à un jeune âge influerait sur une partie du corps responsable de la gestion physique du stress. Il en résulterait la perte de maîtrise du cortisol, d’où des problèmes de santé subséquents.

Il s’agissait de l’analyse d’un sondage de 2005 réalisé par Statistique Canada auquel avaient participé 13 134 adultes du Manitoba et de la Saskatchewan.

On a constaté cette différence chez les personnes ayant déjà vécu un divorce, et ce, en ayant éliminé d’autres facteurs de risque comme le tabagisme, l’alcool et l’obésité par exemple.

Par ailleurs, les responsables de l’étude précisent qu’il ne faut pas paniquer en regard de ces chiffres, car il ne s’agit encore que d’une corrélation. D’autres études sur le sujet devront suivre pour soutenir ces observations.

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Les films d’horreur sont bénéfiques pour les femmes

Malgré que de nombreuses femmes n’aiment pas regarder des films d’horreur, ceux-ci seraient très bénéfiques pour leur santé mentale et leur cerveau.
 
Ces histoires effrayantes ont un impact positif sur la santé sans causer de choc traumatique, car les films ne sont pas réels, selon Geniusbeauty.
 
En regardant un film d’horreur, le cerveau produit plus d’énergie qui est dirigée vers l’activité des neurotransmetteurs comme le glutamate, la dopamine et la sérotonine.
 
Cette activité accrue permet aux femmes de se tenir « prêtes au combat » temporairement. Les signaux de menaces sont envoyés à la partie du cerveau qui est liée au système lymphatique du corps. Cela stimule les glandes surrénales et produit de l’adrénaline, responsable de la production d’opiacés qui soulagent la douleur.
 
Trente minutes après avoir visionné un film d’horreur, c’est le retour au calme et les défenses de l’organisme sont maintenant plus fortes.
 
La seule contre-indication est pour les personnes présentant une anomalie cardiaque. Ces dernières ne devraient pas regarder ce genre de films.
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Antennes cellulaires : danger pour la santé

Selon un article du Conseil national de recherches Canada (CNRC) paru dans Dossiers Environnement, les personnes qui sont exposées trop longtemps aux radiations des antennes cellulaires risquent des problèmes de santé.

Basées sur la littérature scientifique des 50 dernières années, les nouvelles observations soutiennent une véritable thèse niant dorénavant l’aspect psychosomatique des symptômes en question.

Des articles du lot font état des similitudes entre les effets biologiques reliés à l’exposition à des radiations de faible intensité et celle subie à une proximité de 50 à 150 mètres d’une antenne.

Par exemple, on a pu remarquer une baisse du calcium dans les cellules cancéreuses humaines.

De plus, une étude allemande ayant suivi 1 000 personnes entre 1994 et 2004 a relevé une hausse significative du cancer chez les personnes habitant à moins de 500 mètres d’une antenne cellulaire.

Les deux auteurs de l’article, Henry Lai de l’Université de Washington et la journaliste scientifique Blake Levitt, affirment qu’il s’agit maintenant d’établir des normes d’exposition.

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Messieurs, votre index peut en dire long sur vous

Il semblerait que chez les hommes, un index plus petit, comparativement aux autres doigts, signifierait un taux élevé de testostérone avant la naissance, mais surtout la tendance à prendre des risques dans la vie, soit dans les loisirs, dans la société ou au niveau financier.
 
Ce sont des chercheurs de l’Université Concordia qui se sont penchés sur la question. Par le passé, il avait été établi qu’un taux élevé de testostérone était synonyme d’une plus grande réussite financière.
 
On a voulu évaluer si le taux de testostérone influençait la prise de risques. À la lumière des résultats, publiés dans la revue Personality and Individual Differences, il existe bel et bien un lien entre la testostérone et la tendance à prendre de plus grands risques.
 
De plus, les femmes sont normalement attirées vers les hommes en bonne santé, confiants et fortunés. Tout ceci résulterait d’une exposition à la testostérone avant la naissance.
 
« Plus il y en a dans l’utérus de la mère, plus l’enfant sera plus tard porté à s’exposer au risque sur une patinoire, dans un bar ou sur le parquet de la bourse », mentionnent les auteurs de l’étude.
 
Une exposition à la testostérone avant la naissance influence le développement du cerveau du bébé à naître, mais ralentit également la croissance de l’index comparativement aux autres doigts (exception faite du pouce). Un index moins long serait donc synonyme d’une plus grande réussite.
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Les friandises sont bonnes pour le coeur et l’humeur

Vos enfants ont fait le plein de friandises hier lors de la soirée d’Halloween? Ne soyez pas découragés. Selon le magazine Psychology Today, les sucreries peuvent être bonnes pour la santé, dans la mesure où l’on n’en abuse pas.
 
Le magazine a dressé une liste de raisons pour manger des bonbons. Ainsi, on mentionne que selon une étude de l’école de la santé publique de l’Université Harvard, les personnes qui mangent régulièrement des friandises, soit quelques fois par mois, vivent plus longtemps que les autres.
 
Aussi, une dose de sucre permet de retrouver un peu de votre concentration et de votre volonté, rappelle une autre étude, de l’Université de la Floride cette fois.
 
Des recherches scientifiques ont également démontré que mâcher de la gomme améliore l’humeur et la concentration, diminue le stress et freine la douleur.
 
Finalement, on le sait depuis longtemps maintenant, le chocolat est bénéfique pour la santé. Manger du chocolat permet de réduire les maladies cardiovasculaires et la tension.
 
