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Les femmes plus rapides à récupérer d’une commotion cérébrale

Alors que le dossier des commotions cérébrales dans le sport professionnel fait beaucoup parler depuis un moment, une nouvelle étude sur le sujet surprend.

L’étude américaine en question, rapportée par TVA Nouvelles, estime que les hommes prennent plus de temps à soigner une commotion cérébrale que les femmes, et que le sexe d’un patient influence vraiment la durée de rétablissement à la suite d’un traumatisme crânien.

Les chercheurs de l’Université de Pittsburgh évaluent en moyenne à 67 jours le temps requis pour un homme afin de se rétablir d’une commotion cérébrale, et à seulement 26 jours pour les femmes. La moyenne générale de rétablissement est donc évaluée à 54 jours.

L’étude analysait les dossiers de 69 patients ayant subi un traumatisme crânien entre 2006 et 2013. Les tests effectués ont révélé que le cerveau des hommes subit des dommages plus importants que celui des femmes, ce qui est une mauvaise nouvelle pour les athlètes de sports professionnels, largement composés d’hommes.

Les résultats de l’étude américaine ont été publiés dans le magazine Radiology.

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Des muscles reconstruits grâce aux vessies de porc

Des chercheurs américains auraient mis au point une nouvelle méthode de reconstruction et de régénération de muscles humains endommagés grâce à des vessies de porc, rapporte Top Santé.

Le processus, bien que surprenant, s’avère relativement simple. Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh derrière le projet, il est possible d’implanter des parties de ces vessies préalablement dépouillées de leurs cellules directement dans la structure musculaire visée, et ainsi d’obtenir un résultat satisfaisant.

« Quand un grand volume de muscles est perdu, généralement à cause d’un traumatisme, le corps ne peut pas répondre suffisamment pour les remplacer. Au lieu de cela, du tissu cicatriciel peut se former, ce qui altère de manière significative leur résistance et leur fonction. Cette nouvelle étude est la première à montrer un remplacement de nouveau tissu musculaire fonctionnel chez l’homme. Ce sont les patients qui ne peuvent plus marcher, ne peuvent pas sortir de la voiture, ne peuvent pas monter et descendre d’une chaise, ne peuvent pas prendre des mesures sans tomber. Maintenant, nous avons un moyen de les aider à aller mieux », explique l’auteur de l’étude, Stephen Badlyak.

Une véritable percée qui pourrait changer des vies, comme l’explique M. Baddlyak.

Les conclusions de ce dernier et de son équipe ont été publiées dans le magazine scientifique médical Science Translational Medicine.

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Coca-Cola retire un ingrédient controversé de ses produits

Le géant de l’alimentation et des boissons Coca-Cola décide d’aller de l’avant et retire un ingrédient de certains de ses produits, rapporte le New York Times.

L’annonce fait suite à la vague d’inquiétudes exprimées par de nombreux et vigilants consommateurs.  L’ingrédient visé est l’huile végétale bromée, qui contient du brome ajouté artificiellement et qui pourrait s’avérer nocive pour la santé, selon plusieurs.

Une campagne lancée par une citoyenne du nom de Sarah Kavanagh, en 2012, avait mené au retrait du même ingrédient de certains produits du concurrent de Coca-Cola, PepsiCo. Non sans satisfaction, la manœuvre de la jeune Kavanagh a ensuite été dirigée vers Coca-Cola, qui plie à son tour devant la pétition de plus de 60 000 noms et de nombreuses autres similaires.

« L’huile végétale bromée est utilisée dans certaines de nos boissons pour améliorer la stabilité de nos produits et prévenir certains ingrédients d’une séparation. Toutes nos boissons, incluant celles avec de la HVB (BVO), sont sécuritaires, et l’ont toujours été », déclare Coca-Cola, qui ira tout de même de l’avant avec le retrait.

On attend maintenant les réactions de PepsiCo, qui continue d’utiliser l’ingrédient dans plusieurs autres de ses produits et qui voudra sans doute imiter son compétiteur devant cette mobilisation.

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L’OMS s’inquiète grandement de la propagation de poliomyélite

C’est avec grande inquiétude que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce un état d’urgence à grande échelle dans le dossier de la poliomyélite, qui semble prendre de plus en plus d’ampleur.

La poliomyélite, ou « polio », est une maladie ancienne qui reprend de la vigueur depuis quelque temps, notamment dans certains pays comme l’Afghanistan, la Guinée équatoriale, l’Éthiopie, l’Irak, Israël, la Somalie et le Nigeria.

Les « foyers potentiels de pandémie » se retrouveraient du côté du Pakistan, du Cameroun et de la Syrie, selon ce que rapporte Le Devoir.

« Si elle n’est pas contrôlée, la situation pourrait mettre en échec l’éradication globale d’une des maladies les plus graves que l’on puisse empêcher par la vaccination », explique l’OMS par voie de communiqué.

L’Organisation mondiale de la santé presse donc les autorités en place d’y aller de vastes campagnes de vaccination, notamment chez les voyageurs.

La « polio » avait pourtant perdu le combat depuis 1988, avec une baisse des cas de 99 %. L’OMS souhaite donc à tout prix éviter un retour de cette agressive maladie.

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Potins

Emma Stone est blessée par les commentaires sur sa maigreur

L’actrice de 25 ans Emma Stone a révélé que plus elle vieillit, plus il lui est difficile de « conserver son poids ». En fait, son corps réagit au stress de cette façon. Elle maigrit malgré tous ses efforts pour l’éviter.

Stone a confié au magazine Seventeen : « C’est un réel défi dans le monde d’aujourd’hui, pour quiconque, surtout les femmes et jeunes filles, de se sentir bien avec leur corps. Peu importe ce à quoi ressemble notre enveloppe extérieure, on peut toutes être très critiques envers nous-mêmes et l’image que nous renvoie le miroir ».

Comme elle l’a expliqué, les critiques sur son poids sont absurdes. « Bien sûr, j’ai envie de me défendre », affirme la star, puisque ces rumeurs « sont totalement fausses ».

Emma Stone a confié qu’elle prend bien soin de sa santé et qu’elle est « très heureuse ».

En plus de la suite de The Amazing Spider-Man, en salles depuis le 24 avril, l’actrice a quelques projets, dont l’un avec Cameron Crowe (Jerry MaguireThe Fighter), dont le titre est encore inconnu.

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Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.

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Le cerveau des femmes modifié après une grossesse

Il semble que l’expérience d’une grossesse ne change pas que la vie d’une femme, mais aussi la dynamique de son cerveau, rapporte Radio-Canada.

C’est une étude proposée par une équipe de chercheurs menée par la neuroscientifique Liisa Galea, basée à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), qui dévoile cette conclusion.

Le cerveau subirait certains changements et perdrait même de la masse au cours d’une certaine période, ce qui pourrait créer des avantages pour les mères, comparativement à celles qui n’ont jamais vécu de grossesse.

Selon Mme Galea, les recherches effectuées par son équipe sur des rongeurs tendent à démontrer que les spécimens qui donnent la vie développeraient une meilleure mémoire à long terme, en plus d’une plus grande capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps.

Le fait le plus étonnant s’avère sans aucun doute celui qui propose une réduction de la taille du cerveau pouvant aller jusqu’à 8 % au cours d’une grossesse, mais celui-ci reprendrait sa taille « normale » au cours des mois suivants.

Toutefois, on mentionne et confirme que les femmes qui mettent un enfant au monde ont aussi certains risques accrus de problèmes de santé, qui peuvent se matérialiser de multiples façons et selon le cas de chacune.

Les conclusions de Mme Galea et de son équipe ont été proposées dans le cadre de l’arrivée de la fête des Mères, explique en terminant la société d’État.

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Du homard gaspésien facilement accessible en 2014

C’est parti pour la saison du homard, et particulièrement celle du savoureux homard de Gaspésie, nous rappelle par voie de communiqué l’équipe de promotion de ce produit hautement convoité dans notre province.

Près de 200 pêcheurs ont pris la mer à la fin de la semaine dernière, apprend-on, afin de trouver le homard gaspésien, et il semble que la récolte soit bonne.

De plus, plusieurs nouveautés s’ajoutent au processus de pêche et de vente du produit, ce qui fait dire au directeur général du Regroupement professionnel des pêcheurs du sud de la Gaspésie (RPPSG), Oneil Cloutier, que les Québécois pourront trouver encore plus facilement le produit local au marché près de chez eux.

« Pour les Québécois, le homard de la Gaspésie sera encore plus facile à trouver cette année, puisque nous avons fait développer et produire un nouvel identifiant de qualité alimentaire qui est installé sur le coude d’une pince de chaque homard, directement sur le bateau lors de la pêche », lance M Cloutier.

Autre fait intéressant, la pêche aux homards est maintenant assortie d’une obligation pour les pêcheurs d’être équipés d’un système de communication intelligent capable de transmettre les données des pêches en temps réels à Pêches et Océans Canada. Le processus est en place depuis quatre ans et permet d’assurer la survie de l’espèce, et d’autres beaux printemps québécois sous le signe du homard pour les années à venir.

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Le métapneumovirus bientôt maîtrisé

Radio-Canada rapporte les plus récents développements dans le dossier du métapneumovirus, qui aurait fait jusqu’ici au moins neuf victimes chez des personnes âgées résidant en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), notamment du côté de Drummondville.

Il s’agit d’une bonne nouvelle malgré les circonstances, puisque les autorités confirment la mise en place d’un groupe de scientifiques et de chercheurs dédiés à mettre au point un vaccin contre le virus. Le groupe serait d’ailleurs déjà sur la bonne voie, et il serait permis d’espérer un vaccin d’ici les cinq prochaines années.

« Notre groupe a été le premier à rapporter la présence de ce virus en Amérique, en 2001. On travaille déjà depuis plusieurs années sur la mise au point d’un vaccin. Il n’en existe pas à l’heure actuelle. On a des résultats intéressants chez l’animal et là, on vient d’avoir un bon coup de pouce avec une subvention de 12 millions de dollars avec des collègues de McGill et de Sherbrooke », explique Guy Boivin, microbiologiste-infectiologue au CHUQ.

Le métapneumovirus est de type aviaire et provoque chez les patients qui le contractent de sévères complications respiratoires, qui peuvent s’avérer fatales pour les personnes plus âgées.

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Des chercheurs s’accrochent au virus de la variole

S’il est étonnant de prime abord d’apprendre que des chercheurs refusent de se défaire du virus de la variole et militent pour la survie des échantillons restants, la démarche est toutefois empreinte de logique.

C’est par l’entremise d’une lettre publiée dans le magazine Plos Pathogens qu’un comité international de chercheurs a exprimé ses craintes face à la volonté de plusieurs décideurs de détruire définitivement les derniers échantillons de variole, une maladie éradiquée depuis 1980.

Le raisonnement de ce regroupement de spécialistes est simple : pour éviter un retour de la maladie et assurer la possibilité d’un nouveau traitement, les échantillons restants doivent survivre. Les craintes des chercheurs se situent notamment en ce qui concerne une possible attaque biologique intentionnelle, ou encore à la suite du réchauffement climatique, qui pourrait « dégeler » certaines formes de ce virus virulent.

On attend donc maintenant le verdict concernant le sort de ces dangereux mais précieux échantillons, qui devrait tomber au cours des prochains mois, rapporte Top Santé.