Bien entendu, les experts rappellent que pour bénéficier des bienfaits des sucreries, il faut en manger avec modération.
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Bonne et mauvaise nouvelle concernant le sel

En ce moment, de nombreux pays tentent de réduire leur consommation de sodium. Au Canada, d’ici 2016, on souhaite que la population réduise son apport quotidien en sel de 3 400 à 2 300 mg.
 
Toutefois, le sel n’a pas que de mauvais côtés. Une récente étude parue dans l’American Journal of Hypertension révèle que l’iode du sel peut prévenir les problèmes de thyroïde chez les adultes et les retards de développement chez les enfants.
 
Le sel de table représente 11 % de l’apport quotidien en sodium chez les Canadiens, mais aussi 50 % des 150 microgrammes en iode dont le corps a besoin quotidiennement. On évalue donc maintenant le rôle joué par les sels iodés.
 
Si les recherches approfondies se confirment, on souhaite pouvoir modifier le niveau d’iode dans le sel afin qu’une petite quantité seulement soit bénéfique pour la santé. Avant d’emboîter le pas, les scientifiques souhaitent amasser plus de preuves.
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L’huile de poisson pour améliorer la santé bucco-dentaire

De nouvelles études dévoilent que l’huile de poisson est aussi bénéfique pour rétablir la santé bucco-dentaire.
 
Selon le Journal of the American Dietetic Association, l’huile de poisson a des propriétés anti-inflammatoires et pourrait aider à conserver des dents et des gencives en santé.
 
L’étude a été réalisée auprès de 9 000 personnes et on a constaté qu’il y avait beaucoup moins de parodontite chez celles qui consommaient plus d’aliments comme le saumon, le beurre d’arachides, la margarine et les noix.
 
La parodontite est la destruction des tissus entourant les dents, ce qui mène en général à un déchaussement.
 
L’huile de poisson contient des acides eicosapentaénoïque et docosahexaénoïque qui sont des types d’acides gras oméga-3. En médecine, ils sont régulièrement utilisés pour faire face à des inflammations graves.
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Les boissons probiotiques n’amélioreraient pas la santé

L’agence européenne de surveillance des aliments vient de déclarer au Daily Mail que les yogourts à boire contenant des probiotiques n’améliorent pas la santé.
 
Alors que l’on prétend que ces produits stimulent le système immunitaire et aident à la digestion, l’Organisme de surveillance déclare qu’il n’existe aucune preuve scientifique de ces bienfaits sur la santé.
 
Toutefois, comme les fabricants affirment que leurs produits sont meilleurs pour la santé, ils peuvent les vendre plus cher.
 
D’ailleurs, en Europe, on a demandé de retirer une publicité d’Actimel de Danone, la disant mensongère. Danone a donc revu ses propos sur les yogourts Activia et Actimel.
 
Cette déclaration de l’agence européenne sème la controverse auprès des entreprises qui ne sont pas d’accord avec de tels propos.
 
Les probiotiques ont fait l’objet d’études par le passé et leurs bienfaits sur la santé humaine avaient été démontrés. Dans cette nouvelle recherche, ce sont les boissons probiotiques que l’on pointe du doigt.
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Marcher pour conserver une santé cérébrale

Le Dr Kirk Erickson et ses collègues de l’Université de Pittsburgh se sont penchés sur les habitudes de marche de 300 Américains pendant neuf ans.
 
À la fin de l’étude, ils ont constaté que les personnes qui marchaient au moins 10 km par semaine avaient plus de matière grise au cerveau que les autres. Cela laisse croire que la marche pourrait aider à conserver une bonne santé cérébrale, selon que ce rapporte le journal Neurology.
 
Bien que de nombreuses études aient démontré que l’activité physique avait des bienfaits sur les capacités cognitives, les chercheurs disent toutefois manquer de preuves pour l’affirmer avec certitude.
 
Par contre, sur les animaux, l’exercice stimule la formation de nouveaux vaisseaux sanguins au cerveau, ce qui permet un apport supplémentaire en oxygène et en nutriments essentiels.
 
Les chercheurs pensent ainsi que les résultats seraient les mêmes sur les humains. Des recherches supplémentaires seront donc effectuées sous peu.
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L’allaitement est sans danger après un cancer du sein

Le sujet avait déjà été abordé dans le cadre de précédentes études, mais c’est maintenant confirmé. Selon France-Soir, allaiter après avoir eu un cancer du sein ne comporte aucun danger.

Le docteur Azim, qui a dirigé cette recherche, a par ailleurs démontré que l’allaitement ne pourrait pas non plus provoquer une rechute de la maladie.

Il a présenté les résultats de son travail au 35e Congrès de cancérologie, en Italie. Pour obtenir ceux-ci, il a suivi pendant 4 ans 20 jeunes mères qui avaient accouché après avoir contracté un cancer du sein.

La moitié a allaité par choix et l’autre ne l’a pas fait, sur avis médical. Dans chacun des groupes de 10 femmes, il y a eu 1 cas de rechute.

Finalement, le docteur Azim a constaté que trop de médecins recommandent encore à des femmes de ne pas allaiter après avoir eu un cancer du sein, et ce, sans qu’il y ait eu suffisamment d’études sur le sujet.

D’après lui, seules la faible production de lait, qui est liée à certaines radiothérapies, et la difficulté pour un poupon de téter un mamelon cicatrisé constitueraient les raisons encore valables de renoncer à l’allaitement